L'affection Interdite (Tome1)

Chapitre 1-3: Humiliée

L'heure de la fin du cours sonna. Je rengais mes affaires. Et je me dirigais vers mon casier. On avait collé une annonce dessus:
Chers élèves, Woodside High School , annonce des castings de cheerleaders. Cette année, comme chaque année dans Woodside High School, un casting de cheerleaders est organisé pour le support de Wolverines Basketball Team. Veux tu t'inscrire? Remplis ce formulaire!
Je lisais l'annonce tranquilement quand soudain quelqu'un me l'arracha des mains. Je levais les yeux pour croiser ceux de Kelsey.
Elle me déteste, cela j'en suis consciente. Elle s'amuse toujours à m'intimider et à me rabaisser devant tout le monde. L'année dernière, elle réussit à faire croire notre professeur de français que j'étais une personne dépressive et que je me mutilais. Alors toute la classe s'est servi de moi comme nouvelle rumeur et exemple de leurs expressions écrites. Il y avait même quelques uns qui sont venus me demander si j'entendais des voix... Elle trouva cela marrant. Quesqu'elle veut encore? Je la regardais droit dans les yeux alors qu'elle commença son monologue:
"Ne me dis pas que tu comptes auditionner? Non mais la muette veut devenir cheerleader quoi! Ne t'inquiètes pas, tu peux toujours nous distribuer de l'eau." (En ce moment les "Cheerleaders" qui étaient autour de nous riaient). Mais je ne suis pas venue te parler pour ça. SOPHIE! VIENS UN PEU PAR LÀ! (Ceci n'était pas une demande, mais un ordre. La blonde fit son apparition.) Est-ce bien elle qui regardait mon mec?
"Oui c'est bien elle." elle répondit. "Non mais tu devais la voir, elle bavait et elle lui souriait de toutes ses dents!"
"Pourquoi tu regardais Blake?" Elle me demanda avec un regard noir et ses mains en sueur.
J'étais toute surprise. "Bbb..bbb..bbllaa..Blake?"
"Oui, Bbbbbb...Blake! " m'avait-elle imiter et biensûr un éclat de rire se fait entendre.
"En plus, il ne fera jamais attention à toi. Regardes toi, tu ne sais même pas parler, tu ne peux même pas dire une phrase sans baffouiller. Et n'oublions pas que même avec tes idées suicidaires tu ne peux même pas te défendre. Quelle mauviette!"
Elle avait prononcer cela avant de renverser mon cartable par terre. Je me suis baisser pour le ranger en même temps elle avait laché un: Assit!
Puis, avec son pied, elle poussa mon cartable jusqu'au l'autre bout du hall pour lâcher cette fois un: Vas chercher!
Je ramassais mes affaires sans dire un mot.
Ne me jugez pas! Qu'est ce que je pourrais bien lui dire? Elle m'as fait bien comprendre qu'elle pourrait lâcher n'importe quelle rumeur et ruiner ma vie sociale! Même si je n'ai pas cette vie. Elle pourrait toujours se faire du mal et partir se plaindre à sa bande de followers (qui contient tout le lycée) pour qu'on me renvoit, et ça se marquera dans mon livret! Alors je préférais me taire plutôt de me rebeller.
J'étais a présent dans la Cafétéria. À ma grande surprise j'avais trouvée une table vide. Je m'assis pour manger mon lunch. Mon regard tomba sur la table du "brun du bus" et ses amis. Alors "sourire charmant" avait un nom à présent Blake mais il avait apparament un mauvais goût vu que sa petite amie était Kelsey. James et Cole semblaient si amoureux et si joyeux...
Je regardais le couple et mon imagination était partie loin jusqu'à ce qu'elle soit interrompue par un liquide qui me coulait sur mes habits en train d'âbimer mon pull et mon jean. Cepandant c'était la table de Blake qui me regardait ainsi que toute la Cafétéria. Puis les rires s'élevèrent de plus belle sauf la table de Blake, eux il restèrent muets. Je levai les yeux et vis Kelsey qui me renverse une canette de Coca. Je saisie mes affaires et me leva pour courir vers le vestiaire et j'entendis un:
Je vous ai dit qu'elle peut même pas se défendre, Ahahahaha!
Je courrais sans regarder derrière moi.
En arrivant au vestiaire, je m'assoie pour pouvoir finalement pleurer et libérer ma douleur en souffrant une grosse honte. Je senti une main prendre ma tête pour la déposer sur un torse dûr et bien musclé. Je levais les yeux pour trouver le brun du bus.
D'habitude je détéste qu'on me touche. Cela me rendait mal a l'aise. Mais aujourd'hui et à ce moment là, j'avais besoin d'être blôtie contre lui. Il me consola et dit:
"Jai un pull à te prêter. Tu ne peux pas rester toute trempée comme ça."
Il me donna donc un tricot agréable au toucher. Et puis soudainement, une blonde vena vers moi. "Moi j'ai un jean à te donner, mais t'inquiètes, cette salope aura ce qu'elle mérite."
Ils sortent du vestiare et je me suis changé en priant que cette journée ne se termine pas plus affreusement.