chapitre trois - infirmière

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Alors, bien sûr, évidement, ce fut le moment parfaitement choisis pour marcher sur mon lacet, glisser et me casser le tibia (c'est en tout cas le souvenir que j'en garde) dans les escaliers.

Et bien sûr, en m'étendant me briser les os, elle est sortit pour voir qui était la source d'un aussi grand fracas. Et elle est tombé sur moi, moi entrain d'essayer de pas pleurer de douleur en bas des escaliers. Elle a rapidement essuyé les larmes sur ses joues et est descendu me voir. "Ça va?" Sans attendre ma réponse, elle s'est accroupie pas loin de mon tibia qui maintenant était tordu dans un angle pas naturel du tout. J'ai grogné un truc du genre "tibia mal". Elle m'a jeté un coup d'œil et a ensuite effleuré mon tibia du bon de son ongle. Au cris de douleur que j'ai poussé, elle a compris que quelque chose n'allait pas. Elle s'est relevé, a réfléchi 5 secondes et à fini par m'attraper par le bras. "On va aller à l'infirmerie, appuis toi sur moi." elle a passer mon bras sur son épaule et ma ferment agrippé par le pull.

Appuyé sur elle, je m'imaginais déjà à l'hôpital, entrain de me faire amputer le tibia sur une table d'opération.

Après un calvaire de 20 minutes pendant lequel j'essayais de ne pas hurler de douleur à chaque fois que mon pied effleurait le sol, elle m'a déposé à l'infirmerie et a expliqué à l'infirmière ce qui m'était arrivé pendant que je m'évanouissais sur la chaise.

L'infirmière a dû penser qu'on était amis étant donné qu'elle lui a demandé de me parler pour que je reste éveillé, le temps qu'elle appelle le samu. Je voyais bien qu'elle me parlait, mais je suivais rien et malgré tout ses efforts, j'me suis endormi avant l'arrivée des ambulanciers.

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