Plus rien ne sera comme avant

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     Assise à la dernière table, au fond de la classe seule, observant le tableau que dessinés sa classe, sans même le savoir, elle observait ses camarades qui se parlaient un peu plus loin d'autres avaient leur nez sur leurs téléphones, certains se disputés en se jettent des boulettes de papier, faite à l'aide de leurs cahiers de cour, tandis que le professeur, écrivait sur son tableau, un livre à la main alors que l'autre emprisonnait entre ses doigts gigantesques une minuscule craie. Les chuchotements, moqueries et quelques bribes de disputes, qui fondaient dans la salle de classe, ne s'attardent pas à irrité l'esprit serin qu'avait le professeur connue par le manque de stabilité de son humeur, qui commence déjà à perdre patience, il arrête d'écrire l'exercice destiné à ses élèves, ses mains d'ogre commence à trembler, la craie prisonnière entre ses doigts s'est brisé en deux au même moment le professeur de français se retourne brusquement.

- interrogation surprise! s'exclama t il avec un mauvais rictus.

     Sa voix grave et menaçante a fait taire tous les élèves pendant quelques secondes, avant que ces dernier n'expriment leur mécontentement par des râles à peine audibles et des soupires, sous le regard noir du professeur, qui scrutait chaque élevés d'un mauvais œil, en plus d'être lunatique, il est asocial.
Ces yeux noire, se posent sur une jeune fille, qui portait un jean délavé, un sweat gris un peu trop large, sa peau plus pâle que le naturel le surprend toujours, ainsi que ses lunettes qui agrandissaient démesurément ses iris gris, ses cheveux blonds foncé remontés en un chignon négligé ne la rendait pas spécial, mais son regard, lui, si, dans son disque coloré il n'y avait pas d'éclat, il était éteint, mais la chose qui surprend son professeur, est bien son manque de réaction, on dirait qu'elle ne ressentait rien, on croirai qu'elle est anesthésie.
Il ne s'attarde pas trop sur cette fille qui le trouble, et se dirige vers son bureau, quelques secondes après, il leurs distribue les questions, arrivé près de la blonde, il pose la feuille sur sa table, pas un regard noir, des soupires frustré et encore moins des râles qui se succédaient dans la salle de classe, il la scrute une nouvelle fois avant de se diriger définitivement vers son bureau.
      La sonnerie retentit dans tous le lycée, créant le bonheur d'un bon nombre d'élèves, ils rangent leur affaires, et sort de cette salle de torture mentale, à grande enjambées, se bousculant en voulant sortir le premier, une fois sortit de la salle de classe, la jeune blonde se dirige vers son casier, elle entendait les adolescent de son âge s'amusés, rigolaient, se chamailler, se moquaient d'autres élèves, dans ce brouhaha elle s'enfoncée, personne ne la remarque, personne ne la prends en compte, son existence était comme effacée. Arrivé à son casier ou quelques chewing-gum étaient collés, elle entre son code et met quelques affaires à l'intérieur du casier avant de le refermer, lorsque son dos fut violemment plaqué contre le fer froid de son casier, et qu'un autres corps chaud, heurte son buste, elle ferme les yeux croyant que cela va atténué la douleur, mais ce ne fut pas le cas. Pendent quelques instants, elle n'entendait plus rien, elle s'était comme coupé de ce monde, de la réalité. Elle ouvre lentement ses yeux, guettant n'importe quelle danger, elle entendit des insultes en tous genre entrain de déchiré l'air. Elle fait glisser son regard gris, sur le jeune garçon devant elle, il avait les cheveux châtaigne, en bataille, sa peau était légèrement bronzé, signe qu'il allait souvent à la plage, ses yeux bleu ont rencontré ceux de la blonde, elle l'identifie vite à Matthew un garçon en terminale, ils ont les même cours de Math et de sciences, il faisait partie du rang supérieur, une sorte de groupe de jeune adolescents qui dévoilent leur vie à n'importe qui, et qui râlent sur tout et n'importe quoi, qui puent l'argents et qui ne se prive pas de le dévoilaient a tous le monde, ils étaient respectaient par tous les lycéens, c'étaient les populaires, lui il en faisait partie parce qu'il craint par tous le monde même par les professeur.

SilencieuseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant