Une rencontre qui change la vie

Chapitre 35°

Un mois était passé, Léonor n'avait pas voulu revoir son père depuis l'incident de la rentrée. Amélie quant à elle ne s'était pas du tous réconcilier avec Alex, en revanche Mathieu repart boire des coups avec lui, mais on sait qu'on ne peut pas les empêchés de s'amuser se sont des grands enfants on le sait. Léonor se débrouille déjà très bien au collège en étant la première de sa classe comme a son habitude. Ma sœur avait repris contact avec moi, de nouveau, et comme la dernière fois j'avais refusé de lui parlé ou de parler à ma mère. Enfin, pour moi, mon 8ième mois de grossesse venait de s'entamer et la fatigue se faisait de plus en plus sentir. Je n'en ai parler a personnes même pas Amélie ou Mathieu, seuls les médecin sont au courant, je me prépare mentalement au jour de l'accouchement mais j'essaie tant bien que mal de ne pas y penser en passant le plus de temps possible avec ma famille, ma meilleure amie, ma fille et le père de mon futur enfant, Aaron. 

Mathieu : Bonjour chérie. 

Il m'embrassa rapidement en s'étirant. Nous étions allonger dans notre lit, il était 7h30 et comme tous les matins Mathieu se levait en premier pour faire le petit déjeuner à Léonor qui, elle, se levait à 7h50. On avait installé notre petite routine, cette dernière faisait du bien, nous avions enfin trouver un bien-être dans cette appartement avec la marraine de ma fille toujours autant présente pour moi et sa filleul. Et quand on parle du loup.

Amélie : Salut tous le monde ! 

Léonor : Coucou ! 

Aujourd'hui Amélie et moi allons ensemble au boulot, pour récupérer des dossiers pour travailler à la maison, et heureusement qu'on peut travailler à domicile parce que juste le fait de me lever pour me rassoir dans la voiture m'épuise énormément. 

Mathieu : Aller Lé' on y va ! 

Léonor me fit un câlin avant de partir au collège avec son beau-père. Tandis qu'Amélie à l'entrée de ma chambre pendant que je finissait de m'habiller tant bien que mal, vu le manque de souplesse lié à l'avancement de ma grossesse.

Amélie : Tu veux de l'aide ? 

Moi : Non je vais y arriver 

Elle me laissa me débrouiller tout en me regardant galérer, elle craqua au bout d'un moment en m'aida a enfiler mes chaussures. J'ai l'impression d'être cendrillon après quelque mois dans le lit de son prince charmant. Je souris à ma meilleure amie pour la remercié de son aide. 

Moi : Je n'était pas autant handicapé quand j'était enceinte de Léonor ? Si ? 

Amélie : Tu rigoles ? C'est limite si je ne passais pas mon temps a t'habiller ou a ramasser tous ce que tu faisais tomber. T'es comme ça tu prends énormément de poids d'un coup sur les 3 derniers mois puis tu perds tous dans les mois qui suivent l'accouchement. 

Moi : Excuse moi, je te rappelle que ça fait 10 ans, je n'ai pas une aussi bonne mémoire que toi. 

Elle rigolât simplement en m'aidant à me lever de mon lit qui avait fini par prendre ma forme. 

Finalement après être passé au boulot, nous avons passer la journée en ville entre fille, sa faisait longtemps qu'on avait pas profité juste toute les deux. 

On rentra ensuite à l'appartement où Léonor était déjà là, ce qui n'était pas normal, 

Moi : Chérie, qu'est-ce que tu fais là ? 

Mathieu : Elle était malade je suis allé la chercher il y a 15 minutes, et vous ? Vous étiez où ? 

Moi : On était en ville, prendre l'air et acheté deux, trois trucs pour la chambre d'Aaron.