Arrivée à un stade de notre existence. Nous sommes perdus. Nous avons tellement de projet pour l'été. Cependant. Je devais d'abord affronter ma terminal avec pour ambition, l'obtention de mon bachot. La boucle n'étant pas encore bouclés, ma vie alla...
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Peu à peu la vie passe mais pas toi alors que je désire tant que cela se passe ainsi.
Je n'arrive pas à mettre un point sur notre histoire, si c'en était une parce qu'à présent que dois-je faire? Comment dois-je agir?
Je pense pouvoir un jour aimer un autre homme, j'avancerai, je me relèverai seulement il y aura toujours un toi, une image, une phrase qui remontera à la surface, une analepse qui te fera remonter dans ma mémoire et changera mon humeur ou la direction de mes pensées.
C'était beau de t'aimer, oui, je conjugue tous mes sentiments à ton égard au passé.
C'est ainsi que j'insiste sur mon besoin vital, pressant, ma détermination, ma tristesse et mon anxiété pour exprimer le besoin de te dire adieu, je veux faire comprendre à mon cœur de fermer notre libre et d'ouvrir une autre avec pleins de pages blanches.
Je t'aimais seulement je ne veux pas éternellement me rassurer ou remettre en question ce que je ressens ou ce que tu ressens.
Seulement j'ignore lorsque mon cœur en fera le deuil et me permettra d'en aimer un autre.
Le cœur a ses raisons que la raison ignore et le mien est un capricieux, si je pouvais me retrouver en face de ce connard, je pense que j'en ferai de la charpie. Ma raison a essayé de faire son boulot mais celui-ci l'a fermé la porte au nez, elle s'est battue pour que je puisse enfin regarder mais en vain.
Il s'accroche à cet homme que j'ai nommé amour autrefois alors que celui-ci lui a laissé une morsure vorace, il s'est laissé dévoré avec un plaisir.
Mon cœur s'est interposé avec des éloges sur lui et ma raison a failli y laisser sa peau néanmoins elle s'est battue pour me libérer ses liens et à présent que j'y suis arrivée, je veux crier haut et fort à l'ombre de cet homme de me laisser tranquille, de défaire son emprise car je n'y arriverai pas seule.
Il me sourit, je pourrais succomber si je ne me doute pas de ce qu'il est fait, je le supplie du regard de m'offrir ma liberté. Je refuse d'être son esclave.
