Zarrel, la conscience d'une louve [En Pause]

Introduction . L'éveil

Une claire lumière m'aveuglait doucement, elle provenait d'une petite creuvace dans le haut de la tanière, ne pouvant pas supporté celle-ci j'enfouissai mon museau parmit le petit tas de fourrure se mouvant de se dirigé vers l'odeur délicieuse du lait chaud. Mes frères et soeurs couinaient bruyamment quand ils ne sentaient plus les doux battements roques que notre maman produisait, alors que moi, je ne cherchais même pas la présence de la grande louve. Je me contentai de rester coller à la paroi humide, secouai de temps à autres par les louveteaux ne pouvant s'empêcher de se marcher dessus. Ma mère s'inquiétait de temps à autre car je pouvais la sentir me donné quelque coups de langue affectueux pour me poussé jusqu'à ses mamelles que je fus forcé de tété à quelques rerises. Ce train quotidien était notre seul moyen de repère, nous ne sortions jamais, restant collé les uns contres contre les autres dans nos déchets, seule la grande louve nous laisser quelque minutes alors qu' une odeur commune se mêlait à la sienne, puis après un certain temps elle revenait avec un pelage frais mêlait de plusieurs senteur différentes qui faisaient fretiller mes narines.

Quelques jours suffirent pour que la tranquillité de la tanière soit perturbé par différent prédateurs, notre maman était constamment sur ses gardes, la tension était palpable alors que les battements de son grands coeurs s'acceleraient vivement.
Elle partait de plus en plus souvent, le temps de ses absences était lui aussi,de plus en plus long. De plus des odeurs étranges et étouffantes embomaient son pelage couleur de charbon alors qu' un liquide rougeâtre coulait par moment sur celui-ci... Celà n'inquiétait pas plus les jeunes louveteaux ne penssant qu'à manger et dormir tout au long de la journée, alors que moi, j'observais les vas et viens de notre mère, me penchant sur chacunes des odeurs nauséabondes qui  s'accumulaient sur son poils, mais aussi de sa fourrure de moin en moin douce et de ses membres s'aminssisant...

"Maman....?"