||CHAPITRE15||

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Domicile Lombardi
Suisses, Genève
Point de vue de Carolina:

Me retrouvant à présent seule dans ce couloir emprunté il y a quelques instants avec cet homme qui me déstabilise tant dont la beauté est redoutable je marque une pause en essayant de retrouvé mon calme. Le couloir est désert d'où je suis,je peux entendre des rires ainsi que de la musique en provenance du salon ce qui signifie qu'il ya encore du monde. Les quelques minutes passés avec cet homme m'ont parut être  des heures. Je me sens humilié, mais surtout très en colère  j'en ai connu des hommes mais jamais  d'aussi arrogant que Monsieur LOMBARDI. Son expression d'orgueil satisfait détaillé son visage, cet air raid et sec qu'il avait été déstabilisant sans compté sur son regard dure qui couronnais le tout. Sa  posture autoritaire et dominante me faisait sentir comme étant la plus petite au monde. Ses lèvres fines qui ne fit que s'accentuer à la prononcé de chacun des ses mots était parfaitement dessiné au contour. Chez cet homme son moral correspondait à son physique.

Je dû me faire violence pour quitté mes pensés. Qu'est ce que je faisais encore ici? Je devrais sûrement être comme une idiote adossé à ce mur fixant un point invisible vers l'extérieur. Cet homme m'avait fermement demandé de quitté son domicile et c'est ce que j'allais faire. Je saisis mon téléphone pour faire appel à un taxi mais ne sachant pas l'adresse de l'endroit où je me trouvais je le rangea immédiatement je devais trouvé Jorge's s'il était mis à ma disposition autant qu'il fasses son travail. Je descendis les marches sans faire attention aux gens qui se trouvaient en bas quelques uns posés leurs regards sur moi en s'y attardant mais sans tenté une approche quelconque.

Arrivée à l'extérieur où il faisait un froid de canard je grogna en remarquant que je ne voyait nul part Jorge's mais où pouvez t'il bien être?.

-Bonsoir à vous Mademoiselle...

je sentis une main parcourir mon dos me laissant de marbre. Je retourna lentement ma tete à la rencontre de cet homme qui avait posé ses mains sur moi sans aucune pudeur. Lorsque mon regard fût posé sur lui je fût tenté de lui remettre à sa place il avait le même regard qu'Adam les genres de regard à la fois provocateur et séducteur cet homme n'avait pas l'air d'un un gentil garçon loin de là sa cicatrice sur le menton faisait pensée à une bagarre qui avait mal tourné ,tout pensé à croire qu'il était un sans manière ses cheveux non coiffé remplie de gel était très désagréable à regardé ses annaux qui surchargés ses doigts lui donnait un air d'un motard de cross, seul son costume une pièce grisâtre lui rendait présentable.

Il n'était pas un habitué de ses genres d'événements sûrement un nouveau né dans le monde des affaires penses-je . Je me retourna décidant de l'ignorer en gardant mon calme.

-Excuser moi je ne voulais pas être maladroit.

Cet homme était insistant et ne semblait pas être là pour à la fête. Je lui répondit alors de façon très brève essayant alors de le faire comprendre que je n'ai aucune envie de tenir une conversation avec lui.

-Vous êtes excuser.

-Je connais tout les amis de D'Onofrio de proches comme de loins mais pourtant votre visage ne me dit rien. Puis je savoir qui vous êtes?

Je ne savais pas qui était cet homme et si il était un des amies de Monsieur Lombardi ou s'il était  l'un de ses collaborateurs. Qui était ce D'Onofrio? Pourquoi je n'avait pas eu droit à un débriefing bien avant d'accepter cette mission? Une chose était sûre je devais resté sur mes gardes et faire profil bas. C'est alors que je dû faire appel à mon sourire enjoliveur.

-Dans ce cas je bien peur que votre connaissance soit limitée.

Il éclata de rire. Un rire jaune  et bien roque. Il avança vers moi et se trouva à quelques centimètres de moi tout en me regardant droit dans les yeux.

NEVER FIND ME/V.FOù les histoires vivent. Découvrez maintenant