Chapitre II: Le Reich.

9 2 2
                                    

   Après la discutions avec les Rangers, la faction la moins nombreuse mais pourtant la plus performante, ou du moins qui égale la Hansa. Je me dirigeas vers les quais où ce situé la Gate A. La fameuse porte qui protégeais toutes la station. Comme à leurs habitudes les équipes techniques de la garde firent le tour des machines hydrauliques qui permettais à la porte de bouger. 

-" Tout est en ordres chef." 

Me dit un des soldats-ingénieur de l'équipe.  Je les félicitas pour leurs travail et commença à partir quand l'alarme se mis à hurler dans toutes la station.  une alarme sourde et bruyante qui était faite part 3 longues sonneries graves.  Les quelques gyrophares se mirent alors en route et tout le quais fut illuminé de lumières rouges en mouvements. Les civils sur ces quais fût immédiatement évacués et les portes furent bloqués par de grosse barres de fer.

Un soldat, plus précisément un éclaireur, facilement reconnaissable à sa tenu noir et son casque sombre, comparé au soldat normaux en tenu militaires marron et vert foncé avait donné l'alerte comme quoi le IV Reich, Les Bosch, ou les Néo-nazis comme on les appel,  allés lancer un assaut sur la station libre. L'état d'alerte fut donc lancé.

-" Tout le monde en position de défense ! je ne veut aucun blessé ! aucune perte !" Criais-je alors au troupes qui se mirent en position. Je savait très bien que personne n'allait ressortir idem de cette bataille. Moi non plus d'ailleurs, je ne savait pas si j'allait rester en vie...

   Quelque minutes plus tard, vingt-cinq précisément, des explosions se faisaient entendre dans le tunnel, les premiers contacts étaient établis. En effet, les hommes postés deux cent mètres devant la porte eurent juste le temps d'avertir l'intérieur de la station avant de se lancer dans un combat perdu d'avance contre une grande vague du IV Reich...

Une estimation avait était faite, le Reich nous avait envoyé environ 200 hommes. Etant largement supérieur à eux, la décision de leur tendre un piège à était décidé. Le piège consisté à laissé la gate ouverte. Les ennemis ,étant une équipe d'assaut, rentrerais directement, à se moment, les hommes cachés dans les autre salle ainsi que dans les meurtrières ouvrirons le feu. Ce plan n'était pas son faille, mais allait fonctionné, j'en avait la conviction.

   Le début du plan fonctionnais, le Reich entras directement sur les quais et l'assaut fut donnais au moment où la gate c'était refermée sur eu même. Les coups de feu des hommes dans les meurtrières furent les premiers à se faire entendre.Quelque seconde après, les hommes cachés dans les pièces adjacentes lancèrent la contre-offensive, une fusillade créant un bain de sang fut lancé.

Pendant ce bain de sang, plusieurs hommes sont tombés au combat, mais les pertes sont plus grosses chez nos ennemis. Etant muni d'une AK-47 basique souvent utilisé pour la Hansa, en effet, des stocks de la guerre froide furent retrouvé lors de l'exploration du métro, je mitraillais avec précision les ennemis à travers un coin de porte blindée.

C'est à cet instant qu'un nouveau cri dans les radios brisa l'enthousiasme de mes hommes ...

-« chef ! Une intrusion ! On ne peut les retenir ! »

La communication fut coupée juste après des coups de feu... Le IV Reich nous avait tendu une embuscade par-dessus la notre, il sont passé par un accès normalement bouché... Etant prit en tenaille, je donnais l'ordre de stopper les tirs. Peu après, le champ de bataille fut remplit de soldat du Reich. Nous étions dans de beau drap, et le début de nos ennuis ne fessait que commencer...

Mes hommes les moins gradés se firent abattre devant mes yeux. Les recrues, soldats, soldats major, caporals n'on pas survécu, les autre, ainsi que moi-même furent transférés en tant que prisonniers importants. Je savait très bien se qu'il allait se passé, nous allions être attaché tous ensemble aligné, et le Führer lui-même viendrais se faire un plaisir de nous torturer et nous tuer juste après avoir eux les information qu'il voulait.

J'était foutu... Et mes hommes aussi...


~~A suivre.. ~~


-"Mein Oberst ! Abbatés les ! "

L'enfer du métroOù les histoires vivent. Découvrez maintenant