L'histoire d'une voyante

Chapitre 7

mardi..

Je me réveilla et je m'étira. Il est 8 heures du matin! Vanessa vient me chercher dans une heure! Il faut que j me dépêche.
Je descends dans la cuisine pour me faire une omelette avec du bacon et me verser un jus d'orange. Après avoir manger, je monte pour me maquiller légèrement avec du mascara et du fond teint. Je m'habille simple mais classe. Je mets mon manteau qui est aussi noir, parce que nous l'avons acheté ensemble au centre commercial. Il est huit heures moins cinq. Je mets le déjeuner de François sur sa table de chevet et je mets celui de Maryanne sur la sienne. Maryanne se réveille puis elle me sourit en murmurant:
-Merci, amuse-toi bien.

"Amuse" n'est pas vraiment le bon mot pour décrire ce que je vais faire.

-De rien, j'en ai fait un aussi à François.
-C'est très aimable de ta part.
-Je sais, à cet après-midi!
-Oui, bonne journée.
-Toi aussi.

Je la salua puis je sorti en barrant la porte. Vannessa était devant la maison assise sur un des escaliers en écoutant de la musique.

-Tu es sociable.

Pas de réponse.
Je lui tapa l'épaule. Elle enleva ses écouteurs puis elle me regarda d'un air intrigué.
-Je dis que tu es très sociable.
-Je sais.
-On y va?
-Ouais.

Nous marchons pendant de longues minutes. J'étais tenté d'écouter de la musique avec mes écouteurs aussi, mais si j'aurais fait ça, nous serons mortes tous les deux, et c'est pas mon but aujourd'hui.

Nous sommes maintenant qu'à quelques mètres de la voir ferrée. Mon coeur bat rapidement. Je stresse comme une malade mentale. Tout à coup, j'entends les premiers sifflements du train et je l'apperçois qui se rapproche. Je fis comme si de rien était. Mais les battements de mon coeur me trahissent, ils montrent mon stress et accelèrant. Le train n'est qu'à trois mètres de nous. C'est à ce moment que je décida de rattrapper Vannessa d'un coup. Elle prit peur puis elle s'évanouit. Avec mon téléphone portable, je décoda d'appeler les urgences. Cet appel me coûtera une fortune, mais c'est pour une bonne cause, j'en suis sûre