Only once

Chapitre 1

Maman s'inquiètait toujours pour moi depuis toute petite. Elle disait qu'à ma naissance les médecins avaient vu quelques problèmes au niveau de mes poumons et de mon coeur. C'est pour ça qu'on parti habiter loin de la ville. Un endroit où je pourrais respirer tranquillement sans que ma santé s'agrave. Maman avait trouvé un nouveau travaille grâce à une vielle amie. Et moi, j'allais à l'école.

Tous les jours en fin d'après midi, je partais dans mon endroit secret : ma cabane en bois. Elle se situait près de la petite rivière qui passait derière la maison. Si maman avait découvert ma cachette elle m'aurait surment grondé de traîner dans un endroit sal. Seule, je jouais avec se qui m'entourais. Des feuilles, des cailloux, le vents, je faisai même des courses de fourmi. Et puis quand j'avais chaud j'allais mettre mes pieds dans l'eau.

Mais aujourd'hui, je n'avais pas pu mi rendre. Je soufflais encore une fois pour montrer a maman que je n'étais pas d'accord d'aller à l'hôpital. Mais elle ne disait rien comme à chaque fois.
Et je souflais une fois de plus. Je posais ma tête contre la vitre de la voiture pour admirer les nuages.

- Maman ! Maman l'interpellais-je.
Les nuages y me suivent !!!

Elle rigola par ma remarque. Puis elle me regarda dans les yeux un instant avant de laisser un léger sourir sur son beau viage et répétant doucement que les nuages nous suivaient.

Un peu plus tard nous étions arrivée. En traînant mes pieds, maman et moi étions entrée dans l'hôpital. Une infermière nous  avait pris et installé dans une chambre en attendant le médecin.
Je voulais partir d'ici. Pour moi, j'étais sur que cette endroit était maudits mais maman me disait que c'était l'endroit le plus sur moi. Donc pour lui faire plaisir je ne disait presque rien et souriais.
Le médecin arriva enfin et me fit passer un tas d'examen bizarre. D'abord j'avais du passer dans un tube, puis on m'avais photographié mes poumons et j'avais fait du sport. Après ça, le médecin avait dit qu'il fallait attendre un moment avant d'avoir les résultats de mes performances.

Plus le temps passait long, plus je voyais maman faire les cents pas. La voir comme ça m'énervais. Depuis toujours elle ne cessait de s'angoisser pour rien. Et depuis toujours je la rassurais avec mes câlins.

Le médecin fit de nouveau son apparition et demanda à voir ma maman seule. Assise sur le lit, je balançais mes pieds qui ne touchaient pas le sol en attendant sagement qu'elle revienne. Mais quand maman rentra quelque chose avait changé. Elle m'avais entouré de ses bras chaleureux et m'avais dit d'être courageuse. Main dans la main nous quittions l'établissement. Mais Juste avant de partir, j'avais vu quelque chose d'incroyable. Quelque chose que je voulais revoir. Un ange. Mon ange.

Pendant le soupé du soir, maman était resté dans ses pensés. J'avais demandé ce que le médecin avait pu dire mais elle m'ignora. Voulant avoir son attention, j'avais décidé de lui raconter la chose incoyable que j'avais vu à l'hôpital.

- Maman, tout à l'heure, à hôpital j'ai vu un ange dis-je en la regardant dans les yeux.

Elle me regarda avec un air exapérais. Peut être que je disais beaucoup de bêtise mais maman ne me reprenait jamais. Elle affichait juste un visage fatigué. Mais cette fois je ne mentais pas. J'avais vu un véritable ange.

- Maman, l'ange avait des grands yeux verts comme ceux de papa et il avait les cheveux noir. Je crois que l'ange avait l'âge de la fille a ta copine et puis il avait un visage tellement joyeux. Racontais-je.

Elle soufla et rigola. Je ne comprenais pas toujours maman surtout quand elle agissait comme ça. Peut être à cause de papa qui avait décidé de partir avec une de ces amis.

- Ellie ça devait être un jeune pâtient de l'hôpital, expliqua maman.

Elle me disait ensuite d'aller dormir car je devais être très fatigué par cette journée. Je lui obéie et parti me coucher. Elle passa quelques minutes plustard mon me faire son bisous sur le front.

- Je t'aime Ellie me murmura-t-elle. Tu seras toujours dans mon coeur ma petite fille, murmura-t-elle encore plus bas. 

Je n'avais pas compris la derniere phrase de maman. Peut être qu'elle se parlait. Ça lui arrivait souvent quand elle était triste. Comme le jour où papa avait décidé de partir à New York sans nous, je l'avais même vu pleurer. Ce jour là, elle avait dormi avec moi et était resté toute la journée suivante avec moi. Peut être qu'un jour je saurais pourquoi les larmes de maman avait coulé.
Doucement je m'endormis et commancais à rêver de mon ange mystérieux.