À jamais..

3.

Effrayée mais sûr de moi je finis par lui expliquer qu'avec mon soi-disant copain cela faisait plusieurs jours que nous ne nous parlions plus et que notre relation stagné, sans avancement et que sans nouvelle de lui je ne me portais pas plus mal. À ma grande surprise Julian a mis beaucoup de temps à répondre.. mais qu'est ce qu'il foutait.. Était-il avec une autre fille? Ceci me perturbe. Mais lorsque je reçu un message de lui ses mots ont juste été "Demain on se vois, demain on met tout au clair". Ces mots me sont rester en tête toute la journée. Pourquoi ne pouvait-il pas me parler maintenant? Je ne le savais point..
Les cours se finissent, la tête ailleurs, je n'arrives à lui envoyer un message.
Je stresse, mais pourquoi? Pourquoi me reste-t-il en tête ? Trop de question tourne en moi, m'empêchant obsessionnellement de dormir.. Lorsque vers 2 heures un appel me coupa de mes pensée. C'était lui, que lui était-il arriver pour qu'il m'appel si tard?
Je décrocha, lui lâchant un timide "oui", il me répondit d'une voix calme :
- sors, je suis là.
-Quoi? Comment ça tu es là?
-Descend Anna.
Je jeta un œil par ma fenêtre, en effet il était là. Mais pourquoi?
Ne prenant le temps de m'habiller, j'enfila un manteau et sorti discrètement par la fenêtre faisant attention de ne pas faire de bruit. Ca va escalader ce mur j'avais l'habitude ce n'étais qu'une formalité.
Arriver à lui, nous allons nous étendre dans l'herbe à l'abris des regards. Il me pris par la main et me chuchota avec un sourire niai :
- Ne sois pas étonné de ma venu Anna, je t'avais dis que "demain" nous nous verrons.
Je le fixais, lui lâchant un sourire, puis il repris.
- Tu sais Anna, ton charme ne m'a pas laisser indifférent, tes courbes ne m'ont pas laisser innocent. Depuis que mon regard s'est poser sur toi, je ne pense qu'à toi, tes yeux, tes lèvres, ta bouche, tes mains, tes somptueuses fesses. J'ai envie de toi Anna, envie que tu sois à moi l'espace d'un instant. Que ma bouche s'empare de tes seins, que ma langue déferle lentement sur tes courbes...
Tout en me parlant sa main droite remonte doucement ma cuisse.
-... Anna, ne me dis pas que tu n'en a pas envie, ne me dis pas que tu n'as pas envie de moi.
Il déposa un baiser dans mon coup, puis un autre. Nous sommes étendu dans l'herbe, l'un contre l'autre. Ses mains se baladent sur moi, tout d'abord sur mes hanches, avant de remonter sur mon ventre. J'aimerais l'arrêter mais je ne peux plus, j'ai envie de lui.
Il saisi mes hanches et commença à me déshabiller et nous nous laissâmes aller à nos pulsions. Il était en moi, me donnait du plaisir que je lui rendais. Ses vas-et viens me rendais folle, folle de lui.