Chapitre 15

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"Appelle sa comme tu veux"

Logan : T bras !

Moi : ho..heu..bas.. J ai vécu toute mon enfance à essayer de faire plaisir à mes parent le temps que Tim s absentait. Moi je bossait. J apprenez mes lecon par coeur a un point que je pourrait encore les recitais. Je voualai que mes parents soient fier de moi. Ma mere est tombé malade. Au début de l année de mes 8 ans elle marchair en bequis, a la fin elle ne marchait plus, c était l arriver du fauteuils roulant. Les deux année suivante a était la vu et la parole.
A mes 11 ans la paralisie l avait attaquée. En fauteuils elle ne marchait plus, écrire était devenu compliquer et autoriser que pour de grande occasion. C est la que j ai commencer à... Me..scarifié..ou..mutiler. appelle sa comme tu veux. Bref a chaque fois que ma mère criait de douleur je me le rappelait en traçant un très qui fera a jamais parti de ma vie. Tu sais quand la personne que tu chéri lz plus au monde. Celle pour la quelle ton estime est trop haute pour décrire la place quelle a dans ton coeur tombe malade et que on te répète que personne peut rien y faire, ton monde ta bulle tout ton univers s effondre. T'es répère disparaise et tu devient la mère de ta mère. Quand elle ne peut plus manger elle même sans risquer de s étouffer. Quand les médecin déclare quelle ne ravale rien de sa vie. Et qui commence à lui transfèrai un tube a la place du nombril pour faire passer la nourriture. Quand a l âge de 14 ans tu ne peu pas sortir parce que tu doit faire la toilette a ta mère ou lui dégourdir les jambe qui ne lui sert même plus. Quand tu sens que la fin est proche, quz la respiration se fait dure. Quelle te regarde de son lit et que son regard parle pour elle. Que la nuit d après ta mère hurle de douleur. Que difficilement dans un dernier soufle dans tes bras elle te dit je t aime.
Et voilà ma mère était morte et j avais continuer chaque fois que son cris de douleur refausait surface dans la tête. C était ma drogue, se qui me permettai de m effacer. Pour moi se n etait pas me faire du mal ou du moin c était remplacée une douleur par une autre. Seulement celle si est visible.

Je ne m'étai pas aperçu que pendant que je parlait des larme avez coulé sur mes joues. Et à présent Logan me serrer dans ses bras.

Moi : Alors à mes 15 ans j ai fuis, j ai fuis la vie, mon frère, mon père je les ais laissé. Je suis partit et ma vie à continuer, continuer a tourner au cauchemard alors je suis rentré.

Logan : Je suis desolé pour ta mère.. Je peu voire ?

J enleva mon pull et ausa pour la premier fois depuis mais 11 ans me mettre en t chirt en présence de quelqu un.
Il me lacha me porta et me place sur ses genoux. Ma tête face à la sienne. Ses yeux dans les mien, étais à califourchon sur lui. Il quitta mon regard et le baissa sur mes bras. Entièrement marquée de cicatrice. Il les efleurer une par une. Certaine me faisait encor mal.

Logan : Qu'est ce qui s est passée quand tu as "fuis".

Moi : sa sa restera un secret ! Dit je en essuyant mes dernière larmes.

La sonnerie rettentit.

Logan : Encore désolé de t avoir embrassé l autre jour je sais pas se qui m as prix.

Je pose simplement mes lèvres sur les sienne avec douceurs. C était plus fort que moi..

Logan : On est quitte dit t Il avec un sourrir en coin et ses petite faussette craquante.

Moi : On se voit se soir à la cabane.

J avais réussis a en parler à quelqu un. Ce que je ne comprenait pas s'était pourquoi lui ? Logan avait se coter bien et mal à la fois se petit truc en plus rassurant mais effrayant. Sa le différencier des autre personnes.
Le fait qu' il ne soit pas desoler et n ai pas pitié de moi autant que moi je ne le suis pas pour lui. Peut être le fait qu' il s'en fiche. S'en fiche de blesser ou vexer qui conque. Qu'il s en fichz des loi et de se qu' on pourrai penser. Cette image derrière la quelle il semble se cachait. Qu' il semble prendre comme bouclier. Sous c est cheveux ténèbreux et ses trait dure.

CicatricesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant