chapitre 4: presentiments

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Nous sommes jeudi, demain c'est le grand jour ! Je prépare mes affaires, toujours enerver pas la nouvelle que monsieur kana m'a annoncée la veille. La journée passat dans enconbres ou presque. A plusieurs reprises, monsieur kana veint me voir pour voir mon travail, et à chaque fois le crituquer:
- Mais non ! Ça n'a pas de sence !! Le gueulat-il dessut avec rage que je n'aivais jamais soupsoner en cet homme charmant de la 50 aînés.
Enerver et à bout de nerfs, je répondit furieuse:
-Monsieur sous votre respect, c'est moi la mangaka et vous l'éditeur ! Repondit-je en essayent d'avoir un air sec.
- Ne lenepondez pas comme ça ! Je vous rapelle que c'est grâce à moi si ce blasfeme de manga ! Sans mon argent et mon devoimant, vous seriez encor dans votre troue qui ne nomme la France ! Rugissat-il rouge de colère
- Je vous demande pardon ? CE BLASGEME DE MANGA ? Je croi que vous ne savez pas à qui vous parlez ! C'est grave à moi ci kana a put redémarré sur de nouvelles bases!! Retorquai-he froidement, aussi froidement que je sentit mon sang ce glacer à l'interieure de moi.
Sur cet échange du moin musclé entre le dragon et la lionne qui défend ses lionceaux ( drôle de perceptive )
En rentrant chez moi, ou je retrouve tout les soir depuis maintenant 1 semaine seul. Ne sachant pas quoi cuisiner, je me descide a aller au soushi du coin, ou ce trouve mon amie japonaise maggie. Je passe la soirée en sa compagnie, je lui raconte tout. Elle est un peut comme une soeur pour moi. Le soir venue, je retourne chez moi, ou je retrouve la tenue du lendemain. Je programme mon reveille à 7 heure car la cérémonie était a 9 heure. Et le temps de ce préparer et tout ce qui va avec. J'en ai au moin pour une heure et plus de la route ! La nuit fut assez mouvementée par mes rêves assez, comment dire: bisard. Je me retrouvais dans une église avec une mélodie de deuille. En m'approchant, je put distinguer de très loin les senglos d'une femme dans l'ombre. Sans metriser mes mouvement je me dit pousser en avant ver la femme sont les pleures ce rapprochaient dangereusement de moi. Quand tout a coup un jaie de lumoere m'enblouis et le laissant entrevoir un visage familier. Je me réveillat en surseau tout transpirante par la peur.

Aux Yeux du Japon ( Pause ) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant