Il s'agit de Harry Potter,à la même époque et la même histoire. À l'exception d'une chose l'histoire sera d'un autre point vue, le mien. Je fais attention au moindre détails je m'aide des livres, Wikipedia et autres sites pour être sûr de se que je...
Nous passons une soirée plutôt sympa. À la table des Serpentard Warren me lançait quelques regard de désapprobation, je n'y prête aucune attention. Ça lui fera les pieds. Le soir de nos retrouvailles était celui d'Halloween et forcément, qui dit Halloween dit nouveau spectacle. Les fantômes de Poudlard offrirent un beau spectacle. Surgis des murs et des tables, ils se mirent à voler en équipe, faisant des figures de voltige. Nick Quasi-Sans-Tête, le fantôme de notre maison, c'était mis a mimer sa décapitation bâclée et ça c'était drôle.
Je rejoins mon rang pour suivre mes camarades jusqu'à la tour de Gryffondor, mais arrivé non loin du portrait de la grosse dame la foule s'entasse et bloque le passage.
-Laissez-moi passer, dit la voix de Percy qui se fraya un chemin parmi la foule en prenant des airs importants. Pourquoi c'est bloqué, ici ? Vous n'avez quand même pas tous oublié le mot de passe ?
-Il nous prend pour qui ? M'exclamai-je. Crétin !
-Il me les casse aussi cette planche à pain, renchérit McLaggen.
Peu à peu, le silence régna, comme si un frisson glacé se répandait le long du couloir.
-Que quelqu'un aille chercher le professeur Dumbledore ! Vite ! dit alors Percy d'une voix soudain aiguë.
Et il peut pas y allait lui même... Un instant plus tard, le professeur Dumbledore fut devant le portrait de la grosse dame. Les élèves se serraient les uns contre les autres pour lui faire de la place et j'en profite pour passer derrière lui pour mieux voir se qui se passait. La grosse dame avait disparu et le tableau avait etait lacéré, des lambeaux de toiles jonchaient le sol. Des morceaux entiers du tableau avaient été arrachés.
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Dumbledore jeta un rapide coup d'œil à la toile détruite et se tourna, le regard sombre, vers les professeurs McGonagall, Lupin et Rogue qui accouraient.
-Il faut absolument la retrouver, dit Dumbledore. Professeur McGonagall, s'il vous plaît, allez tout de suite prévenir Rusard et dites-lui de chercher la grosse dame dans toutes les peintures du château.
-Vous aurez de la chance si vous la trouvez ! lança une petite voix criarde.
C'était Peeves, l'esprit frappeur, qui flottait dans les airs au-dessus de la foule et semblait enchanté, comme chaque fois qu'il était témoin d'un quelconque malheur.
-Qu'est-ce que tu veux dire, Peeve ? interrogea Dumbledore d'une voix calme.
Le sourire de Peeves s'effaça. Il n'osait apparemment pas se moquer de Dumbledore et s'adressa à lui d'un ton mielleux tout aussi insupportable que son caquètement habituel.
-Elle a honte, Monsieur le Grand Directeur. Elle ne veut pas qu'on la voie. Elle est dans un état épouvantable. Je l'ai vue courir dans le paysage du troisième étage en se cachant derrière les arbres. Elle pleurait toutes les larmes de son gros corps, dit-il d'un ton joyeux. La pauvre... ajouta-t-il sans conviction.
