shiver [ français ]

-ooo | prologue

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LE GARÇON SE tient debout devant la porte de sa maison, les deux mains serrées autour les sangles de son cartable de l'école, ainsi qu'il observe la vie que se déroule simplement devant lui, ainsi qu'il écoute le doux bourdonnement des Hovercars aux moments ou ils lui passent. Quand il sera plus grand, il decide, il s'achèterait une comme ça. Mais pas la même couleur que son père. Jamais le même que son père.

La ville sur le horizon est fait de bâtiments moches, a moitié rouillés, mais ils habitent dans l'endroit plutôt riche de Nouvelle Londres, et tout ici est beau et fait de verre et propre. Les voitures ne font pas de bruit casse-pieds: elles fonctionnent sur de l'électricité autonome, aucun des bâtiments son rouge de rouille, aucun des gens portent des couteaux ou des armes, sauf ceux qui ont le droit. Caux, il sait qu'il peut leur fair confiance. Mais ils y a quelques gens a qui il ne fait pas confiance.

Il y a une rumeur en cours, récemment, que l'infection est en train de se propager, que les guerres viennent a Nouvelle Londres, et que plus rien n'est vraiment sûr. Il peut se s'enorgueillir devant ses camarades de classe pour savoir tant de choses comme celle-la, par ce que son père travaille avec les gens importants, dans le gouvernement, et il peut se cacher a l'haut de l'escalier après le repas du soir et il peut savoir des choses que les autres ne pourront pas s'imaginer.

La seule réalité, par contre, est celle que aucun de ses copains savent ce que cela veut tout dire. Lui non plus, il ne le sait pas. Bien sûr qu'il ne comprend pas, pourquoi devrait-il?

"Chéri, tu-fais quoi?" Le son de chaussures hautes claquant contre le sol carrelé de leur maison ronronne ans l'arrière de la tête du garçon. Il sait qui c'est. C'est sa mère, bien sûr, mais la, maintenait, il est entiché de la vie de celle ville et les voitures en face de lui, et il ne veut pas partir. "Chéri?" Elle se met à genou en face de lui, et ainsi que il laisse sa vue traverser de les Hovercars pour se concentrer sur son visage, it aperçois la petite lueur de son masque qu'elle a mis pour protéger son visage de la radiation, de l'infection, pour l'empêcher à inhaler l'air mauvais.

Elle prends ses mains. "Qu'est-ce que tu fais?" Elle répète. Il peut voir le doux reflet de la lumière orange du soleil dan le nano-verre quand il se plie et tord pour bouger avec son visage comme une deuxième peau.

"Je vais à l'école," il dit catégoriquement. Ses petits doits se serrent encore plus autour les sangles de son cartable.

"Mon amour, c'est un Samedi. Il n'y a pas l'école le Samedi." Elle remarque l'absence de surprise sur le visage de son fils quand elle le parle.

"Ah." Il porte aucune expression.

Elle se lève, mais encore il ne la regarde pas, mais il garde son attention sûr la route calme, maintenant dépourvu de voitures. Bientôt, ça commence à l'ennuyer et il suit sa mère dedans.