N.04

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Salam Aleykûm,
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Après avoir discuté du braquage, je m'apprêtais à partir mais une main m'arrêta fermement.

B: Si tu parle de quoi que ce soit sache que tu cours à ta propre muerte.

J'hochais seulement la tête et m'en allais.
J'me posais beaucoup de questions, et si c'était un piège? Et si j'etait seulement un pion?
Barbe douce est certes intelligent, mais pas autant que moi.
J'sais pas ce qui se trame dans sa tête mais je compte bien le savoir, c'est est qu'une question de temps.
Pour l'instant je reste basée sur un seul et unique objectif, pire que ce braquage;

Expliquer à ma mère pourquoi je suis dehors, en chemise de nuit et que je pue le chloroforme.

Ouais, sa s'annonce dur.-rire-

[...]

Devant la porte de la cabane, j'hésite à entrée, car je sais s'qui m'attend;

La claquette qui fouette.

Quand mon père vivait avec nous, il avait apris à ma mère, je cite " l'art du chebcheb*" -rire-.
C'était vraiment comique, mais une fois qu'on y goûte bah c'est plus si comique que sa.-rire-

Une fois décidée à entré, je ne reçois rien ce qui signifie que ma mère n'est pas à la maison.
Je souffle interieureument de soulagement, j'avais déjà assez subit avant-hier.-rire-

[...]

Sa faisait quatre heures que mamà n'était pas rentrée, j'avais peur.
Quand sa toque à la porte, je cours pour ouvrir pensant que c'est ma mère.

Quel était ma surprise lorsque je me rend compte que c'était Barbe douce qui était à ma porte.

N: Quoi?
B:Je sais où est ta madré.
J'écarquille immédiatement les yeux.
N:Oú?!!
B: Il faut payé señorita..
N: Combien?
B:Je veux que tu signe ce contrat, et sans le lire.
N: Bale*.

Mauvais choix Nûrhân, ta madré ne t'avais pas appris que signée un contrat sans le lire était dangereux.

Nûrhân, tu viens de signée ta mort.




Nûrhân

Plume de cité.

*chebcheb: sandale en 🇪🇬.
*bale: bien/ bien sûr.

"Te gustaría miseria." Nûrhân.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant