Chapitre 1 /1ère partie : Bourrage de crane.

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-Aoi Ashi.

- Vous pouvez passer monsieur.

- Ai-je des frais a payer ?

-Non monsieur ,tout est déjà payer par votre père il me semble.

- Ah... bien merci.

Je monte ces escaliers qui me menaient jusqu'à mon nouvel appartement qui se situait dans une tour à Tokyo. Il y a du monde dans les rues ,ce qui change beaucoup de mon ancien village dans le centre du Japon... J'entre dans le couloir qui devait laisser place à un séjour donnant sur la baie de Tokyo.

Je suis honnête : je n'en ai ai absolument rien a foutre de l'argent .

Je pose mes deux valises et visite mon nouveau chez moi. Je vois que l'on a pensé à moi et qu'on m'a fournit en nourriture ,je me laisse donc attendrir par une bouteille de soda qui trainait et ne me fit pas prier pour prendre le paquet de chips qui va bien avec...Après tout je suis sensé être en deuil donc rester chez moi...oui bah non.

Une fois mon paquet de chips finit et mon soda entièrement bu ,j'enfile une veste noire et sortit dehors voir un peu se qui se passe dans les rues de Tokyo... Du monde absolument partout ,partout ,dans tous les coins ,des garçons ,des vieux, des fille , des femmes ,des vielles...On a de tout là...

Je prends un taxi qui était arrêté sur le bord de la grande allée et lui demande si il serai possible de me faire faire visité un peu ,il me réponds que oui et nous commençons a rouler. Mon lycée se situ dans un quartier pas loin de Shibuya. Le tour étant fini je me balade dans Tokyo ,sans savoir ou je vais me laissant guider par le flux de monde ,accroissant et décroissant ,les masses de population s'entassant devant un magasin ou un restaurant me fascine et m'intrigue... Je m'arrête devant une porte décorée de tags ,de mangas ,de petits personnages...Cette porte m'attire et je décide de rentrer a l'intérieur...Un salon de tatouage...Voila je passe pour un con , et , sous l'adrénaline je posa cette question :

-Combien coute un tatouage sur le haut du bras ?

- Sa dépends la taille jeune homme.

-Gros comme 10 centimètre ?

-Sa dépendra des couleurs monsieur.

-En bleu pastel ?

-Quel motif ?

Je sort mon téléphone ,compose mon code ,que bien évidement je ratte au premier essai , allume la 4g et et lui montre mon idéal.

-Hum...D'accord, c'est possible pour environ 240 000 yens...

-Je suis partant ! Pourriez-vous me proposer une date ?

-Dans une semaine ?

-Bien... Mon nom est Aoi Ashi ,et mon numéro est le 81 ************* .

Le tatoueur me regarde comme si... il venait de voir un monstre....Ah il a surement fait le lien entre moi et mon père...C'est pas grave...J'm'en fous.

Je rentre chez moi , demain j'ai cours mais il faut que je pense à acheter l'uniforme...Je veux pas merde ! ...Et puis un tatouage... je me demande si je ne vais pas le regretter...Bref je vais me coucher ,trop fatiguer pour regarder la télé et bouger ,je ne prends pas la peine de me déshabiller et me sens partir dans les bras de Morphée.




-...

Je suis devant mon université , et je sens des poches digne d'un panda sous mes yeux...Mon sac est lourd, j'ai pris toute mes affaires n'ayant pas reçu l'emploi du temps.Je me dirigea vers se qui me semble être l'accueil et demanda a une dame qui passait par la ou est le bureau du principal.

-La porte juste a votre gauche jeune homme.

Je la remercie et elle me dévisage , elle doit se douter que je suis le fils de l'autre... Je toque à la porte et on me dis d'entrer , une fois dans la pièce semi éclairée ou un homme d'age mur devait pioncer je me présenta et lui demanda le règlement et autres papier qui prouvent que je suis bien dans cet établissement.

L'homme devait avoir un soixantaine d'années , il m'a semblé souriant et calme, je suppose que c'est un bon père de famille comme on n'en fait plus et son sourire est vraiment drôle et surprenant avec sa dent en or.

Une fille passe a coté de moi et me percute l'épaule , il faut avouer que je ne suis pas excessivement grand et que je me laisse facilement distraire , elle ne prends même pas la peine de me regarder et ne s'excuse pas comme si je n'était rien qu'un fantôme problématique qui ne faisait qu'errer dans les couloirs, bouchant le passage au travailleurs...

Une fois dans les toilettes , je m'enferme dans la cabine pour me déshabiller et enfiler ce type de vêtements trop formels et chiants que l'on met tout les jour quand on veut avoir "un bon métier plus tard"...Du bourrage de crane qu'on nous inflige depuis la naissance.

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⏰ Dernière mise à jour : Feb 11, 2017 ⏰

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