Le vélo de Gaspard

L'allemand!!

Tous les jours qui suivirent les allemands se plaçaient là devant cette grille et ils ne disaient rien. Jusqu'au jour où ils entrèrent dans la salle de classe, demandèrent au professeur la liste de noms des élèves de la classe.

Ensuite ils restèrent quelques instant pour nous observer mais ils ne disaient rien comme s'ils étaient figés.
Quand les cours furent terminés Gaspard sorti de la salle puis de l'école en vitesse, mais arrivé devant la grille il senti une forte pression sur son avant bras, il se retournait brusquement et vit un de ces allemands qu'il croisait chaques matins.
Le policier lui fit signe de s'approcher. Gaspard le suivit, il ne savait pas vraiment où est ce que cet homme l'enmenait mais il le suivait, il n'avait pas vraiment le choix!

Après quelques rues dépassées, ils s'arrêtèrent devant une porte tout ce qu'il y a de plus banale. L'allemand ouvrir cette porte, dernière il y avait des escaliers qui montaient. Il faisait chaud, les marches lui semblait être immense vu sa petite taille. Il les monta ensuite sans faire d'histoire. Arrivé en haut il vit pleins de bureaux ou travaillaient des policiers tels que celui qui l'avait emmené ici.

Ils continuèrent de marcher jusqu'au fond du couloir puis ils s'assirent sur les chaises qui se trouvaient juste devant la porte d'un bureau. Un homme grand robuste et trapu ouvrit la porte. Il était dans la fleur de l'âge il devait avoir entre 45 et 48 ans pas plus, pas moins. 

Il le fit entrer dans la pièce et il lui parla d'abord de ses parents, il ne comprenait pas pourquoi d'ailleurs mais bon!!
Il parlait il parlait puis! Il lui dit qu'il avait du travail pour lui!

Ce travail consistait à livrer des paquets a des commerçants comme le café de la place ou encore l'épicier du coin de la rue. Toutes ces sortes d'enseignes qui se trouvaient dans la ville. Il lui dit d'abord Non catégoriquement puis quand l'homme lui dit qu'il allait être payé 25 francs par paquets livrés. Son avis changea presque instantanément.

De retour chez lui il ne parla pas de ce petit rendez-vous et continua sa journée comme d'habitude.