Chapitre 32°

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Moi : Tu as 5 minutes
Mathieu : Voilà alors quand on est revenu de chez ta mère pour Amélie et Alex sa n'allait plus du tous et puisque que tu t'es beaucoup reposé Amélie est venu se confier à moi, j'ai, en quelque sorte, jouer le rôle de l'amie confidente... Je sais que cela peut te paraître absurde mais il faut me croire c'est la vérité.

J'aimerai sincèrement le croire mais c'est tellement difficile.

Moi : J'ai besoin de savoir, est ce qu'il c'est passé des choses ? Ne serais ce qu'un baiser ou plus ?

Mon ton était froid et légèrement agressif. En guise de réponse il me regarda droit dans les yeux,

Mathieu : Non rien... S'il te plaît crois moi...

Je sortie de la pièce sans rien répondre.

Mathieu : Mel' s'il te plaît pardonne moi...

Mais sans me retourné je décida de monter chez mon amie.
J'entra sans toqué, ce qui la surprise,

Amélie : Qu'est ce que tu fait la ?
Moi : Il faut qu'on parle ! Explique moi tous je veux tous savoir... même ce que je ne veux pas savoir et ce qui va me faire du mal, j'ai besoin de savoir !
Amélie : Ok... Quand j'ai dis à Alex que jetait stérile au début il à plus ou moins bien pris mais il ma soutenu, puis au fur et mesure je commençais à comprendre que sa le faisais chié de savoir qu'il ne pourrais pas avoir d'enfant alors on à commencé à se disputer de plus en plus mais à ce moment la tu était hospitalisé donc j'ai commencé à envoyé les message à Mathieu puis j'ai rompu avec Alex quand on est revenu ici tu était en plein repos il est venu faire la bonne copine.
Moi : Est ce que vous avez .....?
Amélie : Non ! Jamais je n'aurai fait ça !
Moi : Pourtant tu me cache quelque chose...

Je la regarde, insistante, elle va lâché je le sens, je continue de la regardé. Elle craque enfin,

Amélie : On s'est embrassé ! Sa te vas mais sa n'est pas allé plus loin et ce n'était qu'une fois où on avais trop bu ! Je te le jure il était juste la comme un pote, un confident. Pardon Mélanie...

Je suis simplement redescendu, et en arrivant dans la pièce à vivre je me suis avancé vers mon petit ami et lui ai foutu une grosse gifle.
Devant son air étonné, j'ai répliqué,

Moi : Tu le mérite et sa ma fait du bien !

Il ma rien dit, et je n'ai rien dit pour répondre à son bref silence.

Point de vue extérieur

Cette nuit là, Mathieu dormira sur le canapé pendant que sa petite amie et mère de son futur enfant, ainsi que sa belle fille dormiront dans le lit de couple.
Et ce lendemain matin, le futur papa se réveilla seul dans son appartement sans que le petit déjeuner ne soit préparer, sans qu'il soir réveillé par les dessins animés préféré de sa belle fille ni l'odeur de sa petite amie. Comme si tous ce qu'il avais vécu depuis bientôt 1 an n'était qu'un immense rêve, mais une lettre soigneusement déposé sur la table le ramène à la réalité.

Mathieu,

Je suis désolé de partir comme ça, sans prévenir avec Leonor. Mais il faut que tu comprennes que cette situation n'a rien de facile pour moi, je n'ai pas le droit de vivre dans le stress de cette situation, ni même dans la peur de te perdre pour de bon. Hier Amélie m'a avouer que vous vous étiez embrassé et je ne peux pas vivre dans le mensonge.
Pour mon bien et le bien du bébé je pars quelque semaine chez mon parrain me "ressourcer".
Je ne te quitte pas, je quitte le stress et la peur.
Je t'aime et je te pardonne .
Mélanie.

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