Si la vie...

Mots volatiles

Un texte fictif inspiré d'un livre 🌌

Assise sur cette chaise, les jambes dans le vide, ce même vide où je m'enfonce, la musique dans les oreilles qui brise mes tympans, et ces bruits de balles que le temps emportait. Perdre. Cette balle perdu qui roule sans aucun but dans la salle. Et mon esprit paumé dans cette infinité. À la merci des tempêtes et de l'orage sentimental de ma vie brinquanbalante. Les larmes qui ne coulent plus comme si même la tristesse et la détresse avait disparue. Un sourire qui se dessine sur le visage mais c'est du passage. Le passager absent de ce quai où les couples se séparent et s'embrassent. Et moi je suis là où je ne sais plus ? Mais je suis je suis parce que je sens encore ces mots que dessinent ma pensé qui me rappelle cruellement que je suis vivante. Cette pensé qui détruise l'homme bien plus que cette lame. Je veux tenir mais pourquoi je continue de souffrir. Vous êtes tous là autour de moi j'aimerais le voir mais ce qui s'imposent à moi c'est votre disparition. Celui qui joue et qui me poussait jadis à bout et toi qui souffre ah putian tu sais que j'ai la frousse. Je flippe face à ce putain de reflet de miroir comme si le seul fait de voir mon visage blessé me faisais me morfondre toujours d'avantage. Avantage avancer mais cas désespéré. Je ne pense simplement pas le mérité alors que toi tu continue à te détester et tu tente sans pitié de te détruire à coup de lame, et ton âme ptn qu'est-ce qu'il en advient. Jamais perdre dans ce jeu. Un labyrinthe comment sortir ? Cache toi pour survivre. C'est plus la peur de mourir c'est la peur de vivre.