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Je passai une de mes mains dans son cou, tandis qu' il se mettait à califourchon sur moi. Nos baisers prennaient de plus en plus de fougue. J' enlevai son t- shirt prestement, tandis qu' il déboutonnait mon jean.

Sa bouche descendait le long de ma mâchoire, l' effleurant à peine. Puis elle continua sa course vers mon cou, maltraitant la peau de celui- ci en la suçotant ou mordillant. Puis ce fut au tour de mon t- shirt d' allait jonché le sol. Maxxie enleva de lui même son pantalon, tandis que j' accaparai une nouvelle fois ses lèvres.

Un fois être en sous- vêtements, mon amant glissa le long de mon corps pour se retrouver face à ma fleur. Étant un peu au dépourvu, il resta bloqué quelques secondes mais se repris vite en collant ses lèvres près de mon bouton gonflé. Il commença à prendre de l' assurance et mordilla celui- ci, m' arrachant un petit gémissement. Puis son pouce força l' entrée de ma grotte, que je lui cédai volontiers.

Je le retournai, descendant à mon tour jusqu' à sa flûte, je la pris délicatement entre les mains et fis de langoureux mouvements de vas et viens. Ses gémissement transperçaient la lourde ambiance qui régnait dans la pièce. Maintenant sa virilité dans ma bouche, il était piègé. J' avais tous les fils, ce n' était plus qu' un pantin.

Puis j' inversa encore les rôles, il avait désormais sa virilité contre ma grotte d' amour. Il la pénétra sans hésitation, un soubresaut me parcouru. De l' électricité me parcourait les veines, tous mes repères volaient en éclat. Des gémissements mutuelles emplissaient désormais la chambre. Ses dents capturaient la peau délicate de mon cou. Tout était figée, rien n' était réel à part cette sensation. J' en voulais plus, toujours plus. Je voulais que cette sensation me colle à la peau comme la sueur qui collait en ce moment les mèches de mes cheveux.

Soudain une vague de chaleur me posséda suivi de mon cri et du grognement de mon amant. Mon corps cambrait se reposa après ce tsunami.

Et je fermai les yeux, reprenant mon souffle.