J'aime regarder la verdure dans les champs,
Celle laissé à l'abandon au fil du temps,
Là où gambadaient des tas d'espèces
Qui se sont éteinte, alors j'encaisse.
Pauvre bêtes, tuées sans le moindre scrupule,
À l'aube, à midi, et même au crépuscule.
C'est à croire que l'homme est lâche.
S'en prendre à plus faible, plus fragile que soit.
Le monde court à sa perte, je veux que tu le saches.
La verdure, elle, est là et à jamais au creux de moi.
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Recueil "Douleurs Passionelles."
PoesíaRecueil de poèmes sur le thème "Douleurs Passionelles"