Le coupeur de tête

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Je vais vous racontez la première histoire. Histoire, je n'en suis pas si sur j'ai entendu des rumeurs dont quoi dans certains châteaux cette histoire ce serai passée.
Un soir d'été, des enfants jouaient dans un bois prêt d'un château en ruine. Ils jouaient à la balle tranquillement dans le bois. La bande de marmots ce comptait aux nombres de cinq. Je vous passerez les détails des noms et âge mais retenez qu'il y a deux jumeaux qui sont totalement identique, un grand blond, un garçon de base normal avec des cheveux brun, et une jeune fillette blonde sœur du garçon blond. Ils jouaient donc à la balle tapant du pied, la lançant à la main. Jusqu'a que d'un commun accord ils décidèrent d'entrer dans le château. Vous me direz entrer dans un château pour des enfants n'est rien de banale et à tout d'excitant. Ils essayèrent la porte principale qui donne sur la cour, mais comme on pouvait sans douter elle était condamnée. Ils contournèrent le château mais aucune façon d'y entrer ou dans sortir. Après un effort pour trouver des indices pour y entrer ils abandonnèrent et se remirent à jouer. La balle rebondissait contre les arbres et les rochers. Mais lors d'un dégagement violent du garçon blond la balle atterrit sur une planche de bois. Les enfants attiraient par le bruit s'avancèrent et dégagèrent la planche. Mais ce n'était pas une simple planche posé la part hasard, c'était une trappe. Les jeunes, fous de joie d'avoir fait une telle découverte sautèrent immédiatement à l'intérieur sans ce soucier de l'endroit ou cela mener. La galerie était noir les racines des arbres dépasser de se que l'on pourrait appeler un plafond, des toiles d'araignée inhabité depuis longtemps s'entortillé entre les racines. On peut apercevoir à la lueur de la trappe des vers de terre ce tortillaient contre les parois. L'un des jumeaux sorti sa lampe de poche qu'il gardait toujours sur lui. Il l'alluma et passa devant le reste de la bande pour leur montrer le chemin. La galerie était étroite et humide ils se sentaient incommodés dans cette endroit. La jeune fille un peu peureuse mais très intelligentes leur a demandé si il n'aurait pas mieux fallu faire demi-tour, mais son grand frère lui répondit sèchement que ce n'était qu'une froussarde qui à peur de tout. La demoiselle vexée dans son honneur lui répliqua qu'elle s'inquiétait de sa santé à lui et quelle ne voudrait pas que son grand frère se fasse dessus en voyant une araignée monter sur lui. Le garçon ne trouva rien à répliquer. Après cet événement la petite troupe continuèrent d'avancer. Ils débouchèrent dans un endroit où régnait une odeur pestilentielle, des mouches volantes en nombre insensés autour d'un gros tas de purin. L'odeur ne pouvais provenir que de là mais il y avait quelque chose de louche cette odeur n'était pas dû au vieux excréments des chevaux ayant vécu ici. Cette odeur était plus cadavérique. Mais les enfants n'eurent pas le temps de s'en apercevoir ils quittèrent le souterrain au grand galop et coururent jusqu'a la sorti. Ils arrivèrent dans la cours et découvrir une ville mortifiée. Le seul panneau qui était affiché, était une vieille pancarte assombri des longueurs du temps qui devait sûrement désigner une échoppe, ce balançait lentement dans un bruit strident de fer métallique. L'endroit était sinistre. Les murs étaient noirci par le temps, les portes qui resté encore debout grinçaient sur leurs gons comme une plainte envoyer aux enfants. La jeune fille s'approcha de cette pancarte qui l'intriguait et lut bistro du coupeur de tête. Elle frissonnât à l'idée qu'il y aurait pu avoir des hommes et des femmes se faire décapiter dans ce bistrot. Elle fut sortie de sa torpeur grâce au petit brun qui décidât de continuer leur jeu de balle. Ils se reprirent à jouer mais la fillette ne se sentait pas bien, comme observé par une fenêtre au dessus de la pancarte. Le jeu ce poursuivi dans l'obscurité produit par l'ancienneté des bâtiments. La nuit était tombé doucement en les enveloppants sans même qu'ils s'en aperçoivent. La seule personne qui le remarqua fut la seule fille du groupe. Ils n'eurent pas besoin de discuter longtemps pour décider de partir, l'idée de dormir dans un endroit comme ça ne leur convenaient pas du tout. Ils coururent jusqu'a l'écurie et arrivèrent devant la trappe là le jumeaux qui avait la lampe demanda qui avait fermé la trappe derrière eux. Mais le jeune brun qui était resté derrière fit signe de la tête que se n'était pas lui et interrogea du regard ces autre camarade. Personne ne répondit. La jeune fille toujours incommodé cru que c'était son frère qui faisait une farce et elle se mit dans une colère monstrueuse. Pendant que les deux ce disputer le jeune brun essaya d'ouvrir la trappe, mais en vain. Il commença à s'inquiéter lui aussi car la jeune fille n'était donc pas la seul à avoir senti cette sensation d'observation mais le garçon n'y avait pas fait attention jusqu'a présent. Il en informât les deux jumeaux qui se mirent à réfléchir comment sortir. Dans le tumulte de la dispute personne n'avait entendu des pats qui se rapproché d'eux. La petite fille les entendit la première et s'arrêta net de parlé. Son visage devin blanc neige, ses mains se mirent à trembler; et une sueur froide lui glissa le long du dos. Elle savait que cela ne représenter rien de bon pour la suite. Les enfants prirent peur et reculèrent contre le tas pestilentiel. La nuit était en train de s'assombrir. Le garçon blond fut le premier à être collé, mais il senti quelque chose de bizarre mais familier. Il sentit comme des cheveux, mais de cheveux encore attaché à la boite crânienne. Le garçon tira sur ces cheveux et sorti une tête, juste une tête qui avait été décapiter. Mais le sang était encore tout frais. La frayeur s'empara du garçon puis de ses camarades et ils coururent vers la sorti, en oubliant totalement les bruits de pats. Ils essayèrent de se réfugier dans une maison à coté mais elle était fermé Ils tambourinèrent sur la porte mais rien à faire la porte ne bougerai pas. Alors tout d'un coup le silence s'abattu sur le château, un silence pesant froid qui étouffer tout les bruits. Puis ce silence fut brisé par le panneau du bistrot le grincement strident avais comme redoublé d'intensité et par un sort inconnu la porte en dessous s'ouvrit avec une lenteur effrayante, comme si quelqu'un les inviter à rentrer. Les enfants pressé de ce mettre à l'abri n'attendirent pas et ce précipitèrent à l'intérieur. Ici aussi le silence était de marbre mais le bruit de pats de tout à l'heur repris à proximité d'eux. Effrayé ils se dispersèrent. Les jumeaux montèrent aux dernière étage, le garçon blond et le brun aux second, alors que la jeune fille elle, partit se caché derrière le comptoir. Tous se cachèrent et attendirent. Une heure s'écoulât on entendait toujours les bruits de pats qui se promener d'un pats régulier et lent. Le parqué craquait sous ses pats. On peut l'attendre respirer quand il passe dans les environs on sent qu'il est a la recherche des 5 enfants il attend patiemment un bruit un souffle pour les débusqué comme des rats. Il est au troisième étage là ou les jumeaux ce sont caché, ou tout les deux se tiennent la bouche mais l'un des jumeaux est allergique à la poussière. Ils se tiennent dans une chambre sous un lit une bonne cachette si on n'est pas allergique. Les pats rentre dans cette chambre ils se rapprochent du lit, mais l'allergie du jumeaux est trop forte et il pousse un petit gémissement presque inaudible à l'oreille humaine. Mais la chose n'a rien d'humain. Mais contre tout attente alors que les jumeaux ce sentaient perdu les pats partir vers la porte, puits disparue comme par magie. Les jumeaux qui regardaient dans cette direction se sentirent d'un coup coller l'un contre l'autre. Quelque chose fit décoller le matelas ils ne pouvaient plus rien voir ils hurlèrent de terreur mais ils n'eurent que le temps d'apercevoir une lame brillait au dessus de leurs tête et s'abattre sur leur coup. Les deux têtes découper de leurs corps volèrent d'un coté de la pièce la terreur était encor resté sur leur visage le sang dégoulinait de leurs corps et de leurs tête, mais la lame ne taille pas assez pour avoir coupé les têtes net. Des lambeaux de coups était encore attaché à leur corps il reste même une parti du cuire chevelu accroché au reste du cou. Le choc avait était tellement violent que une partie de la colonne vertébrale de l'autre avait été tiré hors du corps. Seul un monstre ne pouvait faire ça de sang froid. La créature s'approcha de ce qu'il resté des têtes, les pris dans ses main et les accrocha à sa ceinture par les cheveux. La tête de l'un des jumeaux perdis son crâne dans les escaliers il ne resté que la peau, se qui ne déplut pas au monstre car il attrapa celle ci et y jeta un coup de dents, de bon appétit. Les deux garçons de l'étage inférieur en voyant le crâne dégringoler des escaliers prirent peur et sortirent de leur cachette sans se soucié du monstre. Ils arrivèrent dans la cage d'escalier et virent l'animal avec la tête de leurs camarade à sa ceinture. Ils étaient totalement tétanisés. Le monstre munit de son hachoir décapita sans plus de scrupule que pour les jumeaux les deux autres garçons. Cette fois si il manqua de tuer le second du premier coup et lui arracha l'épaule avec une facilité sans égale. L'enfant hurla de douleur et s'effondra sur le parqué. Il regarda la bête droit dans les yeux mais n'y trouva pas d'yeux. Il le regardé comme un pauvre homme qui regardai la mort le prendre sans que rien ne puisse être possible. Il vit la lame l'amener dans la mort une mort atroce, sans cœur. Sa tête elle aussi dégringola dans les escaliers et atterrie devant la jeune fille. Comme toute personne sensée elle s'enfuit du bâtiment, mais ne savait pas du tout comment sortir de se château maudit. Elle couru à la porte principale et vie quelque chose qui éclairé derrière la porte. La lumière du jour était revenu. elle réussi à ouvrir et couru le plus vite possible vers une habitation la plus proche les personne alertèrent les autorités qui fouillèrent le château mais ils ne trouvèrent personne, enfin personne de vivant. Ils brûlèrent le château et tous les soirs les ruines du château brûlé faisaient entendre les hurlements des personnes qui se sont fait décapiter.

Cette histoire est vrai fausse ? A vous dans décidé je ne raconte que ces histoire moi, je ne les juges pas.

Histoires d'horreurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant