Comment fait-on quand les pires ennemis de ce bas monde ont un devoir en binôme ? Oui Harry et Louis deux ennemis, on un travail binôme a faire , ils ce détestent et ils vont devoir apprendre a s'aimer ...
Larry Stylinson
Une heure. Une heure que je suis assis dans l'herbe, face à Louis, essayant de savoir la raison de son comportement. Tout à l'heure, il a envoyé Styles se faire foutre, et maintenant il... regrette ? Je ne le comprendrait jamais. J'allais alors me lever pour aller me chercher une aspirine, quand je vis mon meilleur ami attraper son téléphone et regarder ses messages. Intrigué, je me glissait à ses côtés et lu le sms de Styles.
- Tu vas y aller ?Demandais-je d'une petite voix. - Je... non, je ne veux pas le voir...
Je ne dis rien, sachant parfaitement qu'il mentait. Louis a toujours menti comme un arracheur de dents, mais j'ai toujours su différencier ces mensonges et la vérité. Un soupire s'échappa alors et je repris donc ma route pour aller chercher ma boisson.
Narrateur : Louis Tomlinson
Quand Zayn fut partit, je pris à nouveau mon téléphone en main, pesant le pour et le contre de ce « rendez-vous ». Certes, en y allant j'apprendrais des choses, mais retourner là-bas dans ses circonstances... ça donne encore moins envie, surtout après ce qu'il s'y est passé... Oh et puis merde, c'est pour Harry.
To Harry :
« J'y serais, mais pas de coup foireux ou je te jure que tu me verras plus jamais. »
Il ne tarda pas à me répondre qu'il n'en ferait rien, et je finis par rentrer chez moi, sans même prévenir Zayn. C'est un grand garçon, il saura rentrer chez lui, surtout qu'il avait prévu de passer le reste de la nuit avec Maria, la chef des pom-pom-girl du lycée...
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Le soleil commençait à peine à se lever, pourtant, allongé dans mon lit, j'étais déjà réveillé. Je ne parvenais plus à dormir. L'idée de voir Harry... nous expliquer... Après un long soupire, je me redressa ils partis à la douche et m'habillais prestement. Un simple jogging et un t-shirt ferait l'affaire. Ce n'était que Styles après tout, inutile de sortir le grand jeu. Quand je fus habillé, je descendis dans le salon en toute hâte, saluais ma mère et sortais faire un tour.
Sans même m'en rendre compte, je me retrouvais au milieu d'un bois que je ne connaissais que par cœur. J'y allais souvent quand j'étais petit, c'est d'ailleurs là que j'ai... "Merde, mais qu'est-ce que je fou ici ?" pestais-je, me rendant compte que je me trouvais sur le lieu du rendez-vous. Je m'apprêtais alors à faire demi-tour, quand une branche craqua sous mon poids, suivit d'un buisson secoué.
- Louis ? Mais qu'est-ce que...Demanda une voix que je ne connaissais que trop bien. - Harry... !Marmonnais-je, faussement enjoué. - Tu ne dors pas ? Enfin, je pensais que tu viendrais plus vers les coups de midi... - Mais je... enfin... je m'apprêtais à partir, à la base j'étais partit acheter des croissants à ma mère et je...
Je n'eus pas le temps de terminer ma phrase que les lèvres d'Harry se collèrent aux miennes, m'emportant dans un tourbillon de désir et de pulsion. "Oh et puis merde, j'ai assez attendu." Sans perdre plus de temps, je glissais une main dans la nuque du bouclé et intensifiais le baiser un peu plus, mourant d'envie de goûter tout de lui. Ses lèvres, au goût quelque peu sucré, se mariaient à la perfection avec les miennes. Elles étaient douces, chaudes, et sa langue... "Mon Dieu..." ; sans même m'en apercevoir, nous étions dorénavant allongés dans l'herbe, comme quand nous étions petit, sauf que cette fois-ci, Harry se trouvait à quatre pattes sur moi, ses mains glissant sous mon t-shirt. Allait-il le faire ? Oser franchir ce cap ? Cela changerait à tout jamais notre relation...
- Han... H-Hazza...Gémis-je, pris par surprise, lorsque ses doigts vinrent pincer mes tétons, déjà durs et pointés vers le haut. - Louis... je te désire, à un point... tu n'imagines même pas...
D'un bond, je me redressais, le repoussant violemment. Non, je n'étais pas prêt, pas encore. Et puis... pour une première fois, le faire en pleine nature s'était tout sauf ce dont je rêve. Le frisé me regarda, le regard vitreux, se léchant sensuellement la lèvre que j'avais accidentellement mordue.
- Laisse-toi faire Lou'... je te jure que je ne te ferais pas de mal. - N-Non... je...
Et sans crier garde, je n'échappait en courant, tel le lâche que je suis réellement. Il allait me détester, c'est sûr mais... mais je m'en fou bordel, ce n'est que Styles ! "Justement, c'est bien cela le problème..." murmura une voix dans mon esprit.
- Putain de conscience !Grognais-je, courant jusqu'à chez-moi.
Arrivé devant ma maison, je m'assis sur les marches du perron, coinçant ma tête entre mes mains. J'ai l'impression qu'elle est sur le point d'exploser, tout bourdonne. Et dans mon ventre... des papillons. Des milliers de putain de papillons qui volent. "C'est ça l'amour ?!"
