L'enfer du métro

Chapitre I : La station libre.

- "Hm.. Quoi encore ?"
Ce fût les premiers mots que je sorti se matin. Le bruit d'un marchant hurlant un slogan idiot pour vendre ses objets m'avait réveillé en sursaut.
-"Quel abruti lui..."
Je me leva difficilement de mon lit, enfin, si on pouvais appeler çà un lit...
Après avoir enfilée ma tenu et attachée mes écusons à mon épaule, je sorti de mes quartiers pour rejoindre l'estrade. Là où toute la garde de la Hansa se retrouvais pour définir les tâches journalières.
Je monta donc sur l'estrade. À cette instant, les Hommes en rang devant cette estrade ce mirent au garde à vous à l'unisson.
-"repos, et bonjour à vous messieurs, mesdames.
Pour ce qui ne le savent pas, je me présente: Xeleko Bodrov, Lieutenant-Colonel de la garde.
Aujourd'hui, une journée calme nous attend, une visite des rangers auras lieu vers le supposé 15h. Soyez imposants et ordonnés !"
Je fesait ce petit discours presque tout les matins, ça devenait une routine.
En descendant de l'estrade, les Hommes se remirent au garde à vous pour saluer mon départ.

Quand j'arriva dans le bar, où tout survivants pouvais se reposer, manger, ou encore se rendre ivre...
Une personne plutôt bien équipée, même extrêmement bien d'ailleurs, était assis à une table, il me semblait assez suspect pour que j'aille le voir. Et c'est ce que je fait.
-"Bonjour monsieur, Xeleko Bodrov, Lieutenant-Colonel de la garde hansa."
Lui avais-je dit sur un tôn amical.
Mais il ne semblait pas réactif, il me fit juste un signe de la main pour me saluer. Je décidais donc de la rejoindre à sa table.
Après mettre installé en face de lui, il me dit ces quelques mots:
-"l'ami... Si tu as besoin d'objets de la surface... Contact moi..."

À ce moment la, j'ai directement compris son travail. C'était un stalker, un héros de la surface.
Un homme suréquipée et surentraîné qui va à la surface pour récupérait des victuailles.

Je me leva donc et parti discrètement après lui avoir fait ma commande. Cela m'avait coûté 1000 balles. En effet les balles sont la nouvelle monnaies universelle dans le métro.

Plus tard dans la supposé journée, je croisa deux belle femme qui me firent quelques signe pour m'emenner dans un coin. L'amour véritable n'existais presque plus et pour faire survivre la race humaine, ce genre de scène arrive de plus en plus souvent.
Mais je ne me prit pas au jeu, je passa ma route tranquillement avec d'arriver devant la Gate A.
Cette grande porte en fer mécanique, qui nous protéger de tout l'extérieur de la station. Que se soit les mutants, le Reich, une dictature Hitlérienne ou bien leur ennemis, les Red-Line, un partie communiste extrême...

Si un jour cette porte cèdent, c'est la vie de des millier de survivants qui est en jeu.

C'était ça, la station libre. Un lieu ou tout le monde est "libre" et "neutre". Et moi, je suis la pour veillée a ce que tout cela reste comme ça.

Je suis, Le chef de la garde Hansa...

À suivre....

-"chef ! Une intrusion ! On ne peut les retenir !"
La communication fut couper juste après des coup de feu...