- Chapitre 27 -

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- Bali va m'arrêter cette foutue alarme !! s'écria Amhed

Le fameux bali, qui « s'occupait » de Nabil s'exécuta. Du coup au sous-sol il ne restait plus que mon père, un de ses gars qui continuait de faire hurler Tarik (mdr) et moi-même. Il fallait que je trouve une solution pour l'éliminer celui-là.

Je décida de retenter le coup des somnifères puisque ça m'avait l'air efficace avec l'autre qui continuait de dormir derrière le canapé. 

- Tu vas où là ? m'arrêta t-il

- Aux toilettes papa.

- Sala, accompagne là !

- Mais papa t'es sérieux ? Je suis une gran....

- Orh Maya monoko na yo tchip ! Sala accompagne là !!! dit-il en me coupant la parole

Cela voulait dire ferme ta bouche en lingala donc je m'exécuta et m'en alla accompagné de Sala vers les toilettes.

Bon aller vite vite, il faut que je trouve un moyen de me débarrasser de lui !!

Je dû quand même aller aux toilettes, en sortant je lui fis mes plus beaux yeux en lui proposant un coca-cola bien frais (au vu de la chaleur). Je comptais lui faire subir le même sort que son compatriote mais à ce moment-là Bali (le gars que mon père avait envoyé éteindre l'alarme, vous vous en souvenez ?) avança vers nous, me lançant de sales regards. 

- Qu'est-ce que tu lui a fait à Bruno ? me questionna Bali

- Mais de quoi tu parles ?  Qui est Bruno ?

- Le gars plongé dans un profond sommeil derrière le canapé !

- Ah bah tu vois que tu l'as finalement trouvé ton pote, comme un grand !

- Ne commence pas à faire la maligne avec nous ! Dit-il en s'approchant.

Et là je sorti l'arme que j'avais volé à leur pote et Dieu seul sait par quel miracle je toucha Bali au niveau de son estomac et il s'écroula sur le sol comme du n'importe quoi.

Point de vue de Nabil

A cet instant tout bascula dans ma tête et je commençais à m'imaginer les pries scénarios parce que si l'on remet les choses dans leur contextes, j'étais impuissant face à la situation : Maya était en haut avec deux hommes baraqués et armés comme never change alors que Tarik et moi étions en train de souffrir attachés comme des animaux et justement je venais d'entendre deux coups de feu.

- Qu'est-ce qu'il s'est passé encore ? Tchip, demanda Amhed

Au moment où il se retourna pour aller voir ce qu'il se tramait la haut, il fut surpris de voir sa fille, un pistolet entre les mains, braqué sur lui.

- Mais ma fille qu'est ce que tu es entrain de faire ?

- Ce que j'aurais du faire depuis longtemps, dit Maya en s'approchant doucement de lui

- Reprends tes esprits ma fille. Je suis ton père quand même !

- Mon père ? Est ce que tu te souviens de tout ce que tu m'as fait subir ? Tu penses réellement qu'un père ferai ça à sa fille ?

- S'il te plait Maya ne fait pas quelque choses que tu pourrais regretter ! Pense à ta mère !

Une larme dégoulina sur sa joue, il avait bien trouvé sa faille ce batard putain. 

Au moment ou elle allait repousser cette larme, son père sorti à toute vitesse tel Lucky Luck son revolver de sa poche pour lui tirer dessus. Il la toucha au niveau de sa jambe droite. Elle s'écroula sur le sol.

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Un secret pourtant bien gardé Où les histoires vivent. Découvrez maintenant