Preferences et Imagines Avengers

Stefen+Tony+Steve+Toi deuxième partie

Steve+Toi

Ta tête posait sur un oreiller moelleux- aussi surnomée Steve-  tu souffrais d'un mal de crâne terrible qui te fit grincer les dents.

- Je t'avais prévenu mon cœur, tu n'aurais pas du boire avec Tony et Stefen. Tu veux un aspirine ?

Ton merveilleux oreiller - et occasionnellement fiancé - semblait murmuré mais cela ne t'empêchais pas d'avoir l'impression qu'il hurlait plus qu'autre chose.

- Qu'est-ce que tu veux que je te dise ? Grognas-tu. Ils pensaient déjà que je les avais un peu délaissés depuis que je sortais avec toi, alors depuis la demande en mariage ! Je ne pouvais pas refuser de passer un bon moment avec eux. D'ailleurs, je pense plus qu'ils sont jaloux que leurs deux meilleurs amis se soient mis ensemble.

- Ou alors, ils répondaient simplement à l'appel d'un meilleur ami qui cherchait à faire une surprise à sa petite amie et fiancée totalement géniale mais ça a finit par dégénéré. Je n'ai toujours pas compris comment tu as fait pour avoir des pop corns dans le cheveux !

- Une surprise ? T'exclamas-tu avant de te redresser d'un coup.

- Oh là, doucement. S'exclama Steve, un peu trop fort, lorsqu'il te vit te relever d'un coup sec, ce qui a failli te faire tomber.

- Merci. Donc, de quelle surprise parlais- tu ?

- Ah ! Mais c'est une surprise ! Ce ne serait pas une surprise si je te la dévoilait avant que tu ne la découvre ! Sourit-il.

- Mais dans ce cas, tu n'aurais pas dû me dire qu'il y en avait une. Pensas-tu dans un éclair de lucidité.

- C'est vrai... En même temps, tu cherchais une excuse pour avoir bu ! Tenta-t-il.

Tu souris. Ce magnifique homme, ou plutôt surhomme, aux cheveux blonds et aux yeux bleus époustouflant, et qui te regardait tendrement, sans oublier que par une chance inouïe, t'aimais autant que tu l'aimais, si seulement c'était possible, ne savait absolument pas te cacher quoi que ce soit.

- J'adore quand tu souris, même si c'est pour te moquer de moi. Murmura-t-il à ton oreille avant de t'embrasser.

- Ne changes pas de sujet ! Je veux vraiment savoir quelle est ma surprise !

Ton adorable fiancé soupirait tandis que tu buvais le verre d'eau dans lequel finissait de se dissoudre un cachet d'aspirine.
Tu ne cessais de le regarder, non pas pour admirer son corps splendide, mais simplement pour lui montrer que tu ne lâcherais pas l'affaire. Il pouvait toujours courir ! Tu souhaitais vraiment être au courant.

- Qu'est-ce que tu fabriques ? Demandas-tu en voyant Steve se lever, s'habiller rapidement et s'en aller.

- Comme tu as décidé de faire une tête à laquelle je ne peux résister pour que je t'annonce le programme de ce soir, je m'éloigne de toi pour pouvoir garder ça secret.

- Si j'arrête de te supplier, tu veux bien rester ?

- Qui me dis que tu ne le feras pas ?

- Rien, à part la confiance et l'amour que tu me portes. Concédas-tu

- Malheureusement, ça ne me suffit pas, mon coeur. C'est beaucoup certes, mais j'ai besoin de m'assurer que tu ne demanderas vraiment rien à propos de la surprise !

- Et bien, si je désobéit, j'aurais un gage et si au contraire je respecte le contrat, tu reçois un gage pour ne pas m'avoir fait confiance ? Proposas-tu.

- Bizarrement, je ne le sens pas. Que penses-tu de choisir le gage de l'autre tout de suite, qu'il sache à quoi s'attendre ?

- Pourquoi pas. Je commence ! Alors pour toi... Tu devras... Hum... C'est pas facile de trouver quelque chose de sympa ! Donc... Je sais ! Tu passeras l'aspirateur ! Cet objet t'as toujours intrigué et tu n'en as jamais compris le fonctionnement... Quoi de mieux pour le gage ?

- D'accord, je tenterais de me débrouiller. Toi ton gage, sera de me raconter une anecdote drôle à ton sujet.

- Compris.

Le reste de la journée, ton petit-ami faisait tout ce qu'il pouvait pour que tu répètes à haute et intelligible voix la question qui te trottait dans la tête : " C'est quoi la surprise !".

Vers la fin de la journée, il essaya une dernière fois de te faire craquer. Qui aurais cru que Captain America aurait suffisamment peur de l'aspirateur pour qu'il souhaite t'entendre lui poser cette fichue question !

Son regard de chien battu, mélangé avec une imitation des yeux du chat Potté, le rendait encore plus adorable et craquant qu'il ne l'était déjà. Comment voulais-tu résister à cette tête affreusement mignonne ?

- T'as gagné, c'est quoi ?

- Racontes-moi d'abord cette croustillante anecdote que tu m'as promis. Sourit-il sadiquement.

En effet, en rencontrant Captain America, tu appris qu'il pouvait quelque rare fois se montrer ironique, sarcastique et sadique. Ça arrivait vraiment rarement, mais à chaque fois, ça te faisait sourire.

- Les cours à l'Université avait commencé 6 mois auparavant. Avec une amie de l'époque, nous commençions à connaître les couloirs et les chemins à emprunter pour nous rendre dans nos salles. Il n'empêche que nous nous sommes totalement perdu ! 45 minutes à errer, ayant comme seul but trouver notre salle d'italien, je peux te le dire, c'est long ! Quand enfin, on l'a retrouvé, on est rentré à l'intérieur, et on s'est excusé pour notre léger retard en italien. Et devines quoi ! Il s'avérait que nous étions en histoire...

- L'anecdote n'est pas si extraordinaire que cela, mais on va la garder pour te faire plaisir mon coeur.

- Alors, dis moi tout sur ma surprise !

- Et... Ce...On... Organisé...Fête...Surprise...

- Attends, attends... Pourquoi tu ne dis qu'un seul mot sur deux ?

- Parce qu'il me manque ma moitié. Te répondit-il.

Ton coeur fondit. Tu l'embrassas, des étincelles plein les yeux.

- Je t'aime.

- Moi aussi mon coeur.

Il te prit dans ses bras pour un câlin. Vous être restés comme ça pendant une dizaine de minutes, avant que tu ne fasse un pas en arrière. Tu le regardais avec une lueure d'impatience dans les yeux qui le fit sourire. Pour te faire plaisir, il restitua les mots manquant dans sa phrase.

- Et bien, ce soir, on t'as organisé un anniversaire surprise ! Apparemment tu avais complétement oublié, sûrement à cause des préparatifs pour le mariage, ton boulot, notre vie ensemble, et nos amis. Donc je me suis dit que j'allais préparer ça. Tu devras faire semblant de ne pas être au courant quand on arrivera là bas ! Et non, je ne te dirais pas quel est ton cadeau !

Au final, tu passais une soirée absolument génial. Ton cadeau te plut énormément.

Une fois rentrés, tu enlaças ton formidable fiancé. Il brisa le silence avec ces quelques mots, qui élimina instantanément tout le romantisme de la soirée :

- Finalement, tu ne m'as toujours pas dis comment du pop corn avait attéris dans tes cheveux !

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Voilà voilà ! J'espère qu'il t'as autant pour que la première partie miss300, voire plus !
Je publie la suite le plus vite possible.