La Légende de Livea

Chapitre 11 : premiere confrontation

Stan
*déchire son tee-shirt pour stopper le sang*
Ça va, ça va...

Joachim
Il va mourir !?

Alex
Je n'espère pas.
*s'allonge pour éviter les balles*

Joachim
Ça ne te fait ni chaud ni froid.
*sursaute à cause d'une balle qui passe à côté de lui*

Alex
Tu as tant à voir Joachim.
Nous des morts il y en a tous les jours, et sache que la guerre c'est ça.

Stan
Retraite les gars, dans le couloir, on est mal là.

On recule tous pour fuir dans un couloir, une meilleure protection que des pierres effondrées.

Stan
Joachim, Alex, prenez chacun une jambe ! Max prend un bras, go couloir.

On se dépêche je prends la jambe droite de Fred, on le soulève tout et on l'emmène dans le couloir.

Alex et Stan se mettent dos au mur pour tirer sur les SR.

Stan
Max fait bien attention a qui ne se vide pas, ok ?

Max
Pas de problème.

Joachim
Je peux t'aider ?

Max
Tue les soldats c'est pas mal.

Joachim
Ok...

Je me mets derrière Stan et Alex pour voir comment ça se passe.
Et les deux se parlaient en criant à travers la salle.

Claim
*du haut des escaliers détruit.
Alors ? On se cache on a peur.

Alex
Ta gueule !

Claim
Oh ! Ce n'est pas gentil ! Respecte un peu ton supérieur.

Stan
Tu n'es mon supérieur en rien du tout, aujourd'hui les temps changent et c'est votre chute bande de cons !

Claim
Toujours à riposter, comme ton pote, comment il s'appelait déjà... Oliver ?

Stan
*serre les dents puis les relâches pour laisser passer ses mots*
Il aura sa vengeance !

Joachim
*vers Alex*
C'est qui Oliver ?

Alex
*à Joachim*
C'est son compagnon de cellule exécuté.

Claim
Bien sûr ! J'attends de voir ça moi !
Soldats ! Dominez la salle !

Alex
On est mort !

Stan
On se bat jusqu'au bout.

Les coups de feu à travers la salle reprennent, on s'en sort bien. Les SR chutent à et nous on reste caché. Je ne tire toujours pas par peur de rater et me montrer.

Claim
Putain ! Vous foutez quoi !? Avancez tous en même temps.

Stan
*parle à la bande*
On peut plus, on doit fuir.

Max
Fred est trop faible, il ne peut pas se lever.

Fred
Lai...assez moi ...les gars c'est pas grave...

Stan
On l'emmène !

On reprend chacun sa jambe ou son bras et en arrivant à la porte du couloir. La porte est défoncée par des soldats, j'avais du mal à voir mais je vois la couleur bleue de leur uniforme qui me rassure. Une escouade alliée avec des prisonniers armés.