Chapitre 2

29 1 0
                                    

Il faisait nuit, je crois qu'il était 00h30 à San Francisco. J'étais à peine a moitié réveillé que je la voyait la devant moi, elle m'avait tellement manqué, ma maman est comme même venue mais pas toute seule, il y avait toute la famille mon papa qui comme je vois avait toujours cette joie de vivre, mes deux petite soeurs et mon grand frère était la aussi c'était un miracle car c'est très rare qu'il vient me voir, j'étais trop contente de les voir pour pensées a sa.

MAMAN/PAPA: Notre fille adoré est enfin de retour

PETITS SOEUR AINEE: Te voilà enfin ont avaient tous crus que tu ne rentrerai plus jamais a la maison et je priai le bon dieu de te ramené a la maison

MOI: Bah tu vois qu'il existe bien le bon dieu et oui moi aussi je cru que je ne rentrerai plus a la maison et que vous m'avez oublié

GR FRERE: Comment peut-tu dire sa jamais on pourrait te remplacé même si ont le pouvais on ne le ferais pas, moi le premier en tout cas tu ma bien compris, allé viens la dans mes bras toi!

Et d'un coup mes larmes n'en pouvaient plus d'être retenues contre leurs volonté et coulèrent petit a petit après se qu'il m'avait dit, je ne le reconnais pas il avait comme changé mais en bien alors que les années précédentes il ne faisait même pas attention a moi comme si je n'exister pas. Je pris ma valise vivement, j'étais contente de rentrai chez moi ma ville natale, j'oubliais la Corée mais pas complétement et tous se qui entourai la Corée y compris celui qui m'avait blessé la veille. Ne pensons plus a lui désormais, ma tête le disait mais mon coeur disait le contraire. Nous rentrâmes a la maison, elle aussi avait beaucoup changée mais ma chambre n'avait pas changée elle était toujours pareil, je m'installais aussitôt arrivé. Le lendemain était là, je me réveillais aussitôt il était 5h30, a cette-ci tous le monde dormais, j'allais me préparer je m'étais habillé avec un long collant qui m'arrivait jusqu'au pied, j'avais mis mes nouvelles tennis que j'avais acheté a l'aéroport de San Francisco et avec un bustier assortie avec mon collant, je n'avait pas mis de t-shirt car a ce moment là je n'allais pas sortir un matin très tôt pour y faire la belle NON ce temps est fini mais pas complètement, je sortais pour y aller courir et oublié toute cette rage que j'avais au fond de moi qui venait de surgir pendant la nuit dernière contre lui et celle la dont son visage me disait quelque chose mais j'étais trop préoccupée a pensée a eux que j'ai faillis me faire écraser par un camion, mais heureusement que je l'avait vu venir à toute vitesse dans ma direction. J'eus la peur de ma vie, si je peux appeler sa une vie. Quelque mois passaient je courrai toujours le matin, j'avais enfin obtenu le résultat que je voulais de mon corps, oui parce qu'avant je pesais 62kilo et vu le résultat j'étais fière de moi, j'avais travaillai dur le matin dans la salle de sport, mentalement, physiquement pour y arrivé a 49kilo. Aussitôt j'allai parlé a ma famille pour leur dire quelque chose a propos de moi:

MOI: Papa maman, la famille il faut que je vous disent quelque chose

PAPA: Vas-y dit nous, c'est a propos de ton couple nous le savons qu'il te manque car il nous manque aussi vas-il venir ici?

MOI: Non papa il ne viendra pas ici, car quand je suis arrivé ici je suis venue célibataire

Une larme commençait a tombée mais je la retenais aussitôt

MOI: Mais ce n'est pas de sa que je voulais vous en parlait, c'est de mon emploie car je viens juste d'en trouvé un

MAMAN: Et quel est cette emploie?

MOI: Comme tu peux le constatée chaque matin tu ne me voit pas, non? Car chaque matin je me lève très tôt pour aller courir pour garder la forme car je suis récemment devenu une Mannequine

GR FRERE: Quoi? Tu ne nous ment pas? Car toi tu es vraiment forte pour mentir?

MOI: Non je ne vous ment pas regarder la couverture de se magasine de mode très célèbre

Quand je leurs est montré la couverture ils avaient tous la bouche grande ouverte comme si il y avait un ange qui était de retour ou une lumière qui venait de descendre

MOI: Mais c'est rien sa je vais peut-être arrêté ce que je fais

TOUTE LA FAMILLE: Mais tu es devenu folle ou quoi, un truc comme sa ne se laisse pas comme sa il faut que tu continue comme n'est-ce pas se que tu voulais devenir plus tard

MOI: Si mais

MAMAN: Il n'y a pas de mais, c'est une grand opportunité pour toi de te montré et dire au monde que tous le monde peut réussir dans ce métier la

MOI: D'accord, papa qu'est-ce que tu en dis?

PAPA(baissant la tête et enlevant ces lunettes): Moi j'en dis que ma fille est la plus belle car elle a réussit dans un métier dont je ne savais pas qu'elle pouvait y arriver

MOI: Donc c'est un oui

PAPA: Mais bien  sûr que c'est oui et même très grand immense comme la maison même plus grand

Je fondais en larme rien qu'a l'entendre, je les aime tellement que je les ai invités au restaurant tout près de chez nous.


COME BACKOù les histoires vivent. Découvrez maintenant