Il s'agit de Harry Potter, à la même époque et la même histoire. À l'exception d'une chose l'histoire sera d'un autre point vue, le mien... (vous connaissez le blabla maintenant ^^)
Tome 4:
Années particulière pour nos héros. Vous allez déco...
J'adore passer du temps dans mon lit le matin, à moitié éveillé. J'étais toujours entre la réalité et mon subconscient.
Je sentais la main de Cedric posé sur ma taille. Nous étions en position de la cuillère, je sent sa chaleur dans mon dos. Enfin je sent la chaleur tout court d'ailleur, j'avais même du laisser la fenêtre de ma chambre ouverte. La main de Cedric se glisse sur mon ventre et il me ramène à lui, il me donne un baiser sur la nuque.
La réalité du présent me rattrape peu à peu. Cedric n'est pas là, pourquoi je sent vraiment cela, alors. Je me retourne lentement les yeux plissé puis sort du lit, fâché.
-Warren !!!
-Bonjour, dit-il en serrant un oreiller entre ses bras.
-Qu'est ce que tu fait ici, je croyais t'avoir demandé de rester en bas !?
-Et tu croyais vraiment que j'allais obéir à un petit microbe, sourit-il. En plus tu as un sommeille tellement agité que c'est la première fois de ma vie que je dors autant, dit-il en serrant un peu plus l'oreiller et en bayant.
-Tu sors de ma chambre, essayai-je d'être autoritaire. Aller bouge toi de là !
J'agrippe mon drap de lit et tire dessus. Warren se retourne sur le dos et se redresse sur ses coudes. Ses abdos ressort encore un peu plus, autant que ses pectoraux.
-Tes pas sérieux, tu sors sinon je te jure que je vais te tuer !
-Quoi !!? Rie Warren.
-Tu a passé la nuit dans mon lit en sous-vêtement et tout sa sans mon autorisation.
Mes yeux vrilla plusieurs fois sur son... Enfin vous voyez quoi. Je fait pas exprès, c'est un peu gênant. Je commence sérieusement à m'énerver devant son air amusé. Je vais le tuer. Je lâche le drap et fonce sur ma table de nuit pour prendre ma baguette. Warren plus rapide fut en un instant debout devant moi. Il me tenait les poignées. J'avais grandi depuis quelques temps, mais Warren était toujours plus grand. Je sentais le soleil sur le bas de mon dos. Je ne parviens pas à sortir mes poignées de ses mains.
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Warren avait l'air de s'amuser. Je secoue mes poignées, d'énervement je rie avec lui malgré moi.
-Tu va me faire mal, pousse toi ! Dis-je en riant.
-Tu connais la solution magique !
Il approcha son visage du mien et je compris de quoi il s'agissait. Je deviens sérieux.
-Arrête Warren, je ne veux pas... M'exclamai-je.
Il lâche mes poignées et répondit :
-Pour l'instant, de toute façons je ne peux pas t'embrasse !
-Quoi, pourquoi tu dit sa ?
-Disons que si c'est toi qui m'embrasse je ne risque rien !
Je fronce les sourcils, qu'est ce qu'il raconte, lui le matin ça va pas bien.
