- Demande de rendez-vous -

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• Scott : Si traîner avec les amis de Scott était un avantage, car oui, tu avais finit par lui parler par messages, cela engendrait aussi pas mal de problèmes. Tu les avais d'abord trouvé louches jusqu'à ce qu'ils t'expliquent le surnaturel. Enfin, il avait fallu attendre qu'Allison manque de t'embrocher avec l'une de ses flèches. Suite à cela, tu avais commencé à les aider, mais tu n'avais pas prévu qu'un loup-garou psycopathe en veuille à ta peau. C'était Scott qui t'avais protégé ce soir là. Alors que vous vous étiez caché dans un endroit exiguë et plutôt inaccessible, il avait profité de ta panique :
- Ça te dit un rendez-vous ?
Tu n'avais fait qu'hocher la tête, sans même comprendre ses paroles.
- Cool, samedi 18h.
- Pardon, quoi ?
Il avait rit et répété sa phrase avant de te laisser filée.
Tu t'étais alors fait une promesse : plus d'affaires surnaturelles avant un mois.

• Stiles : Lors de la rentrée, tu avais revu le garçon du cimetière. Vous vous étiez parlé plus longtemps et Stiles et toi étiez rapidement devenus amis. Tu aimais son penchant pour les complots et son côté hyperactif. Il te rappelait un peu comment tu étais avant. Depuis, tu avais appris, à tes dépends, à être plus posée et moins curieuse. Mais Stiles ravivait ses traits de ta personnalité.
- Mais à ton avis, est-ce que la poule est apparu avant l'oeuf ?
Tu revins à toi en écoutant de nouveau la conversation sans queue ni tête que vous aviez démarré.
- Il a bien fallu quelqu'un pour le pondre cet oeuf.
- Pas faux.
Tu pris des affaires dans ton casier avant qu'il reprenne la parole :
- Tu m'accompagnerais à la fête de Lydia ?
- Bien sûr !
- À samedi alors.
- Stiles...
- Oui ?
- On est mardi. Alors si c'est une excuse pour ne pas me supporter cette semaine, j'espère que je ne te verrais pas que Samedi.
Il ria et te tira vers votre cours de chimie.

• Derek : Un samedi, tu étais dans le garage de Beacon Hills, qui était également celui de ton père. C'était habituel et tu traitais un cas des plus habituel ces derniers temps.
- Donc je récapitule. Après les impacts de balles et le pare-brise inexistant du mois dernier, la batterie bousillée d'il y a deux semaines, le pneu droit de lundi, maintenant c'est le pneu gauche ?
- En effet. conclu le grand brun
- Et mardi prochain se sera quoi ? Un volant en moins ?
- Qui sait.
- Une Camaro ne mérite pas ça... Enfin... Reviens dans deux heures, elle sera prête. soupiras-tu
Tu remballais tes affaires quand il te demanda ce que tu faisais. Tu lui répondit que tu prenais simplement une pause pour aller manger.
- Très bien : je t'accompagne.
- Qui te dit que je suis d'accord ?
- Ton sourire. Suis moi, il y a un resto pas loin.
Et voilà comment tu te retrouvas en compagnie de Monsieur grincheux au restaurant.

• Isaac : Si lors de ton premier jour tu n'avais connu qu'Isaac, tu étais désormais une amie proche de Lydia Martin. Une personne totalement différente à vrai dire, mais tu aimais énormément Lydia, ses amis : Alison, Scott et Stiles, ainsi qu'Isaac. Malheureusement, tes rapprochements avec le groupe d'amis t'avaient éloigné du frisé. Et il t'avais définitivement perturbé il y a quelques jours :
- Tu sais, je ne peux pas t'en vouloir. Tu es amie avec quelqu'un de plus sociable. Elle doit sûrement être plus intéressante... C'est pas grave, Y/N.
Tu avais donc sérieusement réfléchi et il te manquait vraiment. Alors tu finis par épingler ton ami dans les couloirs :
- Je suis vraiment désolée Isaac. Je voulais pas faire ça, c'était involontaire. Tu es mon premier ami ici et peut-être l'un des plus importants.
- Y/N...
- Juste, laisse moi finir. Pour me faire pardonner, comme demain on a pas cours l'après-midi, tu n'as qu'à venir chez moi et on révisera ce truc de chimie que tu ne comprends pas. C'est pas vraiment cool comme rendez-vous à première vue mais au moins c'est utile.
Il ne fit que te sourire et tu le pris donc dans tes bras. Il sursauta, ce qui te fis froncer les sourcils, mais tu ne dis rien.
- Je tiens vraiment à toi, Isaac.

• Jackson : Le co-capitaine de Lacrosse avait finit par s'excuser pour ses paroles et toi pour ton acte. Néanmoins, tu avais toujours l'impression qu'il te fixait bizarrement. Et tu remplacerais bien ce terme par l'adverbe "psycopathement". Un soir, tu étais venu à l'entraînement pour attendre Danny qui t'avait proposé son aide pour un projet d'anglais. Malheureusement, tu faillis recevoir une balle perdue en pleine tête et ton cri fit remarquer ta présence. Tu t'excusas et reposas ton attention sur ton exercice d'anglais.
- Pas vraiment le lieu parfait pour faire ses devoirs, la folle.
- J'attendais juste Danny, alors il fallait passer le temps. Dis-tu, embarrassée
- Tu aurais pu nous regarder.
- Pas mon truc.
- Et pourquoi Danny ? C'est pas vraiment la meilleure cible pour une fille.
- Il m'aide juste. Tu sais, il n'y a pas que des garçons qui s'apparentent à des hommes préhistoriques qui suivent leurs besoins primaires. Il y en a certains qui sont normaux.
- Je comprends, alors je vais prouver ça.
- Quoi ?
- Bon tu me suis ? Il fait froid, on sera mieux dans un café pour que je t'explique ce truc pour enfants de première année au collège.
"Chasser le naturel, il revient au galop" fût la première chose qui te vint à l'esprit...

• Liam : Tu étais encore avec Mason et Liam. D'ailleurs, ta sœur Hayden commençait à en avoir marre de les voir traîner dans le salon sachant qu'elle déteste Liam. Tu ne sais pas pourquoi d'ailleurs.
Vous discutiez tranquillement mais Mason s'était discrètement éclipsé pour aller voir un certain Corey, vous laissant, Liam et toi, dans un silence gênant.
- Donc... commenças-tu
- Un rendez-vous samedi ?
- Hum...Ouais, pourquoi... pas.
- Sympa.
Il fit une grimace gênée et s'en alla, te laissant seule au milieu du couloir, les joues rosies.

• Aiden : Heures de colles sur heures de colles. Voilà ton nouveau programme depuis que tu connaissais l'un des jumeaux. Bon, il n'était pas le seul responsable : les vacheries étaient réciproques malgré les avertissements de toute la meute. Tu savais parfaitement de quoi était accusés les jumeaux, mais bizarrement, tu faisais confiance à Aiden. Enfin assez pour penser qu'il ne se servait pas de toi pour atteindre ton frère, Scott.
Tu étais actuellement à ton casier lorsqu'il vînt te voir.
- Alors, quoi de prévu aujourd'hui pour me taquiner comme tu le dis si bien Aiden ?
- Rien du tout.
- Quel dommage.
- Un cinéma avec moi, tu en penserais quoi ?
- Est-ce que c'est une façon d'atteindre mon frère ?
- Pardon ?
- Je suis pas naïve, Aiden. Et si c'est pour me kidnapper ou je ne sais quoi, vas te faire voir. Mais je pense aussi que tu as peut-être besoin de quelqu'un qui ne te voit pas que comme un tueur.
- Que comme un tueur ?
- Je te prends comme tu es. Alors ta réponse ?
- Au début oui. avoua-t-il
- Ok. Va pour le cinéma alors.
Il déposa un bisou sur ta joue et vous étiez allé à votre prochain cours ensemble.

• Brett : Tu n'avais rencontré le beau joueur de Devenford qu'à cet entraînement plus ou moins commun. Sauf qu'en raison d'une ancienne blessure, tu avais du t'entraîner très dur. Tu restais parfois jusqu'à tard et repartais généralement chez toi au bord de l'épuisement.
Encore une fois, à 20h, un samedi soir, tu trainais sur le terrain d'entrainement de ton lycée. Tu t'entrainais à tirer le plus précisément possible et les résultats étaient concluants.
- Se serait pas mieux avec un gardien ?
Tu te tournas et vis Talbot se servir dans ton sac pour attraper une crosse.
- Qu'est-ce que tu viens faire là, Talbot ?
- T'aider, tout simplement.
Vous passâtes deux heures de plus sur le terrain en échangeant régulièrement les rôles.
- Dis, ça te dit qu'on aille boire un verre demain ?
- À deux ?
- À deux.
- Avec le capitaine de Devenford ?
- Parfaitement.
- Je pourrais récolter des infos sur ton équipe. Alors à demain, champion.
Tu terminas sarcastiquement ta phrase et lui fis un bisou sur la joue avant de t'en aller.

• Parrish : Tu étais sur le parking du centre commercial de Beacon Hills. Oh non, tu ne rentrais pas d'une virée shopping, enfin si ; techniquement parlant. Tu avais juste faillit renverser une dame âgée et la police était arrivée pour faire le constat. Bien entendu, il fallait que se soit au bel adjoint de constater l'empleur des dégâts : une vieille dame traumatisée, un cadi renversait dont certains produits ont repeint la chaussée, ainsi que toi, boudeuse et honteuse.
- Mais tu es un vrai danger publique Y/N ! te répétait Parrish pour la troisième fois
- Conduire une voiture n'est pas inné pour tout le monde...
- Heureusement que tu n'as fait que renverser le charriot !
- Je l'ai déjà dit, j'ai du mal avec une voiture.
- Bon écoute, je te donnerais des leçons de conduite. soupira-t-il
- C'est un rencard ?
- Seulement quand tu sauras conduire.
Sa réponse fut accueillie d'un grognement de ta part.

• Théo : Au lycée, tu avais recroisé le jeune homme du parc... et tu l'avais soigneusement évité, quitte à faire un détour. Il te faisait vraiment flippé. Il fallait dire que tu n'étais pas la personne la plus courageuse de cette planète, malgré ta grande bouche. Tel un crocodile : grande gueule, petites pattes... Tu étais retournée au parc, seule, pour y faire du roller. Malheureusement, il était là. Tu t'apprêtais à faire demi-tour mais il t'arrêta :
- Tu as peur de moi ?
- Pas du tout.
- Alors que tu fais des détours au lycée ?
- Tu n'as... tu n'as juste pas l'air de la personne la moins psychotique de cette planète...
- Et si tu m'apprends ce que tu fais sur tes patins, et moi sur mon skate, tu me verras autrement ?
- Pardon ?
- Je veux juste que tu vois le vrai Théo.
- Ok...
- À demain alors.
Tu te demandais à ce moment là si la comparaison avec un crocodile n'aurait pas été mieux avec un Yorkshire : ça grogne, ça fuie, mais ça reste complètement stupide. Peut-être bien oui...

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- Imagines et préférences { Teen Wolf } -Où les histoires vivent. Découvrez maintenant