||CHAPITRE14||

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POINT DE VUE D'ALBERTO:
Suisses,Genève
Domicile Lombardi

Je n'avais pas prévu d'organiser cette petite réception au seins de cette belle demeure qui m'avait vu grandir Sergio et moi. Cette maison qui avait été témoins de tant de bonheur partagé et des cérémonies chargées. Depuis l'arrivé de D'Onofrio je fais tout mon possible pour que ce dernier se sentes à son aise, il a était le seul qui se déplacé pour être à mes côtés pour ce projet qui me tiens tant à cœur et qui va voir enfin le jour je n'oublierai pas son geste.

J'étais légèrement agacé par l'arrivée de cette agent sûrement une débutante qui se retrouverai en face de moi dans moins d'une heure. J'avais demandé le dossier de cette jeune fille pour en avoir le cœur net et confirmé mes doutes sur ses aptitudes ainsi je n'aurais aucun remord de la renvoyé d'où elle vient. 
Mes hommes m'ayant informés de son arrivée à Genève j'ai mis à sa disposition l'un de mes chauffeurs. Certes sa présence ici me déplaît mais je me dois de resté courtois et galant tel le grand homme que je suis. J'eu même à demandé à ma secrétaire Stéphanie de se charger de lui livrée des fleurs et d'écrire un petit mot de bienvenu et de la conviée pour la même occasion à ma petite réception.

La maison était presque blindée mes invités ainsi que ceux de D'Onofrio s'amusaient à vidé le bar et le buffet le plus étonnant était de voir D'Onofrio dans  les vapes quelle manque de professionnalisme envers ses collaborateurs mon Dieu. En ce qui me concerne je ne prenais de l'alcool que très rarement je refusais que cette boisson prenne le dessus dans ma vie et devienne mon guide . Tenant mon verre de whisky à la main tout en restant en contemplation sur quelques associés qui franchissaient le hall d'entrée une femme captura mon attention. Elle était très Belle, sa robe blanche mettais en valeur son corps voluptueux. L'arrogance et l'audace était inscrit dans ses yeux aussi magnifique soit-ils; ses cheveux étaient tiré en arrière m'étant son visage angélique en valeur. La simplicité de son sourire avec lequel elle traversa le hall affirmait que c'était une habitué de ses genres de soirée. J'étais obnubilé par cette jeune femme se trouvant dans mon champ de vision mais qui pouvez t-elle bien être? Était elle conviée à cette réception ou était-elle une amie de D'Onofrio. Tant des questions ses bousculèrent dans ma tête j'avala le peu de liquide qui resté dans mon verre me décidant d'aller à la rencontre de cette femme, c'est alors que je marqua une pause dans mon élan en remarquant la présence de mon chauffeur aux côtés de cette femme qui a présent je savais de qui il s'agissait; il s'agissait de cette jeune femme à qui je m'étais promis de renvoyé dès qu'elle franchirait le seuil de ma maison. Oui il s'agissait de CAROLINA CAMTES.

Elle avait posé son regard brièvement sur moi et c'était avancé sans cligné des yeux je n'en revenait pas que cette jeune fille arrivée à soutenir mon regard sans baissé ses yeux, d'ailleurs elle n'avait rien d'une fille du moins de ce que je m'étais imaginé tout chez elle est femme. Elle était à présent devant moi avec un sourire en coin.

-Monsieur Lombardi..
-Mademoiselle...
-CAMTES

Elle c'était précipité à dire son nom me tendant sa petite main fine dont les ongles étaient parfaitement manucuré. Je la saisis d'une façon très délicate en poursuivant...

- Ne soyez pas ridicule je sais Comment vous vous appelez j'ai lus votre dossier. Suivez-moi dans mon bureau nous y serons plus à l'aise.

Nous nous dirigeons vers mon bureau  à présent la chaleur qui se dégagé de mon corps n'étais pas normale; mon taux d'alcool dans le sang y était pour quelque chose pensais je sûrement. Carolina marché à mes côtés d'une démarche assuré et très élégante.
J'ouvris la porte et l'invita à entrée.

-prenez place je vous prie.

Je m'étais retourné pour me servir un autre vers de whisky;Carolina n'étais toujours pas assise alors je me plaça devant mon bureau prenant appuie sur ma table et elle s'avança vers moi toujours avec ce sourire en coin.

-Puisque Vous Vous apprêtés à me renvoyé je veux que ça soit pour une bonne cause.

Je sentis ma joue gauche me brûler. Je n'en revenais pas cette petite chose venait de levé la main sur moi et je n'avais rien vu venir. Comment à t'elle pus osez? À présent je la dévisagé  avec mon regard  déstabilisateur  prêt à la faire sortir d'ici quant une idée me traversa l'esprit.

-N'attendez pas d'excuse de ma part par ce que vous en aurez pas maintenant oui Monsieur LOMBARDI vous pouvez me viré. Allez y je vous attends.

-Arrêter de Vous donner en spectacle jeune femme votre comportement est puérile. Je ne laisse personne me dicté ma conduite et encore moins une.. débutante de votre genres.

-Je ne vous permet pas de m'insulter Monsieur

-Vous n'êtes pas dans la mesure de me permettre quoi que ce soit. Oubliez vous à qui vous adressez-vous? Je suis votre patron Mademoiselle...

-Pas à ce que je sache Monsieur. Dès demain je rentre pour l'Italie et..

-Le contrat à était déjà signé. Osez donc partir sans mon autorisation et je vous ferez arrêter Mademoiselle Camtes et je ne plaisante pas. Je vous ferez suivre et c'est seulement quand vous aurez pris place confortablement qu'on vous embarquera telle qu'une moins que rien.

-Serez-vous entrain de me menacez?

-Non c'est sont juste des promesse. Maintenant rentrez vous reposez une longue journée vous attends je tiens à la ponctualité Mademoiselle CAMTES soyez là à 12h00 à 12h01 minutes vous serez renvoyer.

-....Allez donc au diable avec..

-Ça sera tout Mademoiselle CAMTES Jorge's vous raccompagnera.

Je me suis dirigé vers la porte que j'ouvris pour la laissé partir. Elle était agacé et ses sourcils froncés le confirmé; sa beauté était resté intacte. C'est son parfum qui me rappela que cet échange avait vraiment eu lieu  que cette jeune femme avait vraiment été ici dans mon bureau se tenant à quelques mètres de moi j'aurai aimé que cet échange dure pendant des heures pour qu'elle comprenne que face à moi elle sera toujours dans une position de faiblesse. Cette jeune femme ne savait pas ce qui l'attendait, elle allait se brûler les ailles avant même de les avoirs déployés.

NEVER FIND ME/V.FOù les histoires vivent. Découvrez maintenant