La rage de reussir

mon enfance suite 2

J'enttend les bruits, des gens entrain de parler.
* Elle va bien, ce n'est rien de grâve, elle a des blessures juste au bras d et au genou droit. Si elle se reveille vous pourriez la ramener à la maison.

j'essaye d'ouvrir mes yeux et  je parviens à les ouvrier difficillement. J'essaye de me lever pour mieux voir où je me trouve car cette endroit je ne le reconnaissais vraiment pas. Il avait une odeur de medicaments.  Pendant que je réflechissais j'ai vu quelqu'un entrer. C'était un monsieur , il s'est approché vers moi et à présenté une mine surprise et heureuse en même temps. Il est ressorti appeller une femme qui est revenue avec lui dans les minutes qui suivaient. C'était sûrement une infirmière car elle portait une tenu blanche.

Elle: moi c'est madame Fokam, infirmière ici à la clinique.

Moi: clinique?🙄

Elle : oui mademoiselle Lucienne. comment allez vous? Comment vous sentez vous?

Moi: aie j'ai mal à la main. ( en essayant de me lever)

Elle : allez y doucement

Moi: pourquoi suis-je ici? Que s'est il passé?

Elle : vous avez eu un accident de voiture mais ce n'est pas du tout grâve grâce à Dieu.  Vous êtes blessées au genou et au bras droit mais sa va aller.

Moi: ...

Elle : voici le monsieur qui vous a conduite ici il y'a une heure de temps. Vous étiez inconsciente et le médecin a dit que ce n'était rien de grave après avoir vous examiner.

Moi: ( je me suis souvenue de ma mère qui est à l'hôpital, de mes petits frères que je devais aller garder à la maison)
Donc je crie "" maman, maman"

Elle: que vous arrive t'il?

Moi : ma mère est dans le coma à l'hôpital centrale . Je dois aller regarder les enfants. ( tout en me levant. Cest ou je constate que j'ai mal au genou.)
Aie , j'ai mal j'ai mal

Elle: allez y doucement , venez je vais vous aider à vous levez. Je suis vraiment désolée pour votre maman.

Moi: merci

Elle: le monsieur va vous ramener à la maison.  Le médecin a prescrit les médicaments que monsieur Paul ( le monsieur qui m'avait conduit à l'hôpital  ) a déjà acheté.

Moi: merci Monsieur Paul. Qui êtes vous au fait?

Lui : je vais vous expliquer plus tard. Dites moi plutôt où vous habitez, je vais vous raccompagner à la maison.

J'ai d'abord pris un souffle avant de  lui dire où je vis. Dieu merci notre maison n'étais même loin et cachée. Donc je lui ai dit que je vivais près du goudron au TPO. Il connaissait où TPO se trouvait donc ce n'était vraiment compliqué.

Il m'a prise par la main et nous sommes sortis.

Il avait une Mercedes, il m'a ouvert la portière avant et je suis entrée avec précaution .
Sur le chemin pour la maison.  Il m'a expliqué cequi s'est passé, il m'a même dit qu'il avait trouvé 6 00 milles francs dans mon porte monnaie quand il cherchait ma carte nationale d'identité.  Bien sûr qu'il me les a remis.  Je lui ai expliqué d'où je venais, la situation dans laquelle maman se trouve, pourquoi j'avais de l'argent sur moi. Arrivé chez nous, il m'a remis les médicaments qu'il avait acheté pour moi et il m'a remis encore 50mille francs et son numéro au cas où mon mal persistait. 
Mes frères ne dormaient pas encore, bien évidemment qu'ils m'ont posés les questions à mon sujet et au sujet de maman.

Moi je leur ai dit que jai fait un accident quand je rentrait de l'hôpital mais ce n'est pas grâve et je leur ai dit que maman allait un peu mieux et qu'elle était juste fatiguée.  Mon but était et les flatter pour qu'il dorment. Le petit bébé dormait déjà.  Lui quand il était rassasié il ne dérangeait jamais.

J'ai pu convaincre le enfants d'aller au lit et je les ai promis que demain après l'école nous irions tous rendre visite à maman à hôpital.  Que Elle est embrasse et pense très fort à eux. C'est comme sa que j'ai pu réussir à les faire dormir mais seulement vers 2h du matin nous avions été réveillés par les cris et des pleures

À suivre

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