4. Tentation qui m'assaille.

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Perdue, comme isolée du monde. Je la suis sans discuté.
Je dois avouer que j'ai peur de mon avenir. Que vais-je devenir.
Je tenais à Laura pour risquer sa vie.
L'envie de retourner en arrière me ronge.
Puis Éléna ne parle pas. Toujours aussi froide. Elle fait comme si je n'était qu'un otage. Comme si rien ne c'était jamais passer. Elle ne montre rien. Que de l'indifférence. La première heure passer avec elle. Rien ne fait. J'ai toujours aussi peur, je tremble. Aucunes, paroles ne sort de sa bouche.
Au pars avant elle était la femme idéal.
Son sourire envouteur. Son appareil, un appareil dentaire oui, je trouve ça mignon moi. Vous trouvez sa con? Moi pas, ça faisait son charme. Ses cheveux colorés assez court. Son style de petite motarde à croquée.
Dire que nous nous sommes rencontré sur les réseaux sociaux.
Une fois on sais vus, j'ai crus avoir trouver la bonne. Je me rappelle encore de nos fou rire dans le bus, le jour où j'avais été la chercher, je ne lui trouvais aucun défaut. Aucun, vraiment. Elle était parfaite, ce corps si magnifique à bouffer par terre. Je la voyais habillée comme chaque jour. Au final, elle était plus splendide que la veille. Et ainsi de suite. Elle avais ce regard sombre qui transpercent la lumière de mes geste. Elle était mon opposée et pourtant je l'aimais. Je l'aimais comme jamais je n'avais pus aimer.
Faut que là, elle n'était plus là même. Elle était agressive, plus aucune émotions, pas de geste sauf brusque.
Nous sommes monter dans sa voiture.
Elle ne parlais pas, jamais elle n'as poser le regard sur moi.
- Pourquoi? Pourquoi tu me fait ça? Pourquoi revenir et foutre en l'air ce que je construit??
- Lucie, c'est ainsi, je te veux. Il m'a fallu des mois des années pour comprendre. Ce que tu construit je m'en fiche. Tu reste avec moi!
Sur le coup je ne savais que répondre, elle m'intriguais.. Je comprenais qu'elle ne me voulais pas de mal mais qu'elle me voulais. Elle désirais recommencer à zéro. Effacé l'erreur qu'elle a fait.
Mais j'étais perdue. Plus aucun mots n'es sorti de sa bouche durant le trajet.
Elle a juste doucement poser sa main sur ma cuisse gauche.
Je ne l'ai pas retiré cela m'avais comme perturbée..
Elle me fis descendre de la voiture.
Et monter dans une chambre sombre. Sans poser de question je l'ai fait. Je me demandais ce qu'il allais bien pouvoir ce produire par après.
Elle ferma la porte d'un coup sec.
- Dors maintenant.
Plusieurs heure sur le lit je suis restée bouche bée de cette journée très très éprouvante.
Et je me suis endormie comme un enfant dans un cocon.
Le lendemain matin, elle est redevenue la princesse si douce que j'aimais autre fois, le petit déjeuner au lit. Des mots doux aux creux de l'oreille. Mais je ne réagis pas. Laura, elle me manquais tant que pensais elle de moi?? Pense elle que je suis partie de mon plein gré?
Il m'a fallu plusieurs jour au côté de cet effrayante personne qu'était mon ex. Pour m'adapter et me laisser faire.
Elle devint de plus en plus douce.. Des attention, des marque d'affection.
J'en oubliais presque comment elle m'a forcer à partir.
Un jour, elle rentrais dans ma pseudo chambre.. Elle m'a dit que je devais allez prendre ma douche que nous avions quelque choses à faire par la suite.
J'ai exécuté encore et toujours. Son regard noir me rendais bizarrement souriante à ses ordre.
J'ai l'impression de ne penser qu'à moi.. Et laura dans tout ça?
Sauf que je ne pensais pas que la choses que nous devions faire après ma douche était celle-ci.
- Je peux rentrer?
- Attends, je suis nue,  j'enfile un essuie.
Crois tu qu'elle m'a écouter?
Non, Madame n'en fait qu'à sa tête. Comme avant.
- Mais je t'avais dit quoi? Sort!
- Non, j'ai à te dire. J'étais là, j'entendais tout. Tout. La façon dont tu gemissais.
- Et ?! C'est choses la ne te regarde pas, du moins elle te regardais au pars avant.
- Maintenant, elle me regarde à nouveau.
Elle dis cette phrase sur la quel je reste clouée.
Elle ce rapprocha de moi et mis sa main sur ma hanche droite.
Perturbée mais aussi tentée. Que faire mais mon dieux! Dans quel pétrin me suis-je encore fourré!
- Tu aimais ?
- J'aimais quoi?
- Ce qu'elle te faisait.
- Cela ne te regarde pas.
- Elle me regarderont d'ici deux trois heure.
- Comment ?! Ni pense même pas. Je ne coucherai pas avec toi.
- Déjà, je ne couche pas. Je baise.
-How.
Choquée c'est la seule choses qui sorta de ma bouche à cet instant là. 
D'autant que d'après notre ancienne relation, jamais il n'y avais eue d'actes sexuel entre nous.
J'étais un peu contrainte mais au fils des minutes mon corps ne pouvais plus résister.
Elle me pris avec elle dans la douche. Je dois avouer moi même que je n'aurai crus une si petite femme capable de temps de choses.
Elle alluma l'eau, l'eau était chaude.
Puis elle me plaqua contre la paroi de la douche et bloquait mes bras au dessus de ma tête, de sorte à ce que je ne puisse me débattre. Sachant que madame avait tout de même une sacré poigne. Sa bouche effleura mon coup. Sa main droite parcourait mes courbes, des frissons menvahissaient même si ma tête me disait non, je retirer mes mains du haut de mon crâne pour en poser une dans son coup et ensuite poser mes lèvres sur les siennes. Ses bêtes mais j'avais oublier le doux goût de ses lèvres. J'avais oublier comme elle était douce. J'avais oublier que sa façon d'embrasser était divinement parfaite.
Mais merde, je n'ai nul le temps de réagir que sa main ce trouve à la naissance de mon entre cuisse.
- Il est temps que tu goûté à la vrai baise!
Je me tu et d'un hochement de tête je lui fi comprendre que j'attendais de ses actes.
Elle est si brut, sec, j'aime ça.
Elle s'enfonce en moi du coup voulu sec et franc. Un cris sorti de ma bouche sans que je ne puisse contrôler. Elle continuait.
Après tout, j'aimais sa, j'ai voulu moi aussi la touche en vain.
- NON! LAISSE MOI FAIRE. UNE AUTRE FOIS. Me dit elle d'un ton assaillants. J'ai bouger ma main. Sauf que je suis ce genre de "salope" qui veux toujours plus. Je mis ma main sur sa hanches. Brusquement elle retire ma main et donne un coup ses a mon vagin! Je ne m'y attendais certainement pas.
Elle continuait. J'en voulais encore! Elle a enlever les trois doigt qui était trempé de ma propre mouille.
Elle m'a regarder d'un air de "baise moi de suite."
J'ai pas pus résister de passer ma main autour de sa taille de la tire vers moi! Choquée elle était.
D'un regard elle me dit " tu ne bouge pas! Bouge une fois et je te defonce!."
-D'accord. Hummm..
J'avais la vrai voix d'une chienne.
Elle ce mis à genoux devant moi. Sa tête à mon entre cuisse elle fis des vas et viens avec elle bout de sa langue sur mon clitoris.
Je juis.
Des cris, des gémissement! Mmmmh,  encore!
Je la pris par les cheveux! Et je poussais sa tête de sorte à ce qu'elle comprenne que j'en voulais encore et toujours plus!
Elle me mis deux doigt tout en me lechent !
Elle s'arrêta pour me demander si j'aimais ça.
-OUI! Ta langue fait des miracles.
Elle ris, et là! Je croyais rêver!
Elle m'a fait sortir de la douche! Nous étions trempé,  son corps mouillés me faisait littéralement fondre!
- Couche toi!
- Trempé ?
- OUI! Trempé.
Je me couchait quand elle sais mise à califourchon sur moi.
Elle m'embrassais si violemment que j'en sentis des frisson immense.
Je n'était pas non seulement trempées d'eaux mais aussi du fruit de mon orgasme.
Je ne sais pas pourquoi mais j'ai lâcher une phrase qui moi même m'a choquée. Jen ai même ris en mexcusent
"- Baise moi! Fait moi mal mais qu'attend tu!!! "
Elle aussi intriguente qu'avant me répondis
- Que tu me supplie Lucie!
- je t'en supplie! Fait moi mal! Baise moi bordel!
Elle exécuta !
Couche sur moi elle me donnais des coup de plus en plus fort! Elle a même fini par m'etrangler!
J'aime cette façon de faire, cette assurance.
Je fini par atteindre mon sommome pour ce jour-là!
-stop, arrêté je suis épuisé!
- Et bien voilà, j'ai été la durant tes ancienne prestations sexuel jamais je n'ai entendu cela.
- Oui, tu t'y prends bien. Trop bien même. Je suis à bou de souffle!
- M'aime tu?
- Pardon??
- OUI, Lucie tu as très bien entendu, réponds à ma question!

Je pouvais pas savoir ce que j'allais dire. Ces sortis tout seul. Je savais pas. Je pouvais pas savoir mon dieux je ne savais pas que jetait autant expressive pour dire de tel choses. Hooooow j'en suis resté perturbée moi même.

"ton Corps, devient une drogue!."Où les histoires vivent. Découvrez maintenant