The game

Chapitre 4

Le lendemain, Jared se réveilla avant Anastasia ce qui était rare. Il la regarda dormir comme un bébé. Ensuit, la machine à café parti ainsi que le radio, comme tout les matins à leur réveil. Il se leva sans la réveillé et parti rejoindre son café déjà prêt. Au bout de 15 minutes, elle ne se réveillait toujours pas, donc il décida d'aller la voir. Anastasia avait l'air de se battre pour revenir dans le monde réel et quitté son cauchemar. Jared posa une main sur elle et ses yeux s'ouvrirent d'un coup en le fixant comme si elle ne le reconnaissait pas. Après quelques secondes, il colla son front au sien et l'embrassa. C'est là qu'elle sortie de son rêve et le reconnu. 

-Pardon... pardon... j'ai fait un... cauchemar.

-Je sais mon coeur, c'est finit maintenant, je suis là...

Après quelques baisers, ils se levèrent et prirent leurs cafés ensemble. Après les événements, ils avaient décidé de prendre congé jusqu'au prochain meutre qui ne serait que durant la nuit, dans les 5 premières minutes du lendemain matin. Une douce musique de Ed Sherran "The A Team"  jouait en fond. *(multimédia)* Il lui enleva son breuvage chaud et lui prit les mains pour l'inviter à danser. Elle baissa la tête en devenant toute rouge comme une adolescente de 16 ans, mais accepta, cela allait faire si longtemps. Jared l'emporta dans le salon et dansa un slow avec sa femme. Ensuite, il la prit dans ses bras pour la ramener dans leur lit. Ses mains caressèrent ses flans allant de ses seins à ses fesses. Elle lui enleva son chandail et lui enleva le sien pour en suivre avec tout leurs vêtements. Durant ses heures, tout le temps qu'il n'avait pas pu passer ensemble durant leurs heures de travail furent repris. Ils finirent par s'endormir dans les bras de l'un et l'autre. 

Lucas aussi avait prit congé comme pratiquement tout le bureau qui était à bout. Pauvre lui que les murs ne soit pas plus isolé... Anastasia et Jared étaient bruyant, mais il ne pouvait pas se plaindre pour deux simples raisons... Premièrement, personne ne devait savoir qu'il habitait ici et deuxièmement... Lui aussi faisait crier les nombreuse filles qui passaient dans son lit. Il plaignait le voisin... Plus capable de les entendre, il décida d'aller sur le campus pour voir ses potes et Dérek qui lui devait sa somme. C'était un des points positifs ce sous-métiers, une indemnités. Même pas sorti de sa Ferrari F12 qu'une fille lui sautait à la bouche. Visiblement bourré vu son haleine. Lui aimait avoir un plaisir d'un soir, mais pas de continuité. Sauf que ce détail ne venait pas au oreilles de ses conquêtes. Un vrai salaud à vrai dire... Lucas la repoussa doucement et lui dit qu'ils se reverraient plus tard sachant très bien qu'elle oublierait. Calleb, Alexis, Matt, Jay, Dan l'attendaient en se racontant leurs derniers meutres. Quel sujet passionant se dit-il intérieurement. Comme si cela faisait plaisir à quelqu'un d'enlever des vies. Lui c'est le jeu qu'il y avait implanté qu'il aimait et non devoir abattre la victime, bien qu'il s'arrangeait pour qu'elle meurt au bout de ses souffrances. Il s'alluma une cigarette et écouta la conversation après avoir dit bonjour à tout le monde. 

-T'es rendu à combien Assassin's Creed? demanda Calleb à Lucas.

-I don't know j'ai arrêté de compter.

Bien sûr, il mentait. Pour se rappeler du mal qu'il avait fait à toutes ses personnes, il conservait une photo d'eux en vie. À son actif, son derrière de commode devait compter 56 victimes. C'était lui qui avait un des plus grands nombres de victimes il voulait sortir de la partie alors autant joué pour que le temps passe plus vite. Calleb comptait 16, Alexis 24, Matt 44, Jay 43 et Dan menait la parti avec 86, mais n'avait jamais de preuve que ses victimes étaient mortes. Lucas commencait à s'ennuyé lorsqu'il vu Dérek sortir de sa Audi R8 avec un de ses gardes. Il jetta sa clope et le suivit. Rendu dans son bureau, il prit place devant sa posture imposante. Dérek affichait toujours son sourire narquois que tout le monde voulait lui enlever du visage. Celui de monsieur je sais, je contrôle, je possède tout et je tiens le monde dans ma main. Si seulement, il savait tout ce que cela allait lui coût tous ses cadavres...

-Tiens ton argent...

Un bodyguard lui remit une enveloppe contenant trois millions de dollars tout frais. Pour être sur il passa les billets au compte.

-T'inquiète tout y ai.

Lucas arrêta de compter et se leva.

-Ma prochaine victime? demanda-t-il.

Dérek rit de bon coeur, mais n'importe qui en aurait eu peur. Lucas y était habitué, c'était sa faço de montrer sa dominance que lui était fort et les autres faibles... Et cela d'un seul sourire. Leurs regards bleu glace se soutenait tel un fil prêt à se faire enjambé pour faire explosé la bombe à quelques mètres de celle-ci.

-Tu es arrogant, l'averti Dérek.

Bien sûr, il ne parlait pas de sa question, mais de ses yeux qui ne tombait pas. C'était le seul à avoir l'audace de ne pas faire explosé la bombe pour qu'elle montre qu'elle seul peut gagner du terrain dans ce si petit monde. Lucas ne répondit rien c'était bien trop inutile face au grand boss de la fin. Celui-ci, il le gardait pour la fin, oui celui qui parraît si difficile à battre, mais qu'une fois son point faible trouvé n'est que plus vulnérable que les autres. Dérek lui remit quatre dossier. Selon le grand chef, il croyait que son cadet en choisirait un, mais les prit tous. Cela ne faisait qu'ajouter des cases à la planche de jeu. Lucas lui lança le même sourire narquois qu'il avait et se dirigea vers la sortie, mais fut interrompue.

-Je ne sais pas si tu sais vraiment qui commande ici, ai-je besoin de te faire un rafraîchissement?

-Aucunement Dérek, celui qui se croit attaqué jouera bien trop vite, mais celui qui attaque se sera défendu, alors il pensera à tes prochains gestes avant même que tu n'ai pu bougé un seul pion. Maintenant, il reste à voir si tu réfléchira avant d'agir...

Il savait ce qu'il venait de faire. Réveillé le grand et méchante orgueil de monsieur. Deux gardes lui enveloppèrent les bras de leurs mains inhumaines, mais...

-Laissez-le partir, il n'en vaut pas le coût...

Il regarda les deux grosses brutes avec des yeux d'assassins, pour leur rappelé qu'il était devenu un des meilleurs et que le meutre n'était plus une chose qu"il redoutais et qu'accrocher deux nouvelles photos à sa commode ne l'incommodait pas. 

-Sur ce... Bonne fin de journée Dérek!

Le grand Boss grogna et le laissa partir. Maintenant, Lucas attendait patiemment que la police l'appelle à 00h05 pour qu'il examine son propre prochain meutre. Pour l'instant, il alla se prendre un café dans un starbucks à proximité. Il y rencontra une jolie fille qu'il finit par ramené à son appartement. Pauvre voisin... Il n'y avait plus de bruit à l'étage inférieur probablement c'était-il endormis ou non... Il entendait le son de la télé. Maintenant pauvre voisin de l'étage inférieur le lit allait bouger et déranger leur film. 

Good night everybody...