prologue

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j'aurais jamais sue qu'un rire pouvait arreter la terre de tourner.

-Elle était incompréhensible cette nana. Quand elle avait besoin d'attention, elle te criais de te casser. Puis quand elle avait besoin d'être seule, elle ne disait rien en espérant se faire oublier. Et si jamais elle avait mal elle fixait un point invisible avec sa tête de déterré. Et si tu lui demandait si ça allait, elle te souriait, du mieux qu'elle pouvais, avec sa voix qu'il te disait oui et ses yeux qui te suppliait de ne pas la laisser tomber, d'insister, de la prendre dans tes bras, et de lui dire que ça va allez. Mais tu sais, si tu as le malheur de la prendre dans tes bras, elle te repoussera. Parce que veut mieux être seule que paraître faible. Mais tu sais, cette nana, elle est loin d'être faible, justement elle en a trop endurée. Puis cette nana elle a mal, elle a une carapace énorme, elle se dit que personne ne peut la sortir de tout ce bordel, putain qu'est qu'elle est compliqué, mais tu sais, cette nana, elle a juste besoin qu'on l'aime. Qu'on lui montre qu'on l'aime. Qu'on lui montre que c'est pas elle qui doit changer, mais la société.

- Pourquoi ma t-elle abandonner alors ? Dis je.

les deux frère Où les histoires vivent. Découvrez maintenant