Le jeux ne fait que commencer

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* NDA: je remercie ma sœur de cœur qui m'a bien aider pour la correction de ce chapitre et l'idée de ce titre. Sans elle, cette histoire n'aurais pas vue le jour. Je lui dédis cette Fic *

Cela faisait quelques mois que ledétective n'avait plus eu de nouvel de Jim Moriarty . Plus depuiscette rencontre à la piscine . Sherlock était ressorti troublé parcet affrontement. Les dernières paroles du criminelle hantaittoujours son esprit et polluaient son palais mental. Il avait mêmeperdu un peux d'efficacité. Cela inquiétait énormément John quine reconnaissait plus son ami. Bien entendu, le docteur Watson enavait fait part à Mycroft, à Lestrade et même à Molly. Celle-ciétait l'ex de Jim mais elle ne connaissait rien de lui à part lesmensonges que le criminelle lui avait raconté.


Sherlock passait le plus clair de sontemps dans son palais mental à réfléchir et à chercher undénouement à cette situation. Quand il n'y arrivait pas, il jouaitdu violon devant sa fenêtre pendant des heures ou bien, il faisaitdes recherches internet sur Jim. John remarqua que son colocataire nedormait presque plus et mangeait encore moins que d'habitude, ce quiétait plutôt inquiétant vu qu'il dormait déjà peu et touchait àpeine à ses assiettes sauf quand il s'ennuyait. Madame Hutsontrouvait le comportement de Sherlock plus étrange qu'à l'ordinaire.En faite, depuis cette rencontre, Sherlock n'était plus vraimentSherlock.


En bon grand frère protecteur ,Mycroft Holmes décida de rendre visite à son cadet. Il avaittoujours en main son éternel parapluie et son costume trois pièces.Une fois devant le 221 B Baker Street, Mycroft remit le heurtoir enplace avant d'entrer et de monter les marches qui menaient àl'appartement de son frère. Il frappa doucement et ce fut John quivient lui ouvrir la porte. L'aîné des Holmes se sentait coupabledu mal-être de Sherlock car c'était en parti sa faute si Moriartys'était intéressé à lui et si il avait créé un monde où nevivrait que le criminel et le détective. Il craignait que Jim n'aitdéveloppé une forme d'attirance malsaine.


Mycroft : Je peux parler à Sherlock?

John : oui bien sur mais... je ne saispas dans quel état il est...


Le cadet des Holmes était assis dansson canapé, les mains jointes sous son menton plongé dans uneintense réflexion. Il ignorait royalement la présence des deuxhommes. Pourquoi Jim lui avait dit qu'il lui appartenait etinversement ? Mycroft entra doucement dans le salon et il regardalonguement son frère en ne sachant pas quoi faire. Il avait toujoursété maladroit avec lui à cause de la différence d'âge et le faitque ses parents avaient quelque peut privilégié Sherlock suite àde certains traumatismes. Tout à coup, le portable de Sherlock cemit à sonner et le détective bougea enfin pour répondre àl'appel. C'était Lestrade, il y avait eu plusieurs braquage et JimMoriarty avait été arrêté. Cela sonnait étrange aux oreilles dubouclé qui récupéra rapidement son manteau.


Sherlock : John viens ! Suis moi !

Mycroft : attend !


L'aîné ce rapprocha doucement deson cadet pour l'observer et juger de ses capacité. Il remarqua lesyeux clairs de Sherlock qui étaient un peu perdu et lointain. Celainquiéta l'homme d'État.


Mycroft : Sherlock... faisattention à toi s'il te plaît et dés que tu a un moment, viens meretrouver dans mon bureau... Il faut qu'on parle !

Sherlock : très bien mais excusemoi, j'ai du travail !



La vie retournéeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant