The 100 : le règne du feu Tome 2 et 3 [ En Réécriture ]

T2 Chapitre 12

PDV Clarke

La montagne d'Azgueda. Vu que j'avais été assommé durent mon premier trajet, je n'avais pas pu voir ce à quoi ressemblait le territoire de la nation de glace. Toute cette neige, voila qui me changeais des terre arides et sableuse.

- Quand la Wanheda aura fini de rêvasser peut-être qu'on pourrais repartir. Me dit le prince.

- Et si tu nous disais déjà pourquoi Lexa et mon peuple son à Azgueda et en vie de sur-quoi. Renchérie Octavia.

- La reine, veux le pouvoir de la reine du feu plus que tout. Et comme elle la dit, la guerre n'en fini pas. Si ça continu il ne restera plus rien sur quoi régner. Pour ce qui est de vos amis et de la Heda, nous avons fais passer une rumeur comme quoi la Grande Wanheda s'était enfuit et réfugié dans un village plus en bas, proche de la frontière. Quand ils sont arrivé nous n'avions plus qu'a les cueillir. Bien entendu nous avons encore perdu des hommes mais ça en valais la peine. Pour tout vous dire c'est moi qui avait eu cette idée. Et elle a tellement bien marché que même la reine du feu est tombé dans le panneau. Elle vien droit sur nous.

- Alors c'est pour cela qu'on nous envois, enfaite vous n'aviez plus assez d'hommes ! lui répondit Octavia.

- Quoi ? Lui demandais-je.

- Leur armé est divisé. M'explique à-t-elle. Entre Polis et les front contre ton peuple leur force diminue.

- Et comme je me suis entraîné avec elle alors c'est à moi de la tuer... finis-je part dire, comprenant où ils voulait en venir.

Nous parcourùrent tout le territoire à cheval. En seulement deux jours nous étions arrivé à la frontière. Nous avons commencé par prendre nos marque. J'était impressionné par l'attitude d'Octavia. Elle avait énormément grandi en maturité et en connaissance du combat. Il est bien loin le temp où elle n'était rien de plus que la soeur de bellamy. Une petite fille hautaine qui avais vécu pendant 16 ans sous la trappe d'un plancher. Heureusement qu'elle a rencontré la bonne personne au bon moment. Qu'elle a rencontré Lincoln. Cela lui a au moins épargner de finir comme moi.

Une fois la nuit tombée j'ordona à Octavia et Roan d'aller discrètement ce poste au abort du camp au cas ou, pendant que je parti m'occuper de le reine. Je me faufila entre les tentes. Brisa une ou deux nuque au passage. Et rentra dans sa tante. Elle dormait. Comme à son abitude et paraissait faible. Mais je la connaissais que trop bien pour me laisser amadouer. Sans le moindre bruit je dégaina ma lame et la plaça sous sa gorge avant de rapprocher mon visage du sien. A cette distance je pouvais parfaitement sentir le léger souffle d'air qui sortait de sa bouche. Je place à ma main gauche dessus afin de l'interrompre. Quelque seconde plus tard le manque d'air la fit se réveiller dans un sursaut. Nos regards se croisèrent, je crus déceler l'espace d'un instant un soupçon de peur au moment où elle réalisa ce qui était sur le point d'arriver. Puis comme à son habitude elle redevena calme. Néanmoins je pouvais sentir son coeur s'accélérer.

- J'imagine que cela devait arriver. Me dit t'elle d'une voix à peine audible.

- Kara... dit moi juste pourquoi ?

- Le pouvoir Clarke. Tout ce resume a un jeu de pouvoir. Notre peuple commençait à avoir plus de respect pour toi que pour moi. Après tout ce que j'ai sacrifié pour en arriver là, il était hors de question que je perde mon titre. Ne te méprends pas sur moi Clarke. Au début j'avais beaucoup d'affection pour toi. C'est pour cela qu'on se disait être comme des soeur. Mais il a fallut que tu devienne la grande Wanheda. Dis-moi un peu ce qu'une petite reine que faire face à la grande Wanheda ? En fin de compte j'aurais dû te tuer dans le désert quand nous nous sommes rencontrés pour la première fois. Ça m'aurait évité bien des ennuis. Tu n'es en rien supérieur à moi Clarke.

- Certes mais moi je vais vivre tandis que toi seule la mort t'attend. Je suis la Wanheda, commandante de la mort, et en tant que t'elle je prend ta vie au nom d'Aria et de Niylha.

Sur ces mots, je fis lentement glisser mon épée à travers sa gorge. Suffisamment lentement pour qu'elle ressente chaque centimètre se fendre sous la lame. Mais également pour savourer cet instant que j'ai attendu depuis si longtemps. Le sang gicla en plusieurs petits jets. Se répandant sur les draps mais également sur mes vêtements. La reine Nia d'Azgueda m'avais dit de lui ramené la tête de la reine... Alors je vais la prendre au mots. Je leva mon épée en l'air, puis la rabattit sur sa gorge à plusieurs reprises. Saisie une bonne poignées de cheveux et sorti de la tente.

Un jeu de pouvoir... Il est temps que je me relance dans la partie.