Darkness

PROLOGUE

Jai vingt ans, il y a deux jours ma mère est décédée suite à une longue maladie. Notre médecin de famille lui à dépisté un cancer du sein déjà bien avancé. Elle s'est battue deux longues années mais à finit par perdre la bataille. Je suis maintenant seule au monde. Mon père est un inconnu qui a foutu le camp bien avant ma naissance, et mon frère, Bryan, à disparu de la circulation, sept ans plus tôt.

D'aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours vu ma mère enchaîner les petits boulots pour pouvoir nous nourrir et nous habillés correctement sans jamais se plaindre.

Depuis trois ans après l'obtention de mon diplôme, j'ai pris la décision d'arrêter les cours pour aider maman à payer les factures. Je travaille dans un petit bar du coin, la première année, j'ai pu m'offrir une voiture et améliorer notre quotidien. Comme je vous l'est dit plus tôt l'annonce de la maladie à changer beaucoup de chose. Presque la totalité de mon salaire passait dans les soins, sans que cela n'est servit à grand-chose sauf peut être à rallonger sa souffrance.

Je suis debout dans le salon de notre appartement vétuste. Il est à peine assez grand pour contenir le ballet incessant des voisins. Les rideaux aux fenêtres sont grands ouverts, mais les nuages qui encombrent le ciel ne laissent passer que très peu de lumière. Sans le sourire de maman, les murs dégagent une tristesse que je navais encore jamais remarquer jusqu'à aujourd'hui. La froideur ambiante me pénètre jusque dans les os. Me retrouver à supporter les sourires des compassion feinte et de pitié sur les visages crispés qui m'entourent n'améliore certainement pas la situation. Ces hypocrites ne trouvent même pas le courage de me regarder dans les yeux pour me faire part de leur condoléances et espèrent certainement se trouver à dix milles lieu d'ici.

Une fois que les allers retours pour déposé toutes sortes de plats semblent se tarir, je demande à tout ce petit monde de partir. Je vois la surprise se peindre sur leur visage mais je n'en ai rien à faire, je suis chez moi et je fais ce que je veux. C'est peut être bien la seule véritable émotion qu'ils doivent éprouvés de cette journée merdique. Il n'y a que cette chère voisine de palier, Mme Bishop, que je décide de raccompagnée à sa porte. C'est une octogénaire qui à toujours fait preuve de gentillesse envers nous malgré ce qu'on pu raconter les langues de vipères.

Avant d'ouvrir sa porte, elle tourne vers moi ses yeux pleins d'inquiétude pour me demander si tout ira bien. Elle se doute dans ces circonstances de la réponse mais je préfère lui répondre de ne pas s'inquiéter pour moi, que j'ai seulement besoin d'un peu de calme pour me faire à l'idée que je me retrouve seule désormais.

De retour dans mon appartement, je me dirige dans la cuisine où danse les ombres du soleil couchant pour me préparer une tasse de café. Vous me direz qu'à cette heure ci, ce n'est pas très recommandé de boire de la caféine et vous avez surement raison mais c'est fou ce qu'un petit geste quotidien peux vous garder ancrer dans le présent, quand vous avez l'impression que tout part en cacahuètes autour de vous. Les insomnies qui troublent mes nuits depuis quelques temps, me font pensées de toute façon, qu'une raison de plus ou de moins de manquer de sommeil ne changeront pas grand-chose.

En sirotant ma tasse sur le canapé du salon, je prend le temps de lire le courrier que j'avais caché sous les coussins avant l'invasion des parasites.

Je n'ai pas besoin de déplier entièrement la feuille que je comprend déjà de quoi il est question. Le proprio me met à la porte. Eh ben, il n'aura pas perdu de temps celui là ! Quel enfoiré !

Je regagne tant bien que mal mon calme, et essaye de réfléchir aux solutions qu'il me reste. En fait j'en ai très peu, je n'en ai qu'une. Je dois partir, ça c'est un fait avérer. Pour moi une occasion de changer de vie et de prendre mon avenir en main.

Dans cette ville plus personne ne me retiens. La seule personne susceptible de le faire aurait été mon frère. Une occasion pour partir à sa recherche ? Comme on dit la nuit porte conseil.

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Voilà, le début de mon histoire, ca fait longtemps, que j'avais envie d'écrire quelque chose qui ressemble à un roman Mais mon esprit n'arrivait pas à se fixer. Jusqu'à ce que mes personnages soit presque devenue réelle dans ma tête. Non, non je vous rassure je n'entend pas de voix... quoique ^^ je rigole.

enfin bref tout ca pour dire que je compte sur vous pour me donner vos conseils et me faire part de vos critiques quelles soit positive ou pas, ce qui compte c'est que je puisse progresser

Bisou, bisou et j'espère que votre lecture sera agréable :)