- A Winter Story - [Bellarke Vf] ( Terminée )

Chapitre 3 : Octavia

"Où est Octavia ?!" demanda alors Lincoln, angoissé

"Prend la je vais chercher O ...." cria Bellamy en parlant à Lincoln.

"On ne peux pas y retourner !!!! Vous serez tous fait prisonniers !!!" résonna Monty, prenant Clarke avec lui.

Lincoln regarda Bellamy.

"Il a raison, vous allez vous faire fusiller. Octavia connait Indra, elle ne se fera pas tuer tant qu'Indra sera là-bas. On ramène Clarke au camp puis on repart chercher Octavia. Mais il faut qu'on se bouge, ils vont arriver !!!" déclara Jasper, pas si sûr de lui qu'il voulait bien le faire croire.

"Je lui avait dit je...."

"Rentrons. Octavia est forte, ils ne l'a tueront pas sans contreparties. Clarke a besoin d'un medecin. " raisonna Lincoln, très inquiet mais également plus raisonnable que Bellamy.

Clarke s'évanouit dans les bras de Monty. Bellamy se précipita pour la prendre dans ses bras.

"Dépêchons-nous. Plus vite on sera arriver plus vite on pourra revenir la chercher." déclara-t-il

Le groupe se mit en route. Clarke passa des bras de Bellamy à ceux de Lincoln environ une heure sur deux. Ils durent se poser sous un gros chêne pour dormir, mais Clarke n'ouvrit pas l'œil. Tandis que tous dormaient, Bellamy regarda Clarke endormie, le visage creusé, des cernes bleus très impressionnantes sous ses paupières.

Si j'avais su Clarke... JAMAIS  JE NE T'AURAIS LAISSER PARTIR.

Le lendemain matin ils reprirent très vite, cette fois Clarke ouvrit les yeux pendant que Bellamy l'a portait. Elle regarda son cou, son regard vers l'avant. Il avait posé sa tête contre lui. Pendant quelques longues secondes, elle ne dit rien, mais ses blessures commencèrent à la bruler. Bellamy l'a regarda et voyant son visage empli de douleur, il l'a posa à Terre.

"Clarke dit moi où tu as mal ?!" demanda-t-il, posant délicatement sa tête à terre.

"Mon dos....." murmura--elle, les traits de son visage se serrèrent.

Il l'a tourna puis déchira un bout de sa guenille, puis vit toutes les marques de fouet qui s'étaient infectées. Il resta bouche bée.

Monty lui passa la gourde de Rhum.

"Il faut qu'on désinfecte Clarke. Ca risque de piquer un peu... " prévint Bellamy, pendant que tout le monde regardaient la scène, ne pouvant rien faire de plus.

"Vas-y " cria-t-elle faiblement , les larmes aux yeux.

Bellamy versa le rhum sur son dos ensanglantée. Elle enfonça ses doigts dans la terre, puis poussa un cri si strident que le coeur de Bellamy se raidit. Il semblait paralysé par sa souffrance, il ne pouvait strictement rien faire.

Il lui mit son manteau puis après 2 minutes de cri, elle retomba dans les pommes à cause de la douleur. Il l'emmitoufla dans son manteau puis la reprit dans ses bras.

"Il reste 3 kilomètres. On y est bientôt." déclara Monty, attristé

Ils marchèrent encore. Lorsqu'ils virent enfin les portes d'Arkadia, tous soufflèrent. Des soldats arrivèrent avec une civière, Abby sur les talons.

Elle se jetta sur Bellamy mais surtout sur sa fille, puis resta choqué en voyant le visage si amaigri de sa fille. Elle regarda Bellamy, puis lui murmura un "merci" qui venait du cœur. Bellamy posa enfin Clarke sur la civière. Tous rentrèrent. Kane les accueillirent en leur faisant une leçon de morale.

"Octavia est resté là-bas. On doit y retourner immédiatement." déclara alors Bellamy, à bout de force.

"Non, plus personne ne vas nulle part. Vous avez ramener Clarke, mais vous avez laissé Octavia. Vous avez échoué, j'espère que vous réfléchirez à cela." cria Kane

"Monsieur, ils ont fait ce que vous auriez du faire !!! Vous devriez penser à nous faire confiance, on est arrivés ici bien avant vous, alors une once de respect serait la bienvenue de la part de vous  tous ! Nous allons  retourner chercher Octavia, peut- importe votre avis !!!!" répliqua alors Jasper, contre tout attente.

"C'EST NON !!!! VOUS AVEZ FAIT ASSEZ DE DEGATS COMME CA !!!!! GARDES ARRETEZ-LES !!!!" ordonna Kane, prit d'une colère noire

Les soldats se jetèrent sur eux, mais malgré les réflexes de Lincoln et Bellamy c'était trop tard, la force n'est rien contre le nombre.

Cinq  minutes plus tard, les garçons furent emmenés dans la cellule. On leur apporta un plateau repas, mais ils furent trop énervés et fatigués  pour manger.

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