Et la Terre fût !

Chapitre 2: De retour chez soi

Une brise légère et fraiche me caressa le nez... Quelque chose me chatouilla le visage, j'avais étrangement froid, je me mets sur le coté pour faire dos a cette brise qui vient certainement de ma fenêtre ouverte, je remarque que je n'ai plus mal à la tête et je me sens moins fatigué. Je tends la main pour attraper ma couverture car je commençais à légèrement frisquet, tiens ? Elle est où ma couverture, j'ouvre les yeux.

Stupéfaction ! je suis au milieu d'une plaine avec des champs fleuri à perte de vue, je commence à paniquer, mon cœur et a deux doigts d'exploser dans ma poitrine.

« mais...mais où suis-je ? » murmurais-je.

Sous le coup du stresse je me redresse instantanément et couru dans une direction aléatoire, les larmes me montent, je risque de m'évanouir sous peu, il y a 5 secondes j'étais chez moi et la je me retrouve en pyjamas au milieu de nulle parts ... je mets ma mains sur mon ventre, pour baisser ce que je pensais être ma chemise de nuit, et encore une surprise j'avais une robe courte blanche avec des motifs doré sur les bords, et des couches de jupons en dentelle, j'avais des bottes à talons toujours aussi blanche et les mêmes motifs doré que sur la robe. Sur mes mains il y avait des mitaines en cuir dont la tresse allait jusqu'au épaule.

Sidéré, je me rends compte que mon corps à changé ; mes jambes se sont allongés et beaucoup affiné ainsi que mon tour de taille, j'avais mystérieusement changé de corps, les larmes commencèrent a couler et je m'écroule au sol dans un grand sanglot en maudissant tous les dieux que je connaissais, tous étaient trop réel pour être un rêve tous étais trop nette, je n'avait jamais fait de rêve de ce type auparavant.

Au bout de 10 minutes je commençais à avoir les yeux qui me piquaient à cause des larmes, je décidais de me calmer et de mieux observer les alentours pour avoir un indice d'où je suis. Je remarquais des colonnes de style gréco romaine en ruine un peu partout et un lac, de l'autre côté je pouvais voir une très haute montagne surplombée par un temple grec gigantesque formé de plusieurs autres petits temples.

Ce décor ressemblait beaucoup à Elysion de Saint Seiya lost canvas, mais bon c'étais complètement ridicule de tomber dans un manga. Je décide de partir dans la direction de temple pour aller y chercher de l'aide.

Je sens que le vent et de plus en plus fort jusqu'à ce qu'il me fasse trébucher.

« Mais, Oh !!! c'est quoi cette affaire d'où le vent est si fort »

Puis un gigantesque rayon de lumière s'abat au sol et me propulse en arrière a cause de l'onde de choc.

La peur me prend aux tripes, je suis aveugle pendant quelque seconde mais je sens que je retombe étrangement doucement, complètement au sol et étourdie par le coup de vent je devine une grande forme noire et dorée faire face à moi, cette forme me parle mais mes oreilles sifflent je distingue à peine sa voix.

Puis je commence à recouvrir la vue mais je ne peux croire qui j'ai en face de moi... Hypnos de Saint seiya, paralysée par cette vision impossible je ressemble à une statue, je vois dans ses yeux du dédain, il sort une gigantesque épée où pouvait voir ce que je pense être du cosmos doré s'en échapper.

Il brandit son arme au-dessus de ma tête, tétanisée par l'idée de mourir je reste en face de lui les yeux vide par le choc émotionnel, Il abat l'épée sur moi après quelque seconde qui me paraissait une éternité, mais a quelques millimètres de ma peau il s'arrête. Et je devine dans ses yeux certainement le même choc que j'ai eu en le voyant pour la première fois, il lâche son épée qui tombe au sol et s'agenouille devant moi.

« Dame Terra veuillez m'excuser pour ce geste impardonnable envers notre Universesse, notre maitresse en ce monde »

Dans un ton des plus solennelle comme si au moindre faux pas j'allais l'exécuter, pendant une seconde j'ai vu un sourire et dans son regard une bienveillance infinie. Moi, toujours stupéfaite par cette situation j'ai à peine écouté ce qu'il a dit, car j'avais en face de moi un personnage de manga... un personnage de manga, mon cœur s'arrête, je sens l'air me manquer. Il me regarde, se redresse et continue dans le même ton.