Beaucoup de personnes pensent que l'amour est la plus belle chose que le ciel peu nous offrir mais moi, je n'aime pas l'amour, je n'aime plus ce sentiments qui t'emmène toucher les nuages, qui t'emmène dans un autre monde. Pourquoi je le déteste tant ? Parce qu'à la fin on fini toujours seule, c'est bien beau d'être amoureux mais pour un couple il faut deux personnes, deux personne qui s'aiment et non un amour à sens unique. Je suis dans un amour à sens unique. Il ne m'emmène pas voir les nuages, il n'est pas plein de bonheur, il n'est pas rempli de petites attentions, de bisous, de câlins, de mots doux. Il n'est pas tout ça. Il n'est que dérision et douleur, larmes et lames, jalousie et espoir.
Moi? Je suis Anna. Formellement dépressive et irrécupérable du haut de mes 16ans.
Mon histoire, la voici.
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7h00 le réveil sonne.
Comme à mon habitude grande paresseuse je n'ai pas envie de me lever pourtant il le faut bien.
Encore une fois, je doit subir une journée le cul sur une chaise à lutter pour ne pas me rendormir, essayant tant bien que mal d'écouter les paroles de personnes croyant tout savoir que l'on appel plus communément Prof.
Je n'aime pas le lycée, je ne supporte pas les hypocrites qui s'y trouve en bref, rien ne me donne l'envie d'y aller.
"-mon coeur tu dors? Ehoh!"
Hein? Quoi? Qui? Ah oui... lui.
Je saisi mon téléphone afin de trouver mes écouteurs que j'avais sûrement perdu dans ma nuit. Lorsque je voulu répondre, l'écran noir de mon cellulaire s'alluma. 7h20. Mon putin de téléphone affiche 7h20! Merde! Je suis en retard!
- Bébé, desoler j'ai oublier de raccrocher hier soir.. je suis en retard je te laisse. Desoler encore je t'aime. Fini-je enfin par lui répondre.
- J'avais bien remarquer princesse, dit-il en souriant. Envoi un message quand tu pourra, je.
Sans attendre la fin de sa phrase je me précipita vers la salle de bain afin de me préparer en vitesse.
Un coup de brosse, brossage des dents, un coup de fond de teint à la rache, un peu de parfum et c'est bon. Ah nan merde faut que je m'habille! Bon.. un jean et un sweat ça ira bien!
Il est quelle heure? 7h30. Je descend en trombe l'escalier en bas duquel mon père m'attendait de pied ferme comme à son habitude.
- Encore en retard. Me lâche t-il d'un regard noir.
- Oui papa désoler bon aller on y va.
Il m'emmena à mon bus, puis, c'était parti pour une énième journée. Assise sur une place, les pieds sur l'autre. Les écouteurs fixer à mes oreilles. À vrai dire les matins comme ça il ne fallait pas me parler. Mes yeux gonflées et mes cernes creuser permettaient de comprendre une courte nuit. En effet j'avais passer les trois quart de ma nuit avec Lucas. Enfin au téléphone avec lui.
Lucas? Vous savez c'est celui que vous avez entendu ce matin à mon réveil. 17ans et pourtant toujours un grand gamin. Cela va faire 1mois dans 3jours que nous sommes ensemble. 1mois d'engueulade, 1mois de distance, 1mois de pleurs, un mois de bonheur parce met de douleur. Vous devez vous demandez pourquoi je suis avec lui si je suis mal. Bin tout simplement parce que je l'aime. Tout simplement parce que j'essai de passer à coter de tout ca..
D'ailleurs je l'avais oublier celui la.
Envoyé à 7h50;
- Encore désoler pour cette nuit.
Reçu à 7h50;
- Pas grave, c'était agréable de t'écouter dormir, d'entendre ta respiration lente et apaiser.
Comme il est mignon le matin.
Envoyer à 7h52;
- Trop mignon, ne t'y habitue pas. Enfin je préférerais que ceci ce passe en vrai.. dormir dans tes bras.
Reçu à 7h54;
- Je sais mon coeur moi aussi mais il faut attendre un peu. Tu sais le train et tout il faut que nos parents soit d'accord et surtout que toi tu leur évoque mon existence!
Et oui, Lucas et moi somme ce qu'on appel un couple à distance. Nous nous sommes connu il y a 2mois sur nos réseaux sociaux et depuis nous ne nous lâchons plus enfin du moins virtuellement. J'aimerais le voir mais la distance paris-bordeaux nous séparent. 584km. Et puis je n'arrive pas à évoquer son existence auprès de mes parents, leur dire que j'ai rencontré quelqu'un sur internet m'es difficile mais leur dire que je suis en couple l'es encore plus. Pourquoi? Je n'en sais rien.
Envoyé à 7h57;
- Je sais il faudrait que je trouve la force de leurs dire mais je te l'ai dis je n'y arrive pas. C'est comme ça. Je te laisse j'arrive au lycée. Bonne matinée à ce midi.
Reçu à 7h57;
- On en reparlera. Bonne matinée à toi aussi bisous.
Enfaite je n'étais pas vraiment arriver. Je n'avais seulement pas envie de lui parler. J'avais la tête ailleurs. Je fus vite extirpé de mes pensée par l'arrivée du bus au parking du lycée.
Ce jour là je monte en français, dès le matin deux heures. Mais j'arrivais pas à me concentrer, je ne faisais que penser à notre dernière engueulade avec Lucas, celle de trop. Je commence à me lasser mais j'ai peur de l'abandonner, peur qu'il fasse une connerie.
- Anna ! Concentre toi ou tu prend la porte ! Se mit a crier la prof.
- Oui madame j'écoute c'est bon. Lui répondis-je en soufflant.
Mais en réalité je n'ai rien écouté, mon téléphone dans ma trousse je répondais au quelques texto que m'envoyer Elena que je devais voir cette après midi. Elle me manquais tant. Elena c'est comme une sœur, une petite brune toujours souriante avec cette joie de vivre qui me manque.
La mâtiné est passée à une vitesse folle et comme c'est mercredi je fini à 11h. Comme à mon habitude je dis au revoir à mes amies puis me dirige avec mes écouteurs vers mon bus afin de rentrer me préparer pour sortir la rejoindre. J'enfile un petit pull, me remaquille puis c'est parti.
Je l'aperçoit au loin dans le parc puis m'avance vers elle. Elle portait un jeans taille haute et un pull noir et à ma grande surprise Elena n'étais pas seule. Une amie à nous et un garçon plutôt pas mal l'accompagner. Je m'approche afin de leur faire la bise, lorsque j'arrive à la hauteur de l'inconnu la subtile odeur de son parfum viens me titiller le nez. Comme il sentait bon.

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À jamais..
Teen FictionPeut on aimer sans voir ou préférerons nous voir être aimé? L'amour contient des mystères indécelable que la vie nous apporte, vie qui malgré les chutes nous tiens, vie qui malgré les larmes et les lames persiste en vain. Moi je suis Anna. Du haut...