Chapitre 33

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PDV de Cora

Lorsque je me réveillais le lendemain matin, j'avais terriblement mal à la tête, au visage plus précisément. Je me dirigeais précipitamment dans la salle de bain. Mon visage était recouvert de bleu... Comment vais-je faire je suis censé avoir piscine ce matin...

Je décidais de m'habiller puis de cacher tous ses bleus par du maquillage. Après tout cela, je pris mon sac de cour et me dirigea au cosec sportifs, ou nous devions avoir sport, piscine précisément. Sur place je retrouvais Sam puis aperçu Jay qui n'étais pas encore habiller. Lorsque j'essaya de lui parler, il ne m'écoutait pas... Quelques minutes plus tard, j'aperçu le professeur de sport.

-Monsieur, je suis désolée mais je ne peux pas faire piscine je suis indisposée...

-D'accord Cora, tu peux rester quand même.

-Merci monsieur.

Lorsque le cours commençait, je m'approchais de l'eau et mis mes pieds sous l'eau. J'adorais nager mais à cause de la veille je ne pouvais pas. Soudain, quelqu'un me fit tomber dans l'eau et je me retrouvais tremper et surtout sans maquillage. Tout le monde se retourna vers moi et tous se questionnait sur la raison de mes bleus sur le visage. Tétanisée et ne sachant pas quoi faire, Jayson pris ma main et m'emmenais au vestiaire des garçons. Sur place, je m'assieds sur un des nombreux bancs puis je versais quelques larmes.

-Mais qu'est-ce qui t'es arrivée ? Hurla Jayson.

-C'est ton père qui t'a fait ça ? Ajouta t'il énervé.

-Non Non et calme toi s'il te plait.

-Dis-moi ce qui c'est passer alors ?!

Je ne pouvais pas lui dire que c'était mon père qui m'avais fait ça, il serait capable d'aller se battre avec lui. Je décidais de lui mentir.

-Si tu veux tout savoir, hier j'ai croiser une fille avec qui je me suis battu. Et quand je suis rentrée, mon père ma puni de sortit.

-Tu aurais pu me le dire et répondre à mes appels en tout cas.

-Bas justement, j'ai perdu mon téléphone...

Sachant que j'étais tomber dans l'eau habiller, je commençais à être gelée.

-Déshabille toi ! Exclama Jayson.

Je le regardais perdu. Il tenait vraiment à le faire ici ?

-Mais non petite cochonne, tu vas attraper froid si tu gardes ses vêtements sur toi. Il me répond en rigolant légèrement.

Je me retrouvais donc en sous-vêtements, dans le vestiaire des garçons. Jayson ouvra son casier puis me tendis un long tee shirt.

-Enfile ça.

J'exécutais. Le tee shirt enfiler, Jayson s'approchait de moi, avec une serviette a la main. Il se mit à me sécher les cheveux. Il était tout doux avec moi. Je me retournais puis l'embrassais lorsque soudain le professeur de sport entre dans les vestiaires.

-Jayson peux-tu nous laisser ? Il faut que je parle à Caroline.

Jayson sortit de la pièce me laissant seul avec le professeur.

-J'ai besoin de savoir qui t'a fait cela.

-Ne vous inquiète pas monsieur, je me suis juste battu hier avec une camarade de la fac.

-Sur ?

-Oui. D'ailleurs vous allez sûrement la croiser. Je crois qu'elle a court aujourd'hui.

-Bon d'accord. Tiens, madame Sting avait un legging dans ses affaires tu as eu de la chance qu'elle fasse la même taille que toi.

-Vous la remercierez de ma part s'il vous plait ?

-Se sera fait.

Au même moment, Sam débarquait avec sa trousse à maquillage.

-Tiens, tu en aura besoin.

-Merci.

Sam réparti et je me dirigeais vers le miroir pour me remaquiller.

Pdv de Jay

Je savais très bien qu'elle me mentait, ma Caroline ne se battrais jamais avec quelqu'un sauf si cette personne est Sarah. Mais contre toute attente elle ne l'avait plus vu depuis l'épisode de la classe. Je n'avais pas supporté qu'elle m'est menti mais elle a peut-être une bonne raison. Le lendemain je vais en cours, mais quand je franchis les portes de l'université quelque chose clochais. Tout le monde me lançait des regards et des murmures se fit entendre. Mais qu'est-ce qui leur arrive ? J'entre à mon cours de philosophie, j'embrasse tendrement Cora et vais m'asseoir à ma place habituelle à côté de Sarah. Après quelques minutes de cours nous sommes interrompu par la principale.

-Bonjour, puis-je parlée à Jayson Becker ?

Je me lève et tous les regards se braque sur moi. Je sors de la classe accompagnée de la principale. Arrivé dans son bureau, nous asseyons et la principale me lance un regard avant de dire :

-Mr Becker avez-vous eux certaine violence ? Me demande-t-elle soudainement.

-Non, pourquoi cette question ?

-Je sais ce que vous avez vécu après la mort de votre père...

-Ou voulez-vous en venir ? Je demande énervé.

-Une rumeur tourne disant que vous battez Caroline Bowman...es vrai ?

-NON ! Je ne frapperais jamais Cora et personnes d'autres.

-Je suis votre principale c'est mon devoir de veillé à la sécurité de mes élèves. Quand votre professeur de sport est venu me dire qu'elle avait plein de bleus sur le visage...alors je vous repose la question messieurs Becker frappez-vous Caroline ?

-Je vous répète que non ! Je ne frapperais jamais ma copine !

Je me lève et sors précipitamment de son bureau en claquant la porte derrière moi. Je n'y crois pas on pense vraiment que c'est moi qui bat Cora ! On me prend pour un psychopathe. Je décide de sécher les prochains cours pour aller me défouler à la salle de sport. À la fin de la journée, Je m'en vais chez Caroline et je frappe à la porte. Mais je suis surpris de voir le père de Caroline. Il est complètement bourré, je ne savais pas qu'il avait recommencer à boire. Pourquoi Caroline ne me la pas dit ?

-Qu'est-ce que tu veux ? Me demande-t-il une bouteille à la main.

-Ou est Caroline ?!? Je demande énervé.

Soudain Caroline débarque derrière son père, elle a les yeux rouges, elle a pleuré. C'est se salaud qui lui a taper dessus soudain une rage immense m'envahit. Je pousse le père de Caroline sur le côté et je prends le poignet de ma Caroline et je la ramène avec moi mais au moment où je voulu sortir Marc me frappe fortement avec sa bouteille sur la tempe. Caroline est complètement flippé. Du sang coule tout le long de mon visage mais je m'en fou. Je donne un énorme coup de poing à Mike avant de prendre Caroline sur mon épaule tel un sac à patate. Elle me tape avec ces petits poings pendant tout le long de la route. Je ne laisserais pas se fou furieux avec ma Caroline.


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