[TERMINÉE] Tome 1 : Brisons les lois.

22. Découverte et reprise.

Quand Marion est venue me récupérer à la bibliothèque, elle a trouvait que j'étais plus "détendue" que ce matin ! Ah Marion, si tu savais ...
Je lui ai mentis en disant que j'avais étudié l'histoire car, je ne comprenais rien aux cours du prof à cause de son blabla. 

"Tu as réussi à étudier l'histoire sans tes affaires d'histoire ? Mon visage sait décomposé. Elles sont sur ton bureau. Où étais-tu, Carrie ?"

"Tu m'espionnes ?!" ai-je hurlé.

"Tu ne manges plus à la cantine le midi également. Où tu vas ?!" son ton était dur, mais elle ne crié pas.

"Ça ne te regarde pas !"

"Si tu ne me dis rien, comment veux-tu que je t'aide Carrie ?!"

"Je n'ai pas besoin d'aide ! J'ai marqué une pause. Dans moins d'un an je suis majeure, je pourrais enfin vivre ma vie !"

"Avec ton copain. C'est lui que tu vas voir le midi ? Et là, tu étais chez lui aussi ?!"

Je l'ai regardé dans les yeux avec un regard dur puis je lui ai dit que oui, que j'étais avec lui pendant tout ce temps. Elle a soupiré en me demandant pourquoi je me cachais, qu'elle acceptait le faite que je sois en couple et que je n'avais aucune raison de mentir. Pour finir, elle veut le connaître.

"Tu es sous ma responsabilité, Carrie. J'aimerais le connaître, pour être sûre que c'est un homme bien et que tu ne cours aucun danger avec lui !"

"Je ne crains rien et tu ne le rencontreras pas !" je suis sortie de la voiture en montant dans ma chambre.

Je me suis couchée sur mon lit en me demandant si j'étais assez discrète en ce qui concerne Harrison et moi.
Je n'ai pas enregistré mon adresse email et mon mon de passe sur facebook, puis personne sait que j'ai un compte. Je n'ai jamais dit son prénom et au lycée, on se voit après les cours quand tout les autres sont partis. Franchement ? Je ne vois pas comment on pourrait se faire prendre !

Je suis descendue à l'heure du dîner, uniquement. J'ai mangé sans rien dire, je ne voulais pas leur parler. Comment a-t-elle su que je n'allais plus à la cantine ? Tout simplement parce que ses enfants lui ont dit, il n'y a pas d'autres réponses.
J'ai pris ma douche et je me suis enfermée de nouveau dans ma chambre, pour lire. J'étais tranquillement installée sous la couette quand quelqu'un a toqué. Je n'ai pas répondu, sachant que c'était sûrement Marion.

''Carrie ? On peut parler ?''

Je ne me suis pas trompée.

''Je suis occupée à lire.'' ai-je répondu en fixant mon bouquin.

''Tu vas arrêter quelques minutes, on doit parler.''

J'ai soupiré en fermant mon livre puis je l'ai posé sur ma table de chevet. Marion est venue s'asseoir à mes côtés, en commencant à me demander depuis combien de temps j'étais avec cet homme et si c'était sérieux.

''Oui c'est sérieux, même si cela fait qu'un mois qu'on se fréquente.''  ai-je répondu avec une voix distante.

''Il faut bien un commencement. Elle a marqué une pause. Écoute, j'aimerais vraiment que tu ai confiance en moi, Carrie. Je ne t'empêcherais pas de le voir, mais j'aimerais que tu me dises la vérité, c'est tout.''

''Si je vais dormir chez lui ou simplement manger en week-end, tu ne me diras rien ?''  je commençais à répondre plus gentiment.

''Pour dormir, je ne suis pas d'accord. Je ne le connais pas. Après pour allée manger, c'est faisable si tu respectes ton heure de retour.''

''Je la respecterais. Après, sache que j'ai déjà dormi chez lui et il ne sait rien passé.''

''D'accord, mais je t'autoriserai à aller passer la nuit chez lui quand je le connaîtrais.''

''Bon, je vais y réfléchir. Bonne nuit, Marion.''

Elle m'a souhaité une bonne nuit et elle est partie. J'ai terminé mon chapitre et j'ai éteins la lumière, pour dormir.

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La semaine est passée.
On est lundi et Harrison est revenu nous faire cours ! Puis aujourd'hui c'est la photo de classe.
Je me suis habillée avec une jupe et un chemisier, puis j'ai coiffé mes cheveux en chignon. J'ai bien vue la tête de Harrison quand je lui ai passé devant pour entrer en classe ! Il n'a pas l'habitude de me voir aussi jolie.

A la fin du cours, j'avais une heure de libre vue que mon prof était absent. J'ai attendu que tout le reste de la classe sorte, je suis sortie la dernière et je suis retournée dans la salle aussi vite en renfermant la porte ! Comme ça, certains m'ont vue sortir.

''Tu es magnifique aujourd'hui !''

''C'est la photo de classe. Je me suis avancée pour l'embrasser tendrement. Tu m'as manqué.''

''Toi aussi bébé. Il m'a porté pour me faire asseoir sur un bureau. Tu sais que j'ai envie de toi ? Maintenant.'' m'a-t-il dit entre deux baisers.

J'ai passé mes bras autour de son cou, tandis que ses mains étaient sur mes hanches.

''C'est pas raisonnable. Et j'ai pas envie d'émailler mes collants !"

''Ça sert a rien les collants, c'est une perte de temps ! Mais je te promet de ne pas les abîmer. Je ne peux pas te laisser partir comme ça sans rien faire. Non, non, non.''

''C'est vraiment trop risqué, Harrison.''

''Je vais fermer la porte à clé et sais bon ! Je sais que t'a pas cours.''

Il a fermé la porte avant de revenir vers moi.
Il m'a embrassé tout en défaisant les boutons de mon chemisier. J'ai commencé à faire de même avec sa chemise. Il a baissé mes collants et ma culotte avant de défaire sa ceinture. En même pas 10 minutes, il me pénétrait en me caressant les seins.
Il se tenait debout, devant moi. J'étais allongée sur un bureau, les jambes écartées et mes mains posées sur ses avant bras. Il faisait des vas et viens en moi de plus en plus vite, en poussant des petits grognements. En ce qui me concerne, je me retenais de jouir. Ce n'est pas facile, mais on pourrait nous surprendre si on nous entend.

''Je vais être de bonne humeur toute la journée !" m'a-t-il dit en s'habillant.

''Oui, moi aussi ! J'ai remonté délicatement mes collants. Ça va, ils sont pas troué !"

''Je tiens toujours mes promesses !'' il m'a souri avant de s'approcher pour me boutonner mon chemisier.

Avant de partir, je l'ai embrassé passionnément en lui disant que je l'aimais plus que tout. Il m'a dit la même chose, en rajoutant encore une fois que j'étais magnifique. Ensuite, je suis partie à contre-coeur.