Chapitre 1

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La nuit était froide comme toutes les autres depuis le mois de décembre. Dans le bureau du poste de police, il faisait un froid glacial vu les récentes coupures. Le gouvernement ne voulait pas coupé dans d'autres choses, alors il commença par de petit chose ce qui était bien raisonnable. Un vieux dicton dit ce qui est petit un moment deviendra grand jour. L'argent était devenu une dépendance presque aussi que l'eau si ce n'est pas plus. Jared et Anastasia marié depuis 3 ans était de garde cette nuit-là. Seul leurs cafés chauds les réchauffaient et les gardaient éveillé. Anastasia regardait dehors, pour voir ce sol blanc avec seulement l'éclairage des lampadaires qui éluminaient la route dangereuse. Il y avait beaucoup d'accident sur cette route recouverte de glace noir. Cette glace dont tout le monde à peur. C'est comme tout les géant. Les gens ont peur de ce qui ne peuvent pas se protégé. Elle repensait à son mariage en secret pour ne pas que le poste l'apprenne, car c'était une règle très strictes... L'amour et le travail n'allait pas ensemble, mais elle n'était pas de cette avis. Jared étant plus vieux l'avait séduite au premier regard dans la salle de tirs.

-Le temps est long... dit-elle dans un élan de découragement.

-Je te le dis, il y aura un jeune qui va se bagarrer et que nous allons devoir intervenir!

-Ouais c'est ça!

Le téléphone sonna. Elle le regarda découragée qu'il est toujours raison. Il formula un "tu vois" avec ses lèvres. Par exemple, son regard changea... Ce n'était pas un jeune qui c'était bagarrer avec ce visage. 

-Qu'est-ce qui ce passe?

-Allez viens nous devons partir!

-Où?

-À l'université...

Elle souhaitait seulement que sa soeur ai rien. La perdre ne serait pas une éventualité dont elle a envie en ce moment. Sur la route le jeune couple était silencieux. Jared ne voulait donner aucune information sur le délit de fait. Ce qui inquiétait deux fois plus l'agent Namen. Anastasia avait décidé de garder son nom de jeune fille, car elle donnait sa vie à son mari, mais pas son nom. Ce qu'il respectait vu que chaque personne à droit de garder une partie de sois-même lorsque nous donnons tous aux autres. En moins de deux, ils étaient sur la scène de crime. Une ambulance était parmi les milles et unes voitures de police sur le campus de l'université. Les photographes prenaient tranquillement leur photo. Les policiers peu heureux d'être présent à cette heure de la nuit, cherchaient des indices. Jared prenait toutes les manœuvres possible pour que Anastasia ne voit pas le corps étendu en dessus du drap jaune qui le recouvrait et l'identifiait comme étant mort. En un moment de liberté, elle réussit à voir ce corps meurtri ou plutôt le corps de la jeune femme meurtri qui était sa soeur... Elle hurla se qui fit régner un silence affreux dans la cour. Jared l'éloigna du corps et lui ordonna de rentrez chez-eux. Lui même était triste de voir le corps de sa belle-soeur étendu sur le sol froid et boueux. Elle était morte dans le froid des tempêtes de janvier. Son corps avait retrouvé sa position feotal, comme si elle avait voulu se réchauffer durant ses derniers moment. Torse nu dans la neige et l'eau, son corps était recouvert de sang comme la poudre blanche fait de glace autour d'elle. Personne ne devrait mourir ainsi... Qui avait bien pu commettre un meurtre si horrible? Lorsqu'il rentra chez lui, sa femme dormait déjà. Il alla prendre une douche et se coucha à ses côtés. 

Le soir même, la jeune victime fut emporter au laboratoire pour que le médecin légiste l'examine. Lui non plus ne voulait pas être là, car il était aussi en vacances. Il rempli quelques papiers et parti laissant le cadavre sur la table entre temps, il avait eu le temps de se vider. Autant fatigué que tout le monde, il n'eu pas la force de le ramasser. Une jeune femme morte baignant dans ses excréments, elle qui venait probablement de vivre la pire nuit de sa vie. La froideur de la pièce emprisonnait l'affreux parfum que laissait erré le mort dans la pièce. Les produits chimique laissés ouvert se mélangeait à l'arôme de l'intérieur du cadavre. On aurait presque cru que des bouteilles de remover avait été verser sur le plancher avec de la défécation d'humain. Qui conque entrait dans cette salle en ressortait avec le corps autant que le cerveau geler. Son apprenti entra dans la pièce et trouvait bien comique de devoir examiner le cadavre de sa propre victime. Son flan gauche coupé avec un petit couteau de canif au centimètre carré sans aucun dépassement. La chair était encore ensanglanté, mais morte qui commençait peu à peu sa décomposition, l'odeur nauséabonde se faisait sentir jusque dans le couloir. Avant tout, il devait émettre une "hypothèse" de ce que cela signifiait. Tout était prévu et tout fonctionnait comme il le désirait. La peau sectionnée définissait le plan géographique de son prochain meurtre. Un bout de côte qui fut causé par une fracture ouverte à la force de ses seules mains, démontrait le point précis de rendez-vous. Il avait prit soin de bien le faire sortir au bon endroit et sans trop écarter les "rues". Sur son front régnait quatres marques l'heure à laquelle les policiers devrait être sur place à la suite de sa prochaine action. Lucas Beccans avait adoré le son des cries de la jeune femme lorsqu'elle senti sa côte se casser comme on casse une canne de Noel. Tout autant de quand elle hurla durant que sa peau douce d'adolescente se faisait sectionnée avec délicatesse et lenteur atroce. Morte au bout de sa douleur, il n'eut pas la joie de l'entendre le supplier d'arrêter lorsqu'il brûla son front. C'est bien beau joué, mais il faut le rendre amusant la partie.   

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