Images d'Undertale

Histoire #1

Premier chapitre sans image! Ouais, si vous avez lu mon premier chapitre, je vous avais avertis qu'il y aurait des chapitres comme ça, sans image. Il y aura une mini histoire à la place. Il y aura d'autre photo au prochain chapitre. Bon, bon, d'accord, à la fin, je mettrai une petite image. Bref, cette histoire est purement inventer par moi. J'ai pris l'inspiration dans les rêves que je fais, donc, vous pourrai pas dire que ça vient pas de moi. Bonne lecture de cette "petite" histoire!

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Moi, Sans, Papyrus et Undyne marchent pour retourner à la maison. Le trajet pour aller chez Toriel durait 4h, mais Sans nous avais tous téléporté chez elle, pour l'aller. Mais il s'était épuisé puisque c'est une grande distance, et ne pu donc nous ramener. Nous marchons donc pour revenir, cela ne nous tuera pas. La neige tombait doucement sur le chemin. Il y avait des nuages partout dans le ciel, mais il y avais quelque éclairci. Moi et Undyne étions en train de parler et Sans parle avec son frère. Après environs 20 minutes de marches, j'entendis un "Boum". Je me retourna et aperçu Sans étaler de tout son long dans la neige.

Moi: Sans, mais qu'est-ce que tu fais?! Lève toi, il faut continuer à marcher!
Sans: Nanh, chui trop fatigué. Continuez Sans moi. Heh. Heh.....
Papyrus: LAISSE, HUMAINE, JE M'EN CHARGE! MOI, LE GRAND PAPYRUS, VA RÉGLER LE PROBLÈME.

Papyrus prit Sans dans ses bras, face à face, de manière à ce que Sans puisse reposer sa tête sur les épaules de Papyrus. J'entendis Sans murmurer:
C'est bon, Paps, laisse moi. Lorsque je me réveillerai, je me téléporterai près de vous.
Évidemment, comme Papyrus tiens énormément à son frère, il l'emmena quand même dans ses bras. Nous continuons donc la marche vers la maison.

Undyne: Donc, comme je le disais, le punk, pour faire de la sauce tomate, il faut écrabouiller les tomates comme si c'était tes pires ennemis!
Moi: D'accord, je dois leur parler, c'est comme ça qu'on bat un ennemi!
Undyne: Mais non, le punk! Tu dois les écrabouiller, les écraser, les faire exploser!
Papyrus: MAIS.... C'EST PAS BIEN GENTIL POUR LES TOMATES........
Undyne: Mais ce ne sont que des tomates, bon sang!

Pendant que moi et Undyne parlait des tomates, papyrus continuais de porter Sans dans ses bras. Celui-ci s'était endormis. Le sujet de conversation commençait à partir sur un peu n'importe quoi. Puis, après 35 minutes, je sentis que Papyrus ralentissait le pas. Je me retourna, et vit qu'il était essoufflé. Puis, Papyrus nous demanda de faire une pause. Il demanda à Undyne de prendre Sans dans ses bras quelque minutes.

Papyrus: C'EST BON, J'AI JUSTE BESOIN DE ME REPOSER UN PEU, PORTER SANS COMME ÇA, PENDANT UN LONG BOUT DE TEMPS, MÊME LE GRAND PAPYRUS A DES LIMITES. JE CROIS QUE SANS DÉTENT SUR MOI, JE DEVIENS PARESSEUX.
Undyne: Ça fait longtemps qu'il dort, il a bien dû reprendre de l'énergie! Hey, Sans! Réveille toi!!
Moi: Ça sert à rien de crier. S'il dort, il faut vraiment qu'il se passe quelque chose de spectaculaire pour qu'il se réveille. Si vous voulez, je peux le porter, moi. Au sens propre du terme, Papyrus, tu n'as pas de muscle, vu que tu es un squelette. Et puis, à la grandeur qu'il a, je peux le porter, il dois peser moins de 20 Lbs.
Papyrus: TU ES SÛRE, HUMAINE?
Moi: Je suis certaine d'être capable de le transporter.
Undyne: Tu préfères pas que je le fasse à ta place?
Moi: Non, ça va aller. Je suis capable.

Je pris Sans des bras de Undyne. Je le plaça de la même manière que Papyrus l'avais fais plus tôt. "Mais il dort encore, même après qu'il ait changer de personne?" Ne pu-je m'empêcher de penser. J'avais raison, Sans devait peser quelque chose comme 17 Lbs. max. C'est normal, c'est un squelette. Après m'être assuré d'avoir bien pris Sans pour ne pas qu'il tombe, nous repartons. Ça fait environs 1h50 qu'on marche. Il reste donc 2h10. Nous continuons de parler d'un peu de tout. Undyne me demanda quelque fois si je trouvais Sans trop lourd, mais je tenais le coup. Il n'est pas bien lourd. Nous marchons pendant 1h quand le vent commença à souffler. Le vent glacial me transperça, m'arrachant  un frisson de froid. Sans, qui l'avais sentit, se réveilla.