Make me Human #4

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Dans un fracasse, mes pensées se dissipèrent.

Cette phrase m'interloquer ! Mes mouvements s'immobilisa. Mes yeux me piquer, un profond dégoût s'installa. Le quoi ? J'ai bien entendu ? Alors c'est comme ça qu'il me voit ? C'est ce qu'il a retenu de mon apparence ? Une pauvre statuette fragile et faible ?

Mais en y réfléchissant bien, il n'a peut-être pas tord.

Les insultes de l'orphelinat, me revenaient ! Ses profiteurs, ses gens qui menacée, qui écraser toutes les personnes qui faisait l'inverse de ce qu'il disaient ou faisaient. Ses sangsues qui te coller même aux chiottes. Ses briseurs de rêves. Ses profiteurs tout simplement !
Malgré l'absence de réponse, je sentais sa présence, adossé à côté de la porte. Le parasite s'impatienta et pour montrer son mécontentement, il se mît à cogner avec insistance en hurlant toute sorte de nom qui te foutrais les abeilles. Après son interminable tambourinement, NamJoon finit par dire :


- Eh, le saccharose! Et puis plus rien.

Était-il en train de m'attendre ? Tout doucement, j'ouvre la porte. J'étais étonné d'un sens et soulagé de l'autre de voir qu'il n'était plus là ! Il est déjà redescendu, tant mieux. Les escaliers ne contenaient que 30 marches et pourtant elle semblait interminable. La lenteur de mes pas, me faisait réaliser que j'avais une impression de catastrophe imminente. L'estomac noué, des auréoles de sueur se dessinées sur mon t-shirt. Comme je m'y attendais, l'heure que je redoutais tant est finalement arriver. Vais-je pouvoir affronter son regard ? Eh, une question de plus s'ajoute aux milles précédentes. Le lustre de la salle à manger était abaissé comme chaque soir. Les lumières dorées miroité sur tout les murs. Mélissa faisait des allers-retours à la cuisine pour chercher les plats qu'elle posaient devant nous. Tandis que moi, je commençais à transpirer en sentant le regard de NamJoon sur moi. Le stress me revenait. Le silence régnait, juste troublé par les glissement des chaussons de Mélissa et le tic-tac de l'horloge. Mon cœur se serrer d'angoisse. Qu'attendait ils au juste ? Il y a avait une bonne dizaine de plats chauds et froids sur la table, tant de plats japonais que coréens. La nourriture était appétissante, comme toujours. Le stress me faisait trembler des mains. Il m'a fallut une grande concentration pour réussir à attraper un sushi, après quatre essais infructueux, je me suis dit que finalement je n'avais pas si faim.

 C'est alors que Madame Kim prit la parole :

- Comment s'est passé tes études à l'étranger a-deul ? (fils )


On voyait qu'elle aimait beaucoup son fils. Elle lui fit son plus beau sourire et le regarder avec ses yeux remplis d'affection maternelle.Alors NamJoon commença, sa voix était belle lui aussi, on aurait dit celle d'un artiste. Limite il chantait son récit, mais bien que je l'écoutait, je ne réussissais pas à capter toute la discussion. Je souriais quoiqu'il disait, sans doute parce que j'étais affreusement gêné par son regard fixé sur moi. Au bout d'un moment, je me suis désaltérer manquant de m'étouffer en croisant la prunelle carnassier de Nam.


- D'ailleurs, j'ai ramené des cadeaux pour vous mère et j'ai même penser à Mélissa. Il s'excuse de ne pas avoir de cadeau pour moi.


Je lui souriais, pour lui montrer que ce n'était pas grave.En réalité, le seul cadeau que je voulais moi c'était la tranquillité de mes premiers jour ici. Les autres je m'en foutais un peu ! Poliment je sors de table, d'un regard je remercie Mélissa de s'être tant investie même si je n'ai pas beaucoup manger. Je m'empare d'une veste dans la pile de vêtements sûr le fauteuil et sors. À l'extérieur, le temps est nuageux et glacial. Je prends soin de refermer la porte coulissante derrière moi. J'aime quand le temps est ainsi. Le jardin est vaste et il n'y a pas signe de vie humaine. La Lune est présente bien que le temps soit gris. Je m'approche du bassin de poisson. Le murmure du ruisseau et le chant des cigales s'accorde parfaitement.

                                                     PDV NamJoon


Debout devant la baie vitrée, j'observe les alentours. Je ne vois personne sauf, le petit noiraud qui est fasciné par le bassin de poisson. J'ai l'impression de me voir gamin ! Soudain, je me retourne. Mère est assise avec sa tasse de thé et son roman qu'elle lit en ce moment. J'ai besoin de réponse. Je m'assieds donc à ses côtés.


- Eomma, qu'est ce qui t'a pris d'adopter cet adolescent ? - C'est arrivé comme ça. - Hein ? - Parfois, en promenant Ippih-ah, il m'arrive de passer à l'orphelinat. Le chien s'est prit d'affection pour cet enfant. À l'orphelinat, il ne parlé presque pas. Ils étaient dépassés par cet adolescent insociable. - Es-tu sur qu'il se sentira mieux ici ? - J'en suis certaine ! Namjoon, qu'est ce qui te prends de t'inquiéter ainsi ? - Je me demande des choses, mais ... - Il semblerait qu'il ne se rappelle de rien. À 6 ans, il à été trouvé dans la rue. À part son nom et son âge on ne sait rien de lui.


Très intéressant, je pense que je vais devoir m'occuper de ce gamin insociable.

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Tchu ~

Nam a tu vraiment de bonne intention ?

Je vous laisse la pour l'instant mais je reviens très vite bisou mes petits gens <3

Annyeong

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