Chapitre 2

31 3 0
                                    

(Chambre de Rosalie en media)

PDV Rosalie

Je me réveille dans.....une putain de voiture ! Qui roule enplus. Biensur, je me rappelle du merveilleux moment (noter l'hironie) où je me suis prise pour un éclair qui surgissait dans le ciel tel un flash photo.
De ma place qui est la banquette arrière, j'arrive à apercevoir le conducteur mais je ne distingue pas son visage dans le retroviseur, car il porte des lunettes et est complètement vêtu de noir.

- Enfin réveillée, ma petite Rosalie. Dit une voix qui m'ai absolument inconnu.
Elle provient de la place à mes côtés.

C'est un homme à la peau parfaitement dorée, il doit avoir mon âge ou peut-être plus et il a ..... attendez il m'a appelé par mon prénom? Mais comment il..

- OH TU ME REPONDS QUAND JE TE PARLE ! Hurla le basané dans mes oreilles en attrapant fermemant ma mâchoire de sa grande main et de ses doitgs encerclés de bagues couleur argent.

- Ouii. Gémis-je. Ma voie avait une sonorité a peine audible.

Je deteste paraître faible.

Il lâche ma mâchoire toujours avec un sourir amusé, sa en devient frustrant. Je n'ose rien dire. Je ne sais pas ce qu'il pourrait me faire, alors je n'essaierai même pas de m'enfuir ou même de sauter de la voiture en marche, j'imagine que quand le moment sera venu là je donnerai tout mon possible pour m'echapper, mais pour l'instant je ne peux que prier pour que mon agresseur ne me fasse pas de mal mais je suis tellement idiote si c'est mon agresseur et si il ma kidnappé c'est biensur pour me faire du mal pour quoi d'autre sinon ?

Mes mains sont liées derrière mon dos ce qui est vraiment désagréable quand on est assise dans une voiture.

- Ah! oui j'ai faillis oublier. Se rapela mon agresseur.

Soudainement. Une lame traversa la peau de ma cuisse puis se retira rapidement ce qui ne me fit pas oublier la douleur. Un hurlement sortie de ma gorge. Monsieur je poursuit des gens dans la rue et les kidnappes est toujours accroché a son sourir moqueur je vais lui faire bouffer moi son sourir! Pensais-je. La douleur me tiraille le corps, je ferme fortement les yeux sortant quelques injures espérant faire disparaître cette horrible douleur. Le basané eclata de rire. Va te faire...
La voiture 4x4 s'arrête. Le metisse descendit et contourna la voiture pour ouvrir non delicatement ma portière pour ensuite me prendre en sac a patate sur son epaule drôlement musclée.....Ah je suis vraiment dans la merde. Je ne pouvait voir où il allait mais j'entend une porte s'ouvrir on pénètre dans une maison. Des rires se font entendrent, puis une voix qui n'est pas celle du basané raisonna.

- Tu l'as ? Dit la voix appartenant à un homme.

- Biensur,regarde. Declara mon agresseur en se retournant pour me montrer à l'homme et certainement aux autres personnes qui riraient en choeur auparavant.

J'avait la tête à l'envers et les mains toujours attachées dans le dos, je serre tellement les dents pour me retenir de vomir devant eux.

- C'est la fille ?! Dit encore une autre voix inconnue

- Ouais Niall! Cria mon kidnappeur en rigolant.

Ok, c'est genial, je viens de me faire kidnapper, on m'emmene je ne sais où avec je ne sais combien d'hommes qui sont surement tous des sociauxpathe ou encore psychopathe et je ne sais d'autres, franchement si j'avait un dieu en qui je croirai je le prirai de toutes mes forces. Sous la panique qui augmente à cause des pats de mon ravisseur sur le quel j'etait toujours sur son epaule qui commençaient a avancer, je hurle fort en me debattant a en perdre la voix.

- LAISSE MOI !!! DEPOSE MOI. Criai-je.

Les autres rigolèrent.

- Tu veux que je te lâche ? Ok. Pas de problème. Dit-il sur un ton un peu trop calme et moqueur a mon goût.

Soudain il me lâche, cependant pas violement, mais lorsque mes deux pieds touchent le sol une horrible douleur me tortura toute la jambe ce qui me fit ecrouler à terre. Les rires ne cessèrent pas. Puis il me repris cette fois ci dans ces bras, mais avant d'arriver dans ses bras je pus voir son visage, il est... comment dire...vraiment pas mal, mais méchant et sûrement taré malade mentale pour kidnapper une innocente comme moi, enfin je crois, je n'ai rien fais de malhonnête à ce que je sache. Il a de longs cils ce qui fais ressortir ces yeux noisettes et sa couleur dorée qui orne sa peau, ces cheveux sont bien coiffes mieux qu'un président lors d'une importante interview il sont noirs corbeaux, plus court sur les cotés que au milieu, comme Stephan, c'etait mon ex sauf qu'il est blond, d'ailleurs est-ce que ... est ce qu'il pense à moi ? Se demande-t-il pourquoi je me suis barrée aussi vite après les cours ? Enfin bref, il a une barbe de 3 jours de la même couleur que ces cheveux et des lèvres mieux formées que n'importe les quels sur cette terre toujours son sourir narquois accroché dessus. Il vêtu lui aussi entièrement de noir comme le conducteur dans la voiture bon bah aparrament tout a été prevu vu qu 'ils ont même la tenue pour pfff.

Il continue d'avancer, des frissons me parcourus a l'idée qu'une personne qui peut probablement me faire du mal puisse me toucher d'aussi près sans que je ne puisse me defendre.

Il m'emmene dans une chambre j'imagine que vous pensez qu'elle est surement comme la vôtre où n'importe quelle autre chambre et bien non je ne sais même pas si on peut califier ça de chambre.

Comme lit seul un pauvre matelas collé au mur y apparaît, d'ailleurs on en parle des murs ? Papier paint plus vieux que le fondateur de l'amerique déchiré et fissuré sur toute sa surface et il y a aussi un...un..bah enfait il n'y a rien d'autre. Waw. Il pouvait pas faire mieux la, nan mais enfin je veux dire si je dois rester ici pour un bout de temps ce que j'espere absolument pas autant faire une chambre "vivable"

Il me dépose sur le matelas ni doucement ni brusquement puis part. Mon sourcil droit se leva en entendant aucun bruit de verrou ou autre alors je m'approche de la porte espérant la franchir sans qu'ils ne me voient mais dès mon  premier pat sur le carrelage froid de ma chambre qu'un bruit affreu de grincement de metal se fait entendre dans le verrou de la porte à quelques mètres de moi. Je m'étale sur le miteu matelas qui deviendra je le sais très bien en tout cas c'est ce que j'ai pus voir dans les films comme sa malheureusement mon matelas, mon corps et mes muscles se détendent légèrement à la pensée qui me traversa qui est le fait que je n'etait plus dans la même pièce que mes ravisseurs pour qu'ils me fassent du mal, quoique le sang qui partait de ma cuisse et qui s'écoulait jusqu'au sol me rappela a l'ordre qu'ils peuvent débarquer n'importe quand.

Ignorant ma légère odeur de transpiration accrochée à mon corps à cause de l'effort fournit au paravant pour lui echapper.

Je m'endormis sur le lit, pour dernière pensée de reussir à partir de cet endroit.

**************
Merci d'avoir lu❤❤

Vous avez atteint le dernier des chapitres publiés.

⏰ Dernière mise à jour : Feb 01, 2017 ⏰

Ajoutez cette histoire à votre Bibliothèque pour être informé des nouveaux chapitres !

Zayn Syndrôme Où les histoires vivent. Découvrez maintenant