Là où le temps me guidera

Chapitre 6: Drôle de rêve

Qu'est ce qu'il fait chaud? La dernière chose dont je me souviens et de mettre endormit dans les bras de Bastien. La chaleur commence à être insupportable. Mais il y a pourtant beaucoup de vent? J'essaye d'ouvrir mes yeux mais il y a trop de lumière. J'arrive à distingue un tissu bleu au dessus de moi, comme si j'étais sous un abris ou une tente. Oui. C'est ça une tente. Mais fait maison, disons que c'est un bout de bois avec un tissu dessus. Je me lève . je sort de la tente. Comment suis-je arrivai ici? Qu'est ce qui m'arrive?

Du sable! Du sable de partout! La dernière fois que j'en et vu j'avais 10 ans mon père ne voulais plus qu'on aille à la plage. Il y a toujours trop de monde me disait-il. Je ne comprend pas, j'entends le souffle du vent comme si quelqu'un respirer à côté de mon oreille. Des dunes de sables se présentes devant moi comme si elles m'accueillent. Mais personne à l'horizon. je suis seule. Je commence à avoir soif, malheureusement je ne vois pas de source d'eau. Des chameaux au loin. Avec des hommes. Je leur fais signe pour qu'ils viennent me récupérer . Il fonce tout droit sur moi. Ils n'ont pas l'air commodes. Ils sont là à côté. Ils parlent dans une langue que je ne connais pas. Un d'entre eux me prend par le bras et me met sur le chameau. Je me mis à hurler. J'ouvre les yeux. En fait c'était Bastien qui venait de me serrait fort mon bras, peut être qu'il faisait un mauvais rêve mais en tout cas, il ma fait mal. Je sors mon téléphone de ma poche enfin j'essaye car il me sera trop fort dans ses bras. Idiot. Quoi il est déjà 10 heure mon père n'est pas rentré ? De toute façon se n'est pas grave, il va quand même arrivé.

Lundi jour - 3 :

-Bastien réveille toi!
-Quoi...Qu... Haaaaaa...Qu'est ce que tu fait dans ma chambre? Surtout toi tu est la dernière filles que je peux imaginer dans ma chambre.
-Mais non, crétin. Tu est chez moi dans mon salon. Et dépêche toi de te levé. Car mon père ne va pas tarde.
- Mais...
-Quoi?
-Tes sur moi je peux pas me levé.
-Oui, sauf que moi non plus, remarque je peux essayer mais il faut que tu me tienne.

Je m'élance et hop non ça ne fonctionne pas, je ne peut même pas tenir sur mon autre jambe. Bastien ma tenu mais je l'ai entraîné dans ma chute. Maintenant il est sur moi.

-Ta le don de faire tomber les hommes à tes pieds...
-Ha Ha bravo. Dépêche mon père va arrivé en plus on à de la chance qu'il ne soit déjà pas là.

Il nos lèvre se rapprochent dangereusement mais il se mit à me faire un bisous sur la joue. Aller c'est reparti pour un tour. Je me mis rougir. Je ne sais même plus quoi penser.

-Coucou? Ma petite Élisabeth?
-Trop tard.Zut! Lève moi!Coucou papa. Comment tu va ?
-Élisabeth que fait tu dans les bras d'un garçon! Je ne suis pas d'accord.
-je vais tout t'expliquer.
-Je crois que je vais vous laissez entre père et fille.
-Non jeune homme vous restez là.
-Bon d'accord. Attend je vais t'aider à te mettre dans ton fauteuil.
-Merci.
-Bonjour M... Je suis Bastien, un des voisins dans la rue(quelle logique) et aussi un camarade de votre fille nous travaillions ensemble sur un cour en biologie.

Au non pourquoi tu tend ta main.

-Au moins un jeune homme polie mais ça n'explique pas ce que vous faites ici?
-Je vais t'expliquer. Premièrement il n'y a rien eu et n'auras rien entre nous deux. Deuxièmement il y a un gars qui est passé, il a dit qu'il repasserait plus tard. Mais le problème et que Bastien a débarqué et avec sa batte de Baseball a cogné le gars, il est tout de suite tombait dans les pommes. Et du coup, je ne pouvais pas le laisser là, alors Bastien la posait sur le canapé et on la surveille toute la nuit je lui est mis de la glace.
-Quoi? Mais tu sais très bien quand il y a un problème tu m'appelle ( ou John) ou l'hôpital.
-Mais je vous est appeler  vous deux sauf que je suis tombé sur le répondeur à chaque fois. Et je ne pensais pas qu'il avait besoins de soin en plus dans ses papier il n'est même pas Français. Et je peux pas conduire, j'ai pas le permis... Il dort toujours.
-On n'ont reparlera plus tard quand à John aussi. Nous allons essayé de le réveillé.