Je le deteste.

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Je peux dire que pour une fois, il me fout la trouille. Il s'approche de moi, j'accélère le pas. Mais, il fini par me rattraper.

Moi: Tu veux quoi?

Il se rapproche et je recule, effrayés par son regard. Mon dos fini par heurter un véhicule récréatif. Il est prêt de mon visage, je décide de jouer la carte de la confiance.

Moi: Dégage, tu m'énerve. Je-je n'ai pas peur de toi!

Il se met à rire.

Dylan: C'est fascinant comment tu penses me berner en te croyant invincible. Mais c'est faut. Tu transpire la peur.

Moi: Tu veux quoi, j'ai autres choses à faire..

Dylan: Eh bien c'est simple, je te veux toi.

Moi: Quoi?! Non!

Je tente de m'en aller mais il me plaque sur la voiture, me prend les poignets et les plaques contre le capot, au dessus de ma tête. Je me trouve donc, les bras en l'air, prisonnière de son emprise.

Dylan: Tu en as pas vraiment le choix.

Moi: Si j'en ai! Je pourrais te dénoncer pour ce que tu fais!

Dylan: Mais tu ne le fait pas... Tu as peur de moi.

Moi: Non je n'ai pas peur.

Mes bras sont peut-être pris, mais pas mes jambes. Je lui balance donc mon pied dans les couilles. Il se recroqueville sur lui même un court instant. J'ai pu courir un peu. Et puis, il m'empoigne le bras et me gifle. J'ai mal au visage. Et, ma peur s'amplifie.

Dylan: Écoutes moi... C'est simple, tu m'appartiens et tu ne dis rien. En échange, je ne te fera pas de mal.

Je lui crache au visage. Il semble offusqué, et, furieux. Je suis assez fière de mon coup. Il me pousse contre le sol et me donne un coup de pied dans le ventre.

Moi(à bout de souffle): Mais...T-t'es mala-de.

Dylan: Jessica... Je t'ai pourtant expliqué, reste tranquille et je ne te fera pas de mal, compris!?

Il me semble que je n'ai plus vraiment le choix. J'hoche la tête. Il me tend la main. Mais je me lève toute seule.

Moi: J'ai pas besoin de ton aide tu sais.

Dylan: Viens, je te raccompagne chez toi.

Je marche le plus loin de lui que je peux et rentre chez moi sans le saluer. Je prends mon téléphone et texte Jacob que tout va bien. Je m'enfouis sous les couvertures tentant de m'endormir, mais ça ne marche pas très bien. Je n'y arrive pas a y croire; j'avais raison! Les nouveaux voisins sont fous! Enfin, Dylan si. Je devrais en parler.

Mais non, il va me faire mal.

Mais oui, je dois le faire. Je vais être forcer à faire tout ce qu'il lui chante.

Si seulement Jack était la... Il pourrait m'aider. Je sombre dans de profond sanglots, jusqu'à m'en endormir.

•••

Prise avec Jacob SartoriusOù les histoires vivent. Découvrez maintenant